Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Qui suis-je...?
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Qui suis-je...?
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Dernière réponse le 27/04/2007 à 18:29

geant Par Gorith  le 27/04/2007 à 14:39

Gorith se battait avec force et intérêt…ses coups semblaient ne jamais faillir contre les armures si sacré soient elles !

Les olympiens encaissaient nombres de ses attaques et faiblissaient sous les chocs…il avait prit souvent l’avantage face à l’ennemi et le voyait tomber trop facilement…

Au fur et à mesure qu’il avançait dans la bataille il se posait des questions…Il paraît de nombreuses attaques lors de son monologue intérieur et semblait songeur face aux troupes olympiennes…

« Qu’ai-je donc ?…un sentiment bizarre…je ne sais comment expliquer…mais j’avance…sans vraiment trouver de résistance face à moi…mes coups s’enchaînes…se succède et se ressemblent…trop à mon goût."

Il donna un violant coup à un Humain qui tomba mort à ses pieds…

« Rien…je ne comprend pas…rien n’arrête mes coups qui me semblent pourtant retenu ou alors maladroits…peut-être Archéos y est-il pour quelque chose ?…j’en doute… »

Il vit deux combattant olympiens semer la panique dans les rang…deux magnifique chevaliers en armure éclatante se battant avec habileté…
Il courut dans leur direction avant de leur porter quelques estocades bien placées…

Il arrêta ses actes sur les deux chevaliers…et le regard vide resta songeur…

« Cela ne sert à rien…je les regarde…certes il sont résistant…mais que peuvent-ils bien faire face à une horde de mercenaires dont le cœur réclame vengeance… »

Ne se sentant plus concerné par les deux chevaliers il se dirigea vers un autre point pour apporter son soutiens…le front sud-ouest avez besoin d’aide, le bruit courait dans les rang que les Chevaliers noirs approchaient…
Après une course difficile aux travers des rang désorganisés barbares…il arriva sur le front sud-ouest…Il contempla bien le champ de bataille…quelle ne fut pas sa surprise de constater qu’il y avait foule…mais il plissa quelque peu ses yeux pour mieux constater ce qu’il se passait…
Devant lui un spectacle peu glorieux…comme dans toute guerre…il y avait des guerriers, des mages tuant sans pitié les fils de Zeus avec une rage telle que les coups faisait trembler le géant à chaque impactes…
Il regarda un instant ses fou de la guerre dont l’étendard ne lui parlait pas plus que ça…n’ayant pas de réponse à se donner il attrapa le premier Catwë sur son chemin…

« Dis….soldat…qui sont ses combattants qui nous portent secours et viennent affaiblir de rechef nos ennemis… ? »

Le soldat répondit sans hésiter…

« Haha…se sont les Rebels et quelques alliées elfes et sauvages…et regardes comme ils sont efficace… »

Gorith lâcha le soldat qui courut aussitôt vers le massacre….Un massacre oui…mais dans un seul sens…

Gorith ne bougeait plus…il semblait amorphe…cherchant des réponses…cherchant à comprendre…Ses yeux passaient tours à tours sur les corps encore gesticulant des victimes olympiennes priant Zeus de leur faire taire une douleur qu’il arrivait à ressentir par leur simple cris…
Parfois des frères d’arme venaient abréger leur souffrance laissant aucune morale à leur actes et leur rage se calmer sur ses condamnés à mort…
Il regardait au loin un instant voyant les massacres en puissance des olympiens…il vit aussi les chevaliers noirs combattre…restant sur la défensive ne sachant pas quoi faire face à une telle barbarie…
Gorith regarda son arme…rouge…suintante et laissant une odeur de peste investir ses narines…il ne se sentait pas bien…mais regardait toujours son arme…les yeux livides…seul dans un bruit étouffant et laissant les cris bercer son esprit…Les morts lui parlaient avant même de rencontrer Hadès…à ses pied un olympien demandant pardon…priant de revoir sa famille et ne jurant quand la vie…Gorith se pencha vers lui le tenant simplement et écoutant ce qu’il voulait dire…mais…rien…il se tenait dans ses bras la bouche à demi ouverte le regarde simple et les pupilles dilatés…son visage instaurait la peur…la tristesse…la douleur…la mort.


Se levant, le cadavre dans les bras il regarda devant lui et d’un murmure sincère et repentire dit…

« Que faisons nous… ?…mais que faisons nous ?… »

Sa voix s’amplifiait et il répétait toujours ces même mots en versant de chaude larmes qui vinrent frapper les marres de sang se trouvant autour de lui…

« QUE FAISONS NOUS ?… »

Il reprit une voix plus douce et regarda de nouveau l’olympien vidé de son âme avec tendresse…

« Mais…que fais-je donc ici…et…qu’ais-je donc fait… ? »

Ils se pencha afin de déposer le corps sur le sol délicatement…il ferma les yeux du défunt et se redressa…lava ensuite son arme avec sa tunique et la rangea dans son fourreau…d’un geste doux il essuya les larmes qui coulaient encore le long de ses joues…Autour de lui beaucoup de soldat avaient put voir la scène…ils avaient sans doute entendu les cris de douleur du géant…

Il se retourna et commença une marche sur et déterminée vers Quatar…il passait les rang à contre sens ne regardant même pas les enragés foncer vers la boucherie…le regard strict et le pas certain…rien ne pouvait l’arrêter…




[Général Catwë]

La terre est le socle de toute vie...mais aussi le berceau de la mort.

geant Par Gorith  le 27/04/2007 à 15:37

hrp/ J'oubliais...il est possible de répondre ou d'intervenir RP parlant...ce qui veut dire que je laisse la liberté de répondre à ceux qui peuvent me voir sur le champ de bataille et uniquement ceux qui peuvent me voir...et ça durant tout mon temps de deplacement./hrp



[Général Catwë]

La terre est le socle de toute vie...mais aussi le berceau de la mort.

geant Par Goriht  le 27/04/2007 à 18:29

Durant tout le combat, je suivais mon frere comme sa propre hombre.

Mais jusqu'au jour ou une salve d'éclair s'abatta sur moi sans savoir d'ou elle venait, ni pourquoi moi alors que je me trouvais en plein milieu de mes compagnons.Puis une voie inhabituelle se fit entendre, une voie grave ayant une tres grosse force d'intonation.Elle ne m'était pas inconnu

Je me posa quelque instant au pied d'un chêne histoire de récuperer un peu.

Puis d'un coup ma tete se fit lourde, puis une douleur insoutenable m'envahissait, c'était comme si deux entités éssayait de s'emparer de mon esprit.quand soudain un écran blanc commencé a voilé mes yeux puis plus rien...

Quelques heures plus tard je revins a moi a .

Je me trouvais a des dizaines de kilometres du combat , a mes cotés se trouvait mon frére c'était lui qui m'avait éloigner de tout ceci en me portant sur son dos comme un vulgaire sac de pomme de terre, mon dos me le faisait resentir..

Quand j'y repense les douleurs c'étaient estompées,.

Quand soudain une deuxieme voie se fit a ce moment meme entendre une voie plus familiére qui me rappelait a elle.
C'était ARCHEOS

Archeos en personne venait de sauver mon esprit des mains de Zeus.