Anmor entra dans le bar de son ami Tarlag nommé les trois ruisseaux. Il salua tout d’abord son ami qui a ses heures perdu venait faire lui même le service. Il croisât le regard de quelques bandeaux sombres et les salua eux aussi puis il allât se trouver une chaise près de la cheminée. Tout les bandeaux étaient fatigués après cette nouvelle bataille et ils avaient bien mérité de se reposer. Cela ne faisait qu’une guerre de plus et il y en aurait d’autre c’était certain et tout les bandeaux le savaient aussi…Enfin ceux qui survivaient à ces batailles, encore cette fois si un des nouveaux placé sous sa direction n’était pas revenu à la forteresse. Il n’avait même pas survécut jusqu’aux grandes battues de la saison des longues Pluies…. Alors qu’il pensait a cela il se rappela ses propres début et son regard se perdit dans les flammes.



Ses parents et lui vivaient près de la mer d’émeraude. Ils y vivaient une vie tranquille loin des manigances de la ville même si ils rencontraient les leur lors du pèlerinage au fleuve de Gaia durant la saison du Chant du Renouveau. Cependant Anmor grandi puis se demanda de plus en plus pourquoi son père partait pendant la saison de la Grande Cuvée et revenais avec l’or qui leur permettaient de vivre durant l’année. Cependant un jour plusieurs Hommes sauvages arrivèrent chez eux un soir…

Anmor se réveilla quand il entendu des bruits venant de dehors. Il se leva pour aller voir ce qui se passait. Lorsqu’il ouvrit la porte de sa maison il vu son père et sa mère attachés à deux poteaux. Un homme s’avança et dit :
« _Pour vous êtes rendu coupable de vol sur plusieurs de vos frères. Pour cela au nom de la justice et au nom de Gaïa vous allez être exécutés pour payer votre crime.
_ Gaïa nous a abandonnée, il cracha par terre en prononçant son nom, vous êtes juste une bande de chiens enragés et avide de sang. Vous faites cela pour vous donner une légitimité à Luminae mais c’est parce que je t’ai pris ta bourse que tu vas me tuer. Il n’y a pas de loi à Luminae qui interdit de voler et… »
Il nu pas le temps de finir sa phrase car le chef de ces sombres personnages abaissa le bras et ils jetèrent leurs sorts sur les parents de Anmor.
« Non » cria t’il quand le corps de ses parents retombèrent sur le sol, sans vie. Le chef des assassins fut surpris mais esquiva facilement Anmor qui n’était encore qu’un jeune homme sauvage et l’assomma.
« Que faisons nous de lui Salphaer ?, dit un des hommes.
_Je n’ai pas de fils alors nous allons le ramener à Luminae, je pourrais ainsi le former comme je le veux…sans me soucier de savoir si il y survit. »
Et il partit d’un fou rire tandis qu’un de ses hommes mettait Anmor sur une des charrettes du convoi. Toutes la troupe se mit en branle vers Luminae. Au cour du voyage Anmor se réveilla et réfléchit.
« Ils les ont tués, ce dit il en commençant a pleurer, mais pourquoi…Ils avaient volés de l’argent et même moi je sais que ce n’est pas bien mais pourquoi les tuer…Ils ont juste volés, ils n’ont pas tués un de nos frères…
Il se calma et se rappela des paroles de Salphaer.
« Ils ont été tué au nom de la justice et de Gaïa…C’est de leur fautes à eux si mes parents son mort…Alors la justice et Gaïa son mes ennemis et je me vengerais d’eux mais aussi de cette homme »
Sur ces paroles il trouva une sorte de paix intérieur et se rendormi.

Salphaer ramena Anmor en Luminae. Il était en faite le chef d’une des nombreuses factions revendiquant l’autorité de Luminae. Celui ci avait une fille qui se nommait Sérësa et celle ci vécut avec Anmor dans les moments de joie et de peine qu’Anmor vécut. En effet le père de Sérësa lui en fit voir de toutes les couleurs sont envie de perfection doublé au faite qu’Anmor n’était pas son fils faisait qu’il ne lui passait rien et ne le ménageait pas. Cependant Anmor devint plus agile et plus puissant dans sa maîtrise de sa magie.
Le temps passa et Anmor fut forcé d’entrer dans les rangs de la milice et appris a commander et toutes les techniques de combat de Salphaer. Cependant il passa quelques moment de bonheur auprès de Sérësa même si son père s’opposa longtemps à ce qu’ils vivent ensemble. Cela n’empêcha pas Anmor d’être tourmenté chaque soir par la vision de cette sanglante nuit de son enfance. En plus de cela il voyageait beaucoup pour le compte de son père adoptif sous la couverture d’un simple troubadour. C’est durant un de ses voyages qu’il entendit parler de Quatar et de son dieu qui acceptait tout les bannis de se monde quelque soit leur races. Il rentra donc en Luminae et en parla a sa jeune épouse qui ne parut pas vraiment enchanter par une ville ou tout les criminelles pouvaient se rendrent mais plus par la venu d’une jeune femme sauvage qui avait réussis à rallier la plus part des hommes sauvages à sa cause et à se faire élire conseillère de Luminae ce qui remettait en cause le pouvoir de Salphaer. C’est elle qui s’occupait du lieu ou on entreposer les rares écrits de Luminae, c’était surtout du au fait des nombreuses confiscations des biens des personnes arrêtaient par son père. Anmor trouva bien un passage parlant d’un groupe de hors la loi étant aller a Quatar il y’a 214 ans mais une page était déchiré et c’était celle qui contenait le moyen de se rendre dans cette ville. Anmor passa la nuit a ruminer contre le sort qui ne lui passer rien.
Le matin suivant il ne put réussir à se contrôler et lors d’une brimade reçut par Salphaer il se rebella. Ce fut cour et les autres membres de la milice tentèrent de l’arrêter. Cependant il ne leur en laissa pas le temps et s’enfuit. Pendant sa fuite il vola une bourse a un des HS qu’il rencontra en prévision de son long voyage. Il fut rattraper peu de temps après et il fut jugé par une ancienne cour avec les nouvelles loi imposer par Elisenