L'histoire d'un Olympien | |
Topic visité 191 fois Dernière réponse le 14/05/2007 à 16:12 |
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Tout commença pendant la fameuse «Guerre des Dieux », où dans l’armée entraîner par Salminar en personne, deux être humains, une femme et un homme se retrouvèrent à combattre côte à côte, lors de la bataille alors que cet femme allait au plus mal, ce brave et courageux jeune homme la sauva de peu d’une mort certaine. Apres cette guerre sanglante face aux Dieux, les deux individus n’étant pas tombés au combat se retrouvèrent. Il est naturelle que cette charmante demoiselle était tombé littéralement sous le charme et le courage de cet homme, et peu de temps après ils entreprirent une vie à deux. Deux ans plus tard, ils étaient mariés.
Pendant quatorze ans, ils menèrent une vie simple sans soucis mais un événement inattendu se produisit. Elle tomba enceinte. Neuf long mois s’écoulèrent, et la femme accoucha d’un enfant un soir de pleine lune. Alors qu’elle croyait tout cela terminer, une douleur très violente s’empara d’elle. Un deuxième enfant fût mis au monde ! Des jumeaux. Le père émerveillé montra ses deux enfants à sa femme épuisée et lui dit : « Voila, c’est fini chérie. Tu l’as fait et pour te remercier de ce bonheur je te laisse choisir leur prénom. » La femme essoufflée répondit lentement : «Le pre … mier s’appe … llera Hao et … le second … Yoh. » La femme qui l’avait aidé à accoucher lui conseilla : «Reposez-vo … Mais que lui arrive-t-elle ? Elle perd connaissance, allez chercher de l’aide !!! » Mais il était trop tard : elle avait succombé à ces deux naissances éprouvantes. Le père, attristé durant les jours qui suivirent, finit par s’en remettre grâce à ses enfants que sa femme avait mis au monde avant de quitter ce dernier. Deux années ont passé, et le père pu remarquer de ses enfants alors âgés de deux ans, qu’ils possédaient déjà une passion propre à chacun. Yoh fut dès son plus jeune âge attiré par les combats contés dans des livres. Il lui arrivait même parfois d’aller accueillir les soldats acclamés par la foule quand ceux-ci revenaient de missions périlleuses. Mais il admirait tout particulièrement son père quand celui-ci lui racontait son combat contre les Dieux. Hao, quant à lui, fut plutôt attiré par la magie. Tout cela le façonnait, il adorait voir les mage pratiquer leurs sorts, les regardant s’entraîner en pensant que plus tard lui aussi serait un grand mage perfectionné dans le feu. Il vivait dans une petite maison composer de 4 pièces : une chambre que se partageaient Hao et son frère, une cuisine, une sale de bain et le salon où dormait leur père. Il était obliger de travailler six jours sur sept pour pouvoir nourrir sa petite famille. Mais un jour, leur petit groupe se fit attaquer par des géants qui passaient dans les parages et aucun ne pu s’en sortir face à ses créatures d’une taille plus qu’extraordinaire. Et voila qu’à l’age de cinq ans, les frères Asakura se voient apprendre par un parfait inconnu pour eux que leur père ne reviendrait plus jamais. Les deux enfants durent aller dans un orphelinat mais s’enfuirent et partirent se réfugier dans une maison abandonner située dans les quartiers pauvres de Lardanium. Pendant quelques semaines, ils ne sortirent pas de cette maison, mangeant du pain sec et buvant l’eau récoltée dans une fontaine près de leur maison. Mais il fallait s’y résigner, ils ne pourraient continuer de vivre de cette façon et décidèrent de sortir. Leur activité étant limitée, il leur était difficile de trouver de quoi manger et boire, et ils s’initièrent donc au vol. Et lorsqu’ils avaient un peu de temps, aussi étrange que cela puisse paraître, ils se faufilaient en douce dans la bibliothèque pour étudier ou pour écouter toute sorte de conversations. Un jour, Yoh entendit quelque chose qui le marqua : « Ah oui, tu sais je trouve cet idée ingénieuse. Bah oui, recruter n’importe qui pour qu’il suive une formation de soldat principalement mais aussi dans le métier de son choix. De cette manière, les jeunes qui ont appris à se débrouiller seuls dans les rues de noter belle ville auront une chance de trouver quelque chose d’intéressant à faire et pourront se battre pour l’Empire » Une fois la conversation finie, Yoh se précipita vers son frère et lui dit : «Eh Hao, tu devinera jamais se que je viens d’entendre » Hao, curieux, répondit : « Vas y déballe !!» Yoh, un peu surpris, se dépêcha de lui raconter : « Deux hommes parlaient et ils disaient que n’importe qui pouvait s’inscrire dans un centre de formation de son choix. Je crois qu’il serait venu le temps pour nous de réaliser notre rêve » Hao, les larmes au yeux n’en crut pas ses oreilles : une chance venait de s’ouvrir a eux. Le lendemain, ils se réveillèrent dès l’aube et allèrent attendre l’ouverture du magasin. Ils étaient à cet heure les seuls. Une fois les portes ouvertes, Hao et Yoh se précipitèrent à une table située devant eux et un instructeur leur dit : « Bonjour messieurs ! Alors voici une fiche d’inscription, ou vous y écrirez nom, prénom, ainsi que le formation que vous désirez suivre (soldat, mage etc. …). N’oubliez pas de signer en bas votre fiche. » Hao fut le premier, s’empara de la plume, remplit le tout avec engouement, signa et reposa la plume. Il n’en revenait toujours pas. Yoh fit de même. Plus tard l’instructeur se leva et s’exclama d’une voie grave : « Bien, maintenant que tout le monde est passer, je vais vous expliquer le programme de votre journée. De neuf heures à treize heures, vous aurez cours, puis de treize heures et demie à seize heures il y aura de la pratique. Pour le soir c’est chambre commune pour les hommes et une autre pour les femmes. Pas de question ? » « Bien, alors prenez vos emplois du temps respectifs et aller vous installer dans vos chambres respectives. Les cours commenceront demain. » Les jours se succédaient à une vitesse fulgurante, et sans surprises Yoh et Hao faisaient parti des meilleurs élèves. 13 ans plus tard Pour les deux frères, le jour crucial sera le lendemain : le jour de l’examen final. C’est là que nous verrons s’ils se verront attribuer leur archétype. Dans l’après-midi, après de longues heures d’attente, un homme s’écria : « LES RESULTATS SON INSCRIS SUR LE TABLEAU DERRIERE MOI ! » Ils ne se précipitèrent pas mais marchèrent avec une certaine appréhension. Arrivés devant l’affiche, une délivrance s’empara d’eux et ils laissèrent éclater leur joie d’une seule et même voix : « CA Y EST, NOUS AVONS REUSSI !! » Les voila maintenant reconnus officiellement soldat et mage de guerre. Mais ils ne sont encore que de simples apprentis, mais ils sont déjà ravis d’en être arrivé jusqu’ici. Apres cela, Yoh et Hao firent de petites missions pour la ville avant de pouvoir partir avec un groupe au combat. Un soir, Yoh fixait l’horizon et dit à Hao : «Tu te rappelles de cette histoire, ce fameux Dak… je sais plus quoi qui avait quitter la ville » «Tu veux parler de Dakon ? » « Oui, c’est lui ! A ton avis, pourquoi a-t-il quitté la ville ? » « Je ne sais pas, sûrement par goût de l’aventure, ou peut-être voulait-il créer quelque chose de nouveau. » « Oui. Tu sais, j’ai bien réfléchis et … » Hao le coupa : « Je dois te dire un truc. » Yoh ne l’avais pas écouter et ils dirent tous deux en même temps : « Je voudrai partir ! » Surpris, ils se regardèrent et Hao répliqua : « Wou-hou, sa alors on est pas jumeau pour rien. Et je te propose qu’on rassemble nos affaires et qu’on parte dès cette nuit. » « Mais ou veux-tu aller ? » « Là ou nos jambes nous mènerons. » Yoh réfléchit quelques minutes et acquiesça d’un signe de tête. [Paladin de l'Empire] |
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Deux ans se sont écoulés depuis le départ des frères Asakura de la cité Olympienne.
Ils avaient réussi à regrouper une dizaine de jeunes Olympiens, mais une fois tous rassemblés, le petit groupe se fit attaquer. En effet, un groupe d’elfes eurent raison de la bonne volonté de ces jeunes et intrépides guerriers. Le bilan était accablant : tous les olympien étaient morts sauf Yoh qui décida dans un sentiment de haine de fuir pour le moment... Il se cacha dans une grotte, qu'il découvrit par hasard, pendant près d'un mois. Se long mois ne lui suffit cependant pas à se remettre d'une grave blessure. Mais il décida quand même de sortir. Yoh repensa au rêve de son frère, Hao, qui désirait par dessus tout devenir membre de Sigdil et faire partit des Rebelles, et aurait fait tout se qui aurait été en son pouvoir pour y parvenir. Yoh, par amour envers son frère, entreprit de réaliser son rêve et donc se mit en route. Mais malheureusement des elfes étaient encore présents et ils l’achevèrent. Par un mystérieux miracle, il se réveilla et toute ses blessures c'étaient effacées, peut-être l'oeuvre d'un elfe guérisseur, mais depuis se jour il se promit d'honorer la mémoire de son frère, jusqu'a se que la mort l'emporte lui aussi. Sigdil me voilà... Mon arrivé a Sigdil « Apres avoir parcouru mainte plaines, mon attention fut attirée par cette magnifique citée. Dès mon premier regard, je sus que c’était ici que je devais demeurer pour le reste de ma vie. La ville me paraissait si grande au pied de la citée, en contemplant la plus haute tour. » Raison profonde de ma venue « Tout d’abord, la politique de cette ville m’a séduit d’entrée. J’entends par là que les étrangers ne sont pas rejetés systématiquement comme les nains venant à Lardanium. Ensuite je voudrais aider la ville à se développer et aidé pour des missions qu’elle serait amenée a effectuer, en gros je veux me sacrifier pour la ville, voilà ce que je souhaite. » Après avoir été accepté parmi les Rebelles, Yoh Asakura décida de changer de nom car il commençait une nouvelle vie et l’Akatsuki appartenait désormais au passé, comme lui fit remarqué Bleu. Il chercha donc dans la bibliothèque des noms de soldats qui se sont illustrés par le passé de par leur bravoure et leur courage. Il tomba alors sur un soldat olympien nommé Blayce et il eut un coup de cœur pour cet homme, et reprit donc son nom. Une nouvelle vie commence alors pour Blayce ... [Paladin de l'Empire] |
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Quelques années ont passé depuis l’arrivée de Blayce à l’intérieur des murs de la cité Sigdilite, et celle-ci va accueillir de nombreux membres qui vont postuler pour en faire partie. En effet, Lejan Falk ainsi que sa troupe d’hommes arriveront d’ici peu. Les Rebelles ont prévu de faire un tri assez strict et sélectif des nouveaux arrivants et donc tous ne se verront pas attribuer le privilège de faire parti des Rebelles.
Mais Blayce est à nouveau en proie au doute : l’envie de se battre pour Sigdil et ces habitants n’est plus aussi conséquente qu’à son arrivée il y a de cela quelques années. Et sa présence dans la cité ne fait pas l’unanimité. De nombreuses questions se succèdent dans sa tête : s’il partait, à qui manquerait-il ? Pourquoi se bat-il pour Sigdil ? Pour qui ? Pourquoi ne pas partir ? Qu’est-ce qui le retient ici ? La nuit portant conseil, il partit se coucher et trouva rapidement le sommeil. Le lendemain, il fût réveillé beaucoup plus tôt qu’a l’ordinaire, mais ce ne fût pas la faute de la clarté du soleil, étant donné que celui-ci ne pointait toujours pas le bout de ses rayons. Il partit en direction de son salon et aperçut le morceau de parchemin sur lequel il avait griffonné ses préoccupations de la veille, mais ne trouvait toujours pas de réponse à ses questions, ce qui l’inquiétait fortement. Il fit donc une nouvelle fois son sac de voyage pour partir. Où ? Il ne le savait encore pas. Il laissa donc son blason sur son lit ainsi que les clefs de sa maison et regarda une dernière fois son habitation que lui avait donné Dakon à son arrivée. Il ne la verrai plus jamais. Il parcouru lentement les rues de Sigdil et aperçu des détails qu’il n’avait encore jamais vu durant les longues années ou il avait vécu ici. Il croisa quelques habitants qui le saluèrent, et certains, voyant son sac, lui demandèrent ou se déroulerait sa prochaine mission. Il acquiesça un léger sourire et continua son chemin. Il aperçut enfin la majestueuse porte principale de la ville et s’arrêta quelques instants. Il l’avait franchie maintes et maintes fois mais n’avait jamais vraiment regardé sa beauté architecturale en détail. Il la franchi lentement, et une fois passée, regarda une ultime fois cette magnifique ville. Puis il tourna les talons et le soleil vînt lui fouetter le visage. C’était une journée resplendissante qui s’annonçait. On dit que c’est lorsque l’on perd quelque chose que l’on se rend réellement compte de la valeur qu’elle avait pour nous. Blayce se dit alors que celui qui eut dit cette phrase avait bien raison. Il avait en effet perdu de nombreuses choses et amis, mais Sigdil n’était pas la plus importante à ses yeux. Quitter Lardanium avait été beaucoup plus difficile. A la tombée de la nuit, il établit un camp de fortune dans une plaine déserte. Cela faisait longtemps qu’il n’avait plus voyager seul sans savoir ou aller. Mais cela lui plaisait. Il s’allongea et admira le ciel étoilé, sublime. Il s’endormit alors avec un sentiment de plénitude qu’il n’avait plus connu depuis longtemps. A son réveil, il découvrit avec stupéfaction des œufs en chocolat sur le sol. Il regarda alentour, et s’émerveilla de voir qu’il y en avait de partout sur la plaine. Hmm !! Exquis !! Apres avoir savourer pleinement quelques œufs, il en ramassa d’autres et les fourra dans son sac. Mais il lui fallut maintenant repartir. [Paladin de l'Empire] |
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L'Olympien errait sur les plaines désertes d'Olympia. Le pleine air le réjouissait.
Mais son calme fut troublé par un elfe qui partait vers le Nord à grandes foulées. Surpris, il interpella ce voyageur, qui continua son chemin, faisant mine de ne rien entendre. L'Olympien sourit et couru après ce voyageur, et le rattrapa rapidement. Il n'aimait pas être ignoré de la sorte, et de plus il était certain que son homologue l'avait entendu, car il est bien connu que les oreilles elfes sont les plus grandes connus sur Olympia (même si les lutins font de la résistance ...). Il stoppa son vis-à-vis et lui demanda en levant le ton : Oh là sieur elfe ! Ou courrez-vous donc d'un pas si pressé ? Quelle question ! A Lardanium bien évidemment ! Vous n'êtes pas au courrant que la Cité Blanche se fait attaqué par les Quatarites ? Et nous allons leur apporter notre soutien militaire. Vous ne sortez pas de vos montagnes vous ?? Il était vrai que l'Olympien n'était plus vraiment au courrant de ce qu'il se passait actuellement. Il regarda partir l'elfe, s'assit au sommet d'une colline et réfléchit. Il avait quitté Lardanium il y a déjà belle lurette et ne l'avait pas revu depuis autant de temps. Il n'avait qu'un vague souvenir de cette époque de sa vie ainsi que de cette ville. Il repensa à son frère ainsi qu'à son père. Il était le dernier de la famille. Il avait suivi son frère, ensuite les volontés de ce dernier, avait été accepté parmi les Rebelles, et aujourd'hui il était là : seul à errer sur les immenses plaines que possède Olympia. Il repensa ensuite à son père, dont il était si admiratif et fière dans son enfance. Il se battait pour l'Empire, pour Salminar, pour ses fils ... Aujourd'hui la patrie pour laquelle s'était battu son père était attaqué. Il se devait de marcher dans les pas de son paternel et il le ferai ! [Paladin de l'Empire] |