L'air etait plutot frais en ce debut de matinée, et un leger vent balayait le campement des Olympiens...
Le soleil commencait a percer la toile des tentes, les derniers preparatifs prenaient fin, Laherith en dirigeait les operations. Des douzes appelés au départ, il n'en restait a present que six...

Sylphide se leva, et vetue de sa legere armure de cuir, elle sortit de la tente. Apres tant de saisons passées loin de tout, de la moindre civilisation, elle avait pris le temps de reflechir, a elle, a Lardanium...

"Quel plaisir de retrouver les olympiens, de pouvoir servir a nouveau l'empire, les interets du peuple divin..." murmura t elle doucement...

La jeune Beauregard se dirigea vers l'Ambassadrice, la salua avec le respect que chacun lui doit...

- Quand pouvons nous partir Dame Laherith?

Elle lui adressa un leger sourire, effectivement, le courant passait bien...

Laherith avait été nommée depuis peu Ambassadrice de Lardanium rattachée aux Humains. Elle prenait ses responsabilités très au sérieux, elle n'avait pas le droit à l'erreur. L'Empire attendait beaucoup de cette alliance. Ainsi, elle décida de mettre en place un voyage diplomatique vers les terres lointaines du Nord ; afin de concrétiser la reprise de contacts et d'officialiser sa prise de fonction.
Une campagne de recrutement fut lancée, les volontaires furent, à sa grande surprise, très nombreux à se présenter. Malheureusement, tous ne purent être reçus.
Désormais il était temps de lever le camp...

" Je crois qu'il est temps pour nous de se mettre en route, ma chère Sylphide. Les retardaires nous rattraperons en route, si besoin est. "

Laherith se retourna puis cria à l'attention de tous.

" C'est parti ! Direction la mine. "

Le petit groupe se mit en route.

Erreur de manip. Il faut que je recommence mon récit.Maximilienne avait décidé de couper à travers la plaine afin de gagner du temps. Elle croisa Laherith et lui fit un signe à peine visible. Quelque temps après, elle vit Sylphide mais telle une gazelle, elle eut à peine le temps de faire un coucou et Maximilienne disparut. Elle voulait arriver le plus vite possible au point de rendez-vous.

Au troisième jour d'une marche arrassante à manger le strict minimum et à boire ce qu'il faut, elle arriva au point de rendez-vous. Enfin, la mine qui est en réalité une guilde est enfin à porter de vue et de chaussures.

Elle sortit ses silex (pas moderne la fille, je sais) et alluma un feu. Il ne restait plus qu'à attendre le reste de la troupe.
J'ai hâte de faire la connaissance de tous les membres de l'expédition. Puis, elle s'endormit....

Sako frissonna. Il n'était pas si loin de Lardanium, mais l'air commencait déjà a se refroidir.
Ou peut être était-ce l'apréhension...

Les choses ne s'étaient pas tout à fait passées comme prévu. Il avait été désigné par Ackron pour mener à bien l'expédition diplomatique de dame Laherith, et assurer le bon déroulement global de l'opération.

La mission consistait à rencontrer les humains dans un de leur refuges, puis, de monter avec eux vers les plaines gelées du nord, ou peu d'olympiens s'étaient aventurés.
Le maréchal midnight, le dirigeant de cette race mystérieuse, les attendait.

Sako n'avait vu qu'une seule fois auparavant ce peuple étrange, aux armes dont la complexité n'avait d'égal que leur énorme capacité de destruction. C'était au cours de la bataille d'Héliké. Les humains avaient rejoint leur rang et leur avaient apporté un soutien fort apréciable... puis avaient disparus... ils étaient retourné sans mot dire par là où ils étaient venus... les régions glacées du nord.

Personne sur Olympia ne savait qui ils étaient vraiment.

Le départ de l'expédition s'était fait dans une confusion totale. L'urgence du départ mélée aux lourdeurs administratives propres à l'empire avaient semé un tel trouble que chacun se trouvait à faire la route seul, sachant néanmoins qu'il était susceptible, au détour d'un chemin, de croiser l'un des autres membres.

Sako ne connaissait pas ses compagnons. Il avait croisé Laherith, aux portes de Lardanium, et avait à peine eu le temps de se présenter à la jeune olympienne. Il savait aussi que le paladin Rhyn, aux côtés duquel il avait combattu de nombreuses fois, serait présent. Quand on lui avait annoncé qu'il participerait à l'expédition, Rhyn avait simplement sourit.

Il ne parlait jamais beaucoup, Rhyn.

Mais il n'en pensait pas moins.

Sako avait longé la rivière depuis Lardanium vers le nord. Les routes pavées de l'empire avaient progressivment laissé place à de petits chemins de terres. Les habitations des paysans s'étaient clairsemées, puis rarifiées. Les olympiens qu'il croisait ne le connaissaient pas. Certains ne semblaient même pas reconnaître l'uniforme de l'ordre des paladins.

Bientôt il n'y aurait plus rien.

Sauf la neige.

Et un peuple dont il ne savait rien.

Il y a quelques jours de cela Rhyn tenait dans ses mains une missive lui indiquant qu'il devait finalement se rendre chez les humains. Alors que le paladin était parmis les premiers au point de rendez vous il se retrouva alors dernier et bien seul.

Comme quoi, rien ne sert de courir, il faut partir à point...

Mais ce n’est pas sans compter sur ses jambes, qu'il parcoura la distance qui le séparait de ses compagnons de route. Il n'avait que 3 jours de retard et il lui en fallut à peine le double avant de rattraper l'expédition.

Il se tenait maintenant au coté de Kurosaki, Laherith et Sylphide Beauregard.

-Salutation Mesdames, Sir... On ne se connaît pas très bien mais j'espère que ce voyage permettra, en plus de tisser des liens avec ces humains, de forger des amitiés bien plus forte entre nous olympien de l'Empire.

Maximilienne avait profité d'un répit et décida d'aller visiter les grottes à côté. Elle pénétra dans la pénombre et vit 3 intrus. Aussitôt prenant son courage à deux mains, elle sortit son épée et affronta Damahira. Elle fit 3 belles entailles avant de ressortir. Là, à côté d'elle, sir Midnight arriva. Une force surpuissante se dégageait de lui.

Laherith avait appris de bonne heure que la mine, propriété des Humains, avait été investie par un certain nombre de hors-la-loi. Le Maréchal Midnight demanda alors aux Olympiens de combattre à ses côtés pour expédier ces intrus indésirables vers les lymbes. Aussitôt, les hommes et femmes de l'Empire s'organisèrent et les lieux furent nettoyés en quelques heures. C'était le premier succès de l'expédition, Laherith avait de quoi être ravie.

En quelque jours, la mine était nettoyée.
Une bonne chose de faite, se disait-elleUn peu de repos n'était pas surperflus après ses escarmouches. Maximilienne allait rejoindre le groupe qui était juste à côté d'elle. Il ne restait plus qu'à attendre le feu vert de Sir Midnight et l'aventure pouvait continuer.Ses pensées étaient dirigées vers les contrèes futures qu'elle ne connaissait pas. Elle avait hâte de les découvrir.

HRP : franchement... les chroniques de trois lignes, c'est un peu abusé non ? Faites un effort, on rencontre les humains et on va aller chez eux, c'est pas rien quand même ! Ca mérite un récit un peu plus détaillé...




Sako s'agenouilla sur la rive et remplit sa gourde.

L'eau était glacée.

La rivière large et paisible qui irriguait Lardanium s'était transformée en un torrent de montagne. Son lit s'était rétrécit, et l'eau était rendue bouillonnante par les multiples cascades et les rochers saillants.

Les rapides créaient un sourd grondement qui était le seul son que Sako entendait depuis près de deux jours.

Il était définitivement sortit du territoire Olympien. Il n'avait croisé personne : ni paysan, ni militaire, ni pécheurs....
Ni même les membres de son expédition.
Ce qui était déjà plus inquiétant.

Le soir tombait sur les vastes plaines rocheuses d'Olympia. Sako pressa le pas, afin de pouvoir rejoindre un lieu à peu près sec et sûr pour passer la nuit.
Hors de question de refaire la route dans le noir, comme il l'avait fait la veille. Il avait failli tomber dans l'eau à plusieurs reprises. Trop dangereux, trop casse gueule, trop fatiguant.
Les humains pourraient bien attendre un jour de plus.

Mais n'est pas pisteur qui veut : Sako était plus habitué aux chemins de campagnes et aux routes pavés qu'aux expéditions nocturnes et nuits à la belle étoile.

Une heure plus tard, il était dans le noir complet.

Un paladin paumé dans la lande.

Seul le son du fleuve guidait ses pas, l'enjeu était de ne pas s'en éloigner, tout en faisant gaffe a ne pas s'y casser la g....

(!)

et meeeeeeeeeerde !

Le sol se déroba soudain sous ses pieds. Un petit dénivelé rocheux. Sako s'étala de tout son long puis roula le long d'une surface dure et rugueuse. Entrainé par le poid de son armure, il glissa ainsi sur quelques mètres, entrainant avec lui la boue et les ronces.

La longue chute se termina brutalement sur une surface plate et douce.
Du tissu ?
Sako avait buté contre quelque chose... ou plûtôt, quelque chose l'avait retenu.
Sako serra les dents et approcha doucement la main du fourreau de son épée.

Une voix de femme se fit entendre :

- Tout va bien ? Rien de cassé ?

Surpris, le paladin se releva d'une façon aussi rapide que désordonné.

- Par Zeus, que fait une femme dans cette région déserte ?

Il distinguait a présent à travers la pénombre la silhouette qui se tenait devant lui.

- Je suis une éclaireuse olympienne. Et vous ? Est-ce là une nouvelle stratégie de paladins que de se rouler dans la boue ?

Sako, géné, essuya maladroitement la terre qui maculait son armure.

- Je suis Sako, second de l'ordre des paladins. Je dirige l'expédition qui se rend chez les humains.

- Bien, et où se trouve la vaillante expédition que vous dirigez, monsieur le chef de guerre ? Je vous trouve bien seul...

- Hem... on a eu quelques problèmes, on se retrouve là bas...

La jeune femme rit.
- Ne soyez pas géné Sako. Je fais moi même partie de l'expédition ! Je suis Maximilienne, d'Ordenum !

- Ah c'est vous la volontaire ! Enchanté... avez vous croisé dame Laherith ?

- Non, je suis la première arrivée. Vous vous trouvez ici au point de rendez vous que vous nous aviez indiqué. Le refuge humain ne doit pas être loin. Je m'apprétais à faire un feu, et a passer la nuit ici. Vous joindrez vous à moi ?

- Bien sûr, Maximilienne. Les autres ne devraient pas tarder.

La citoyenne d'Ordenum avait entassé des morceau de bois. Avec une dextérité propre aux éclaireurs, elle alluma un feu.

Sako, exténué, ferma les yeux.

Au grondement continu du torrent s'ajoutait le bruit crépitant des brindilles qui s'enflamment.

Ca avait indéniablement quelque chose de rassurant.

Quand Sako se réveilla, la première chose qu'il vit fut Rhyn, son compagnon d'arme paladin, penché sur lui.

- Bien dormi ?

Sako se frotta les yeux. Ce n'était pas un rêve. Rhyn était devant lui, accompagné de Laherith, Kurosaki et Sylphide Beauregard.

L'expédition s'était enfin réunie.
Les retrouvailles furent conviviales. Chacun avait voyagé seul. Les routes s'étaient croisées, et petit à petit, les olympiens s'étaient regroupés.

Maximilienne avait disparu. Elle avait laissé un petit mot, disant qu'elles étaient partie en éclaireur au levé de soleil, pour essayer de localiser le repaire des humains.

- J'ai reçu une missive du maréchal Midnight, expliqua Laherith l'ambassadrice, il parait que leur mine est envahi par les quatarites. Il nous demande un coup de main pour la nettoyer.

- Bien, répondit Sako, nous attendrons ici le retour de Maximilienne. Reposez vous et préparez votre équipement. La journée sera longue.

La citoyenne d'Ordenum arriva vers midi. Elle avait vu le repaire des humains, et avait trouvé l'emplacement de la mine, a proximité.
Aucune trace des humains.
Les membres de l'expédition la pressèrent de question pour savoir à quoi ressemblait l'architecture légendaires des humains. Maximilienne haussa les épaules. Ce genre de questions ne la préoccupait guère.

La troupe leva le camp en vitesse, et s'aventura par le chemin qu'avait trouvé Maximilienne. Il trouvèrent le refuge humain peu de temps après. En effet, le bâtiment avait quelque chose de décevant : il était fait de pierre et de bois, une architecture classique en somme, purement fonctionnel. L'endroit était désert, et la porte, maintenue close par une technologie inconnue et étrange, refusa obstinément de s'ouvrir.

- Pas le temps de s'attarder, dit Sako, les humains ont besoin de nous. Mène nous à la mine Maximilienne.

Il s'agissait en réalité d'une grotte sur le flan de la rivière, en contrebas par rapport à eux. Un étroit passage permettait de s'aventurer à travers les rochers, vers les entrailles de la terre.
Sako désigna Maximilienne et Rhyn et leur demanda d'aller se rendre à l'intérieur en éclaireur, pour voir ce qui se passait.
Les deux olympiens s'enfoncèrent furtivement sous la surface.

Aussitôt, des bruits de voix se firent entendre.

Elles ne venaient pas de la mine, mais de la rivière elle même.

Sur de sombres embarcations, un groupe de quatarites opérait la traversée. Les sombres exécuteurs d'Archéos, à la triste réputation, se rendaient vers la mine.

Sako évalua rapidement la situation. Les quatarites ne les avaient pas vu, et l'expédition pourrait aisément bénéficier de l'effet de surprise. Par contre, si les exécuteurs arrivaient à rentrer dans la mine, Rhyn et Maximilienne se retrouveraient coincer.
Il fallait les empêcher d'accoster. Sur leurs radeaux de fortune, ils étaient en position de faiblesse.

Les olympiens se saisirent de leurs javelots, et laissèrent les radeaux approcher. Les silhouette des quatarites devinrent plus distinctes. La plupart d'entre eux étaient des olympiens hérétique, mais Sako pu aussi distinguer un elfe et un géant.

Ils allaient payer pour leurs sombres confessions.

"MAINTENANT !"

Avec une coordination typique des soldats de l'empire, les olympiens tirèrent sur les embarcations. Le javelots de Sako s'enfonca dans le flan du géant, qui poussa un grognement rauque.

Il l'arracha d'une main, comme s'il s'était agit d'une brindille.

clic

Puis sa tête explosa.

Une détonation avaient retenti, couvrant un instant le grondement du fleuve. Sako avait déjà entendu ce bruit, il y a longtemps, dans les marécages d'Héliké.

C'était le son d'une arme humaine.

D'autres détonations suivirent, accompagnant les tirs olympiens. Les embarcations quatarites chavirèrent, et les exécuteurs tentèrent de revenir en arrière, pour échapper au feu nourrit sous lequel il se trouvait.

Sako se précipita vers la rivière. Faisant tournoyer son épée, il trancha nette la tête d'un quatarite qui tentait de sortir de l'eau.
Du coin de l'oeil, il vit une silhouette imposante courir vers la grotte.

C'était le maréchal Midnight.

Dégainant son épée, l'humain adressa un rapide signe de tête à Sako, puis se précipita dans la mine.

Des cris commencèrent à se faire entendre. Les hurlement de rage et de douleur résonnaient à travers les parois de la grotte et jaillissaient amplifiés de la surface de la terre.

A l'extérieur, les olympiens achevaient les derniers blessés. Le feu humain avait cessé. Un détachement de ces étranges créatures s'approcha d'eux.
Physiquement, il ressemblaient pratiquement à des olympiens. Ils étaient plus frêles, leurs yeux n'étaient pas oranges, et leurs vêtement semblaient composés de tissus rafinés et de matières inconnus.

Olympiens et humains se regardèrent en silence.

Le maréchal Midnight sortit de la mine, accompagné de Rhyn et de Maximilienne. Leurs lames étaient pleine de sang.

Les quatarites avaient été exterminés sans avoir pu donner le moindre coup.

Le grondement du fleuve avait à nouveau remplacé les bruits du combat.

La route ne fut pas aussi longue que l'avait pensé Rhyn et après avoir longer la rivière il se retrouva devant un bâtiment à l'architecture des plus étrange. Nul doute possible celle ci n'appartenait pas à olympia.

Mais pas le temps d'admirer les prouesses de construction, des bruits de combats résonnait non loin de lui. Une missive l'avait informé de la présence d'hors la loi dans la grotte. L'aversion qu'il avait envers les catwes aidant, c'est avec rage qu'il se jeta dans la grotte pour combattre. Rage vite estompé devant la ridicule force de frappe adverse.

Les antagonistes furent vite renvoyés dans le styx.

Le calme revenu, le paladin rejoint alors les membres de l'expedition.

Ils retrouva enfin son frère d'arme, Sako, qui se trouvait en charmante compagnie et s'assis à leurs cotés près du feu. Il sortit ensuite de son sac de quoi manger et boire.

Le soleil était déjà haut dans le ciel.

Le Seigneur Midnight devait régler encore deux ou trois petites choses près de la guilde avant de pouvoir remonter au QG. Laherith et ses compagnons s'étaient installés au près d'un arbre, attendant patiemment le Maréchal.

Tout à coup, les Olympiens distinguèrent nettement des cris de colère, c'était le Maréchal Midnight. En choeur, ils se levèrent d'un bon et quelle ne fut pas leur surprise quand ils aperçurent, un dénommé Cormag, un chevalier Noir.

" Qu'est ce qu'il fait ici, celui-là ? "
" Il ne fait pas partie de l'expédition à ce que je sache... "

Midnight semblait bien le connaître. Apparement cet Olympien était franchement anti-Humains et était déjà venu importuner ces derniers. Le ton commença à monter et des menaces furent proférées.

Laherith ne pouvait point supporter l'idée de voir cette expédition anéantit. Elle tenta de calmer le jeu et de raisonner le Maréchal. De plus elle confia aux Paladins le soin d'avertir le seigneur Slash de la situation. Elle disait que ce serait véritablement maladroit d'abattre un Chevalier Noir sans préavis.

Espérons que cette histoire ne devienne pas une affaire d'Etat...

