Par Shadow le 25/04/2007 à 19:04 Cela faisait plusieurs jours que l’attaque sur l’Empire avait été annoncée aux citoyens de Quatar. En très grande partie ils avaient répondu présent, et l’avancé vers Lardanium fut le plus grand mouvement de troupes de l’histoire de Quatar.
La cité blanche était en vue. Les défenseurs disponibles se regroupaient à la hâte devant la cité, déstabilisés par les nombreux conflits auxquels ils devaient faire face. Les Quatarites venaient de traverser le fleuve, trempés et couverts de boue, mais les épreuves du voyage n’avaient en rien affectées leur détermination. Ils s’approchaient d’un pas résolu des premiers défenseur. La tension semblait se faire sentir dans les rangs des hommes de l’Empire face au nombre d'ennemis. Leurs resplendissantes armures, la fière stature de leurs mages s’opposaient à la horde de hors-la-loi, avec leurs vêtements sombres recouverts de la boue du voyage, leurs armures rafistolées, leurs armes de toute sortes. Mais ils se dressaient, menaçante masse de toute les races d’Olympia, de toute les origines, et c’est dans un même cri de rage qu’ils foncèrent sur l’ennemi, se précipitant sans hésitation vers les lignes olympiennes. Les défense de Lardanium commencèrent à tirer sur les attaquants, mais ceux qui tombèrent n’arrêtèrent pas les autres. C’est sans la moindre hésitation et sans ralentir que les quatarites parcoururent les quelques pas qui les séparaient encore de leurs ennemis.
La collision fut fracassante, les guerriers de Quatar mettant toute leur haine dans leurs frappes. Mais l’énergie du désespoir animait les olympiens, leur familles étant à quelques lieux du combat, ils se bâtirent du mieux qu’ils pouvaient.
La bataille durait depuis déjà quelques minutes, et les forces de la cité d’obsidienne avaient le dessus, leurs superiorités numériques s’ajoutant au terrible dégats causé par des grenades faite pour l’occasion. L’espoir commençait à faiblir du coté de l’empire, mais leur prières ne furent pas vaine, car en plein milieu de la mêlée apparu, dans un tourbillon rugissant d’éclair, Zeus lui-même, dominant tout le combat, savourant l’impression que son apparition causait. Toute la fierté olympienne apparaissant dans sa stature. Jetant un regard ironique sur les Quatarites , il rit doucement en voyant la terreur dans les yeux de ses adversaires. Sans prêter attention à l’agitation de ses fidèles, Zeus se tourna vers Shadow.
« -Tu ne t’attendait pas à cela, sorcière. Retournez dans vos taudis, toi et tes larbins, si vous ne voulez pas subir mon courroux. Tes pouvoirs ne te sont d’aucune utilité, à toi et à ton dieu, si j’en décide autrement !
-Votre prétention vous perdra, Zeus. »
Sur ces mots Shadow sorti d’une sacoche un livre à la couverture sombre, qu’elle tint ouvert devant elle. Une aura sombre émanait des pages dont la matière évoquait l’obsidienne, et lorsqu’elle en lut quelques lignes dans une langue au consonances anciennes, mystiques, les pages du livre s’enflammèrent.
L’aura sombre grandissait pendant que le grimoire se consumait, on pouvait voir l’étonnement dans les yeux du Dieu des Cieux.
« Cesse celà ! Qu’espère-tu faire ? »
Shadow du lire les dernières lignes de cet étrange grimoire, car après quelques secondes il n’en restait que des cendres. Zeus lança une poignée d’éclair sur Shadow, mais l’aura noire du livre demeurait, et la protégea des attaques du dieu. D’un geste de la main elle dirigea cette énergie sur Zeus, qui en fut immédiatement entouré.
« Misérable sorcière! Tu ne m’aura pas si facilement !»
Le dieu semblait lutter de toutes ses forces pour résister au sortilège, tentant d’empêcher l’aura de se fondre en lui. Cette lutte dura quelques secondes pendant lesquelles les deux armées restaient les yeux rivés sur Zeus, l’air ébahi. Lorsqu’il releva la tête, son regard était sombre, et il semblait avoir perdu de son assurance. C’est sur un ton haineux qu’il s’adressa à Shadow.
« -Je suis toujours là, tu n’espérais pas, simple mortelle, pouvoir vaincre le dieu des dieux ?
-Vous comprendrez enfin la colère des bannis!»
Shadow jeta la poignée de cendre qui restait du livre, qui se mit à tournoyer sur place. Ces cendres formèrent un tourbillon noirâtre, dans lequel apparut dans un grincement assourdissant… Archéos. Il semblait n’être vêtu que de lambeaux de tissus sombres, il se tenait légèrement courbé en avant, les mains crispées, son visage n’exprimait qu’une rage incontrôlable.
« -Zeeeuus… enfin à ma portée…
-Archéos ! Toi et ton peuple, retournez d’où vous venez ! »
Et les deux dieux, bientôt suivi par leurs fidèles, s’élancèrent dans une lutte sans merci sous les remparts de Lardanium.
La cité blanche était en vue. Les défenseurs disponibles se regroupaient à la hâte devant la cité, déstabilisés par les nombreux conflits auxquels ils devaient faire face. Les Quatarites venaient de traverser le fleuve, trempés et couverts de boue, mais les épreuves du voyage n’avaient en rien affectées leur détermination. Ils s’approchaient d’un pas résolu des premiers défenseur. La tension semblait se faire sentir dans les rangs des hommes de l’Empire face au nombre d'ennemis. Leurs resplendissantes armures, la fière stature de leurs mages s’opposaient à la horde de hors-la-loi, avec leurs vêtements sombres recouverts de la boue du voyage, leurs armures rafistolées, leurs armes de toute sortes. Mais ils se dressaient, menaçante masse de toute les races d’Olympia, de toute les origines, et c’est dans un même cri de rage qu’ils foncèrent sur l’ennemi, se précipitant sans hésitation vers les lignes olympiennes. Les défense de Lardanium commencèrent à tirer sur les attaquants, mais ceux qui tombèrent n’arrêtèrent pas les autres. C’est sans la moindre hésitation et sans ralentir que les quatarites parcoururent les quelques pas qui les séparaient encore de leurs ennemis.
La collision fut fracassante, les guerriers de Quatar mettant toute leur haine dans leurs frappes. Mais l’énergie du désespoir animait les olympiens, leur familles étant à quelques lieux du combat, ils se bâtirent du mieux qu’ils pouvaient.
La bataille durait depuis déjà quelques minutes, et les forces de la cité d’obsidienne avaient le dessus, leurs superiorités numériques s’ajoutant au terrible dégats causé par des grenades faite pour l’occasion. L’espoir commençait à faiblir du coté de l’empire, mais leur prières ne furent pas vaine, car en plein milieu de la mêlée apparu, dans un tourbillon rugissant d’éclair, Zeus lui-même, dominant tout le combat, savourant l’impression que son apparition causait. Toute la fierté olympienne apparaissant dans sa stature. Jetant un regard ironique sur les Quatarites , il rit doucement en voyant la terreur dans les yeux de ses adversaires. Sans prêter attention à l’agitation de ses fidèles, Zeus se tourna vers Shadow.
« -Tu ne t’attendait pas à cela, sorcière. Retournez dans vos taudis, toi et tes larbins, si vous ne voulez pas subir mon courroux. Tes pouvoirs ne te sont d’aucune utilité, à toi et à ton dieu, si j’en décide autrement !
-Votre prétention vous perdra, Zeus. »
Sur ces mots Shadow sorti d’une sacoche un livre à la couverture sombre, qu’elle tint ouvert devant elle. Une aura sombre émanait des pages dont la matière évoquait l’obsidienne, et lorsqu’elle en lut quelques lignes dans une langue au consonances anciennes, mystiques, les pages du livre s’enflammèrent.
L’aura sombre grandissait pendant que le grimoire se consumait, on pouvait voir l’étonnement dans les yeux du Dieu des Cieux.
« Cesse celà ! Qu’espère-tu faire ? »
Shadow du lire les dernières lignes de cet étrange grimoire, car après quelques secondes il n’en restait que des cendres. Zeus lança une poignée d’éclair sur Shadow, mais l’aura noire du livre demeurait, et la protégea des attaques du dieu. D’un geste de la main elle dirigea cette énergie sur Zeus, qui en fut immédiatement entouré.
« Misérable sorcière! Tu ne m’aura pas si facilement !»
Le dieu semblait lutter de toutes ses forces pour résister au sortilège, tentant d’empêcher l’aura de se fondre en lui. Cette lutte dura quelques secondes pendant lesquelles les deux armées restaient les yeux rivés sur Zeus, l’air ébahi. Lorsqu’il releva la tête, son regard était sombre, et il semblait avoir perdu de son assurance. C’est sur un ton haineux qu’il s’adressa à Shadow.
« -Je suis toujours là, tu n’espérais pas, simple mortelle, pouvoir vaincre le dieu des dieux ?
-Vous comprendrez enfin la colère des bannis!»
Shadow jeta la poignée de cendre qui restait du livre, qui se mit à tournoyer sur place. Ces cendres formèrent un tourbillon noirâtre, dans lequel apparut dans un grincement assourdissant… Archéos. Il semblait n’être vêtu que de lambeaux de tissus sombres, il se tenait légèrement courbé en avant, les mains crispées, son visage n’exprimait qu’une rage incontrôlable.
« -Zeeeuus… enfin à ma portée…
-Archéos ! Toi et ton peuple, retournez d’où vous venez ! »
Et les deux dieux, bientôt suivi par leurs fidèles, s’élancèrent dans une lutte sans merci sous les remparts de Lardanium.
Shadow
Perdu dans le temps,
Dans les larmes on apprend...
Perdu dans le temps,
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