Maximilienne sortit de la grotte couverte de sang. Les derniers affrontements avaient été intenses mais aucune victime n'était à déplorer dans leur rang, d'après les dernières nouvelles.
Maximilienne pouvait enfin rejoindre le groupe qui s'était réuni autour d'un bon feu. Mais avant, un lavage intégral s'imposait. Elle se dirigea vers la rivière toute proche. Une cascade non loin de là était idéale pour faire un brin de toilette. Elle inspecta les alentours afin d'éviter toute mauvaise rencontre lorsqu'elle se retrouvera en tenue d'éve.
Sa toilette terminée, elle pouvait rejoindre cette fois-ci le groupe.
La plupart était affalé sur l'herbe en train de déguster un mets qui, semble-t-il, avait l'air délicieux.
Tous ces compagnons paraissaient fatigués, compréhensible lorsque l'on savait le trajet qui avait été effectué depuis plusieurs jours et les nombreux combats gagnés dans la férocité.
Maximilienne observa les différents membres de l'expédition. Peu de parole émanait du groupe comme si quelque chose pesait dans l'atmosphère. Une lourdeur qui venait surement de la présence d'un chevalier noir dénommé Cormag.
Celui-ci rodait dans les environs et pouvait surgir à tout moment.
Sir Midnight semblait pensif et prêt à réagir si celui-ci venait nous importuner.
Chacun de nous savait qu'une décision serait à prendre prochainement à son sujet et cela ne réjouissait personne.
Rien de tel qu'un bon sommeil réparateur pour éclaircir les idées et reposer le corps.
Maximilienne s'endormit....

Cormag était un personnage précédé par sa réputation. Un fou agressif et arrogant, qui se complaisait dans les grands discours pamphlétaires et ironiques. Les chevaliers noirs le considéraient visiblement comme un mélange entre un bouffon et un sage, ils écoutaient patiemment ses délires, et tentaient de trier le bon grain de l'ivraie, et de l'empêcher de se mettre dans des situations trop compromettantes.

La plupart du temps, ils y arrivaient...

La plupart du temps.

Ce coup-ci, le Chevalier Noir fou avait décroché la timbale. Il se pavanait autour de l'expédition olympienne, en hurlant un chapelet incohérent de menaces à l'encontre des humains, de lardanium, de Salminar et de tout ce qui pouvait blesser, enerver, choquer, vexer son auditoire.

Ce n'était pourtant vraiment pas le moment. A la fatigue d'une longue marche s'était ajouté l'intensité du combat et le stress de la première rencontre avec le peuple humain. Les olympiens étaient sur les nerfs, et cherchaient avant tout un moyen de se concentrer.

"Je vais déclencher une guerre entre les humains et les olympiens !!!"

Réfléchir...

"Les Paladins sont des clowns !!!"

Rester calme...

"Je vais aller à Lardanium tuer un ou deux veilleurs impériaux !!!"

Le maréchal Midnight lanca un coup d'oeil dans la direction de Cormag. Lentement, il dégaina l'une des étrange et redoutables armes de tir humaine et commenca calmement a viser le chevalier noir.

Le paladin Rhyn, d'un geste lent et courtois, détourna l'arme de sa trajectoire.

- Maréchal, dit-il, cet impertinent est un Chevalier Noir. Nous ne pouvons nous débarrasser de lui ainsi, aussi pénible soit il.

- Négatif, répondit Midnight. Je connais cet homme. Il est sur nos liste de têtes à abattre sans sommation.

- Laissez nous régler le problème Maréchal. Nous allons lui parler. Nous avons d'autres choses a réaliser ensemble, qui ne sauraient attendre. Ses actes seront jugés par les autorités olympiennes.

- Soit. Je vous le laisse.

Rhyn s'approcha de Cormag qui se trouvait a trois mêtres, sans prêter attention aucune au maréchal. Sako, agacé, l'avait saisit au col et était en train de lui hurler un flot d'insultes presque aussi incohérents que les palabres du malade. Rhyn les sépara. Il essaya de parler calmement au chevalier noir tandis que Sako, toujours aussi énervé, l'abreuvait de menaces.

Finalement, Cormag détala.

Les deux paladins se regardèrent, épuisés.

- Eh ben, dit Sako en riant, bravo Rhyn, bon boulot ! Je crois que c'est la première fois que je t'entend parler autant !

- Et moi c'est la première fois que je te vois dans cet état... On a les nerfs qui lâchent ?

- Hem... meuh non, c'était du bluf ! Allez, allez, on lève le camp, le Maréchal Midnight doit être pressé de partir !

Des sacs de fer jonchaient le sol. Cadeaux des humains aux olympiens. Ceux ci avaient été déposés par les soldats, pendant l'altercation avec Cormag. Puis ceux-ci étaient partis sans demander leur reste.

Chaque membre de l'expédition prit un sac sur son épaule et s'habilla chaudement en prévision du voyage qui les attendait.

Un vent froid et glacé se mit a souffler.

Le vent du nord.

Les premières civilisations olympienne avaient une sérieuse tendance à confondre le nord d'Olympia avec l'Olympe. Beaucoup étaient persuadé que c'était de là que venait les Dieux. Cela impliquait que, s'ils déscendaient sur le continent, leur première étape était Lardanium, la cité élue.

Les prêtres de Lardanium ont fini par étouffer cette rumeure, et par distinguer dans leur dogme une différence nette et précise entre le pays des dieux et les régions glacées du nord. Cependant, les Olympiens avaient gardé, ancré dans leur inconscient collectif, l'idée qu'il valait mieux ne pas trop s'aventurer dans ces regions désertes, arides et froides, où la neige ne fondait jamais.

Et puis, un jour, des étres étaient descendus du nord. Bien que de constitutions frêle, il semblaient parfaitement adaptés à leur environnement, et utilisaient des matériaux élaborés et bien plus sophistiqués que les meilleurs machines de guerre de l'empire.
Certaines rumeures disaient que ces êtres étaient tombés du ciel, d'autres, au contraire, affirmaient qu'ils venaient du futur.

Ils se nommaient les humains, et nul ne savaient qui ils étaient.



Le voyage était devenu franchement pénible. Un vent glacé soufflait en permanence, s'infiltrant sous les vêtements, par surprise, créant comme une décharge électrique tout le long de la moëlle épinière.

Sako, Rhyn et Maximilienne avançaient en tête, loin devant les autres, prenant soin de chasser les rares gibiers qui parcouraient ces steppes, et vérifiant qu'aucun danger ne se profilait à l'horizon.

Derrière eux, Laherith faisait route au côté du maréchal Midnight. Tous deux étaient plongés dans une longue conversation , à voix basse, qui semblait ne jamais devoir s'arrêter.
L'humain qu'ils avaient vu massacrer les quatarites à coup d'épée s'avérait être un compagnon de route agréable et courtois bien qu'impulsif. Il leur indiquait chaque matin la route à suivre afin d'aller au plus court et d'éviter les zones franchement dangereuses, où le froid pouvait devenir mortel.

Kurosaki et Sylphide Beauregard, plaisantant gaiement, fermaient la marche. De temps à autre, une boule de neige s'écrasait mollement sur le manteau d'un membre de l'expédition, et un rire cristalin d'olympienne raisonnait, seul signe de vie dans ces régions abandonnées.

Plus les jours passaient, plus la couche de neige sous leurs pieds devint dense. Bientôt, ils perdirent complètement contact avec la terre. Le froid mordant fut vite oublié dans l'ampleur du spectacle qui s'offrait à eux. A la fois horrible et fascinant, le pays des glaces, où très peu d'Olympiens avaient mis les pieds jusque là, s'etendait à perte de vue. Une zone valonnées, glacée depuis la nuit des temps, sans vie apparente.

Là bas, tout semblait différent : le ciel était zébré par des phénomènes atmosphériques inconnus, les couleurs et l'appréciation des distances semblaient altérés. Les olympiens marchèrent en silence pendant une journée entière, les yeux rivés sur ce décors infini, où la glace avait gardé intact le souvenir de milliers d'années...

Olympia avait évolué, mais là, rien ne semblait avoir bougé.

Tout était éternel, froid, gelé, mort.

Immobile et silencieux.

Une bruit inconnu se fit entendre, une sorte de "bip bip" clairement pas naturel.
Sako, Maximilienne et Rhyn, tirés de leur rêverie, sursautèrent et dégainèrent leurs épées, cherchant de regard quel animal pouvait avoir poussé ce cri étrange.

A quelques mètres d'eux, un pan de neige s'effondra. Une sorte de statue en métal, recouverte de neige, s'était mise en mouvement. C'était elle qui émettait le sifflement. La statue pivota sur son socle et se tourna en direction des olympiens.

C'était un canon.

Gigantesque.

Qui restait systématiquement braqué sur eux.

Les trois olympiens se raidirent et se regardèrent. Ils choisirent de rester immobiles et silencieux, dans l'espoir que la chose perde leur trace.

Ce ne fut pas le cas. Le canon restait braqué sur eux, pouvant mettre fin à leur vie en un battement de cil.

Le brouillard se dissipa et un étrange batiment apparu à quelques dizaines de mètres devant eux. Une sorte de chateau de métal, bien plus étrange que le refuge qu'ils avaient vu au nord de Lardanium. Deux gigantesques portes de fer se dressaient, sans poignée ni loquet. Parcourues de dizaines de petites lumières clignotantes qui s'animèrent progressivement.

Ils avaient trouvé le QG humain.

Et ceux-ci les avaient repérés eux aussi.

- Qu'est ce qu'on fait ? demanda Maximilienne d'une voix peu assurée.

- On attend, répondit Sako, et on espère qu'ils nous laissent en vie jusqu'à l'arrivée de Midnight et de l'ambassadrice. Ils ne devraient pas tarder. Rangez vous armes. Si ils ouvrent le feu, préparez vous à courir.

Rhyn hocha la tête en silence. D'un signe discret, il indiqua à Sako quelque chose sur sa droite.

Un second canon plus loin, était aussi braqué sur eux.

Sako et Rhyn se regardèrent.

Il ne parlait jamais beaucoup Rhyn.

Mais il n'en pensait pas moins...

Essayant de se pérsuader que le canon ne devrait pas tirer sur eux, il aurait préféré ne pas avoir cette menace constante sous les yeux.

L'humain avait leur vie entre les mains et Rhyn sentait bien que malgrès leur sous nombre aucune armée d'Olympia ne leur arrivait à la cheville. Etre dans une tel position d'infériorité... celà n'est pas digne des être élus. Pensait il.

Cependant malgrès cette compagnie peut sympatique il fallait bien tuer le temps en attendant le reste l'expédition. Mais que faire dans ce désert glacial.

Restant aux coté de Sako il parla a voix basse.

- Que pense tu de ses humains, Sako? De leut but sur nos terres? Ce ne peut être les dieux qui nous les envoi?

[Remarque Purement HRP à ne pas kicker svp : Nan mais les gars là faut vous arreter :

"Alors on etait tranquillement, nous les gentils, en train de marcher comme des gentils sans vouloir de mal à personne avec nos copains les humains, quand tout d'un coup y'a Cormag, un nul, qu'est faible, qu'est méchant, que les humains veulent tuer depuis longtemps,

-(pour une raison purement Hors role play, alors que finalement je suis pas le miroir des agissements de mon frêre, Mid, c'est pas parceque t'en a après lui qu'il faut chercher à me traquer moi IG)-

qu'arrive et qui lache des insultes contre Salminar (c'est pas vrai), ensuite il se fait prendre par le col par Sako, alors que c'est quand même un assassin et qu'il est sencé pouvoir se mouvoir en discretion hein mais ça on oublie n'est-ce pas, sans se défendre bien evidemment, parceque Cormag la le pauvre et méchant chevalier noir que tout le monde défend des armes du Gentil Midnightknight, hé bah il est nul, et il vient là en insultant les gens puis il se laisse taper bien sur. Il est méchant ! Et tellement inconscient ! Après tout ce qu'on fait pour lui (et qu'on fait dans notre coin expres pour qu'il puisse pas le savoir) il continue à faire rien qu'à nous embeter."

...Bref vous pensez pas que ça suffit ??? Sako c'est bon tu fais pas de chronique en parlant de MOI sans me demander MON autorisation
(oui parce que si ça se trouve t'as eu une autorisation des autorités supérieures)
et tu parles pas de Cormag SELON les pensées de certains, d'après TES conclusions, parceque ton avis, on s'en fout (etant le seul et le principal concerné, du mien, on s'en fout pas à part si on a des liens de parentée avec le joueur d'Hao Asakura.).

Allez lire dans le mot du modo... Vous faites aussi pitié que le mec qui dans son super RP se sera fait massacrer toute sa famille et qu'en veut à tout le monde parceque tout le monde lui en veut, mais que lui il est plus fort que les autres parce que c'est le gentil, et qui s'invente fils de dieu mais qu'il le sait pas et que donc y'a 100000000 d'elfes MECHANTS et rang 1000 qui lui tombent dessus et qu'il les tue tous en 2 secondes une main dans la poche et l'autre en train de jouer du trombone...

En plus j'suis sur que vous etiez les premiers à en rire de ces paroles pleines d'ironie, ne vous sentant aucunement concernés.

Donc bon voilà, la censure j'pense que je vais en être la victime (les liens du sang hein...) mais faudrait p'tetre voir à l'appliquer à bon escient et censurer les paroles de Sako. Autrement moi je refais la chronique demain en disant que j'vous ai tous butté et que Midnight m'a juste un peu fait mal Mais que j'y ai dit :
"Olalah j'en ai marre vous êtes des gros nullards, je m'ennuie oula je baille, donc je m'en vais."
Oui parceque t'a oublié de dire que Midnight m'a mis trois vilaines frappes.

Bref Merci d'avance à celui qui ferait une quelconque action qui viserait à remedier aux problemes exposés. Au fait je sais pas qui a décidé que je ne devrais plus être Chevalier Noir (temporairement à ceux qui se sentiraient déjà plus...), mais je lui en veux beaucoup.



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By Minuit : j'édite pour ne pas flooder la chro inutilement.

1. Tu peux demander une révision de la chronique si les passages te concernant (et uniquement ceux-là) te semblent dénaturer ton perso ou n'avoir pas de rapport avec ce qui s'est passé sur le plateau. Vois ça avec Sako, en l'occurence, par BAL. Tu peux même lui proposer le passage en remplacement, s'il est d'accord.

2. Le perso de Midnight se souvient des insultes contre Emmy qui a refusé que Cormag vienne se planquer dans la mine humaine pour le tournoi d'Hadès.

3. La gestion des blasons revient à leur responsable (ohh le joli enfonçage de porte ouverte). Vois avec Slash si tu n'as pas eu d'explications.

4. A propos des censures, kickage, RIP, déshéritement par ricochet de la vaste et ignominieuse cabale anti-Shaolan... Faut arrêter les violettes hein

- Tout ce que je sais, répondit Sako, c'est que la première fois que je les ai vu, à Héliké, ils sont apparus en même temps que le seigneur Zeus, et que le dieu avait l'air de bien s'entendre avec Minuit...Cependant, je ne sais pas trop quelle est le rapport entre Minuit et le maréchal midnight... ni même Shadow, la générale de Quatar qui était elle aussi à Héliké... Bref... j'y comprend rien et j'ai froid !

- Moi aussi je caille, intervint Maximilienne, ces satanés canons sont toujours braqués sur nous, on devrait peut être s'éloigner ?

- Vaut mieux pas bouger pour l'instant, dit Sako d'un ton docte, c'est une coutume universelle : quand tu es étranger a un territoire, tu reste immobile a la frontière, pour que tout le monde puisse te voir et prouver que tu ne cherches pas l'effet de surprise... bref, qui que ce soit a l'intérieur, ils comprendront qu'on ne leur veut pas de mal...

- N'empêche, dit Rhyn, l'éclaireuse d'Ordenum n'a pas tort... Vu le froid qui fait, on va geler sur place, ca fait déjà une heure qu'on poireaute dans la neige.

- Ne t'en fais pas, dit Sako, le maréchal et l'ambassadrice vont bientôt arriver. Midniht nous fera entrer... et puis, le froid, c'est surtout... brrrr... dans la tête !

Les trois olympiens restèrent immobile, les pieds dans la neige, à contempler les canons en silence. Le froid devenait mordant tandis que leurs armures commençaient à geler. Dés qu'il faisaient le moindre geste, les canons humains se remettaient à siffler.

Une nouvelle heure s'écoula.

Maximilienne finit par marmonner "je donnerais beaucoup pour un bon feu de cheminée dans une maison..."

Rhyn ajouta "...avec un bon rôti à l'olympienne..."

Sako acquiessa "comme ceux qu'on mange à l'auberge de Lardanium !"

- La bière ambrée...
- Les rires et les chants...
- les plaines verdoyantes...
- Les vergers...
- Les routes pavées...
- les belles demoiselles...
- Les vêtements chauds et secs...
- Les climat tempéré...
- L'empire...

Une nouvelle bourrasque de vent s'éleva. Les olympiens se turent et serrèrent les dents. De petits stalagtites de neiges commençaient à leur pendre au bout du nez...

Maximilienne se mit a siffloter pour se donner du courage... C'était un chant traditionnel Olympien.

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

Sako et Rhyn finirent par reprendre en choeur.

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

" Eh les gars, qu'est ce que vous foutez là ?"

Kurosali arrivait en courant vers eux.

"Vous avez pris une sacrée avance dis donc, fallait nous attendre !"

Les trois olympiens, sans bouger, se mirent à crier d'une même voix :
"Non Kurosaki, n'approche pas !!!!"

Trop tard. Les deux canons humains s'animèrent et se braquèrent automatiquement dans ca direction. Kurosaki s'immobilisa aussi sec.

Sako soupira. Maximilienne se remit à chanter. Suivie aussitôt par les trois autres.

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

"Quand te reverraiiiiiiiiis-je, pays merveeeeeeeeeilleux, où ceux qui s'aiiiiiimeeeeeeuuuuuuh vivent à deuuuuuuux !"

Une heure après, quatre statues de glaces décoraient l'entrée de la base humaine. Les olympiens continuaient de chanter machinalement, remuant avec difficultés leurs lèvres bleuies.
En face d'eux, les canons restaient imperturbables.

Soudain, des rires se firent entendre derrière eux. Ceux ci étaient accompagnés de bruits mat caractéristiques.

Midnight et Laherith arrivaient.

Ils étaient en train de faire une bataille de boules de neiges...

Enfin l'expedition se retrouva au complet.

L'humain lança alors :

C'est bon vous pouvez rentrer maintenant!

Il n'avait pas à le dire deux fois, Rhyn ne se fit pas prier et filla vite se réfugier dans se qu'il appelait le QG.

Le Paladin resta figer, impossible pour lui de faire un pas de plus. Jamais il n'avait vu tel décors. Même dans les comtes, nulle description ne ressemblait à ce qui se trouvait devant ses yeux.

Mais sa réverie fut vite troublait par un de ses hôtes mécaniques à l'accueil aussi chaleureux que les geôle de Lardanium. L'engin sifflait tout en suivant chacun de ses mouvements.

Nonobstant cette présence, Rhyn continua son observation.

Les différences qui les opposaient étaient telement disproportionné, que tout ce qu'il voyait était si inconcevable... Celà remettait tout en question chez l'olympien.

Finalement nos dieux que l'on vénère ne sont pas si extraordinaire comparé à ces humains...

Faut vraiment que j'arrive à en savoir plus sur eux

Apercevant Sako qui épiait chaque recoin, Rhyn décida de le rejoindre.

-Le moin que l'on puisse dire... Etrange... Oui c'est endroit est vraiement des plus étrange.

Rhyn acquieça ce qui fut sourir Sako... Encore perdu dans ses pensés. Se dit il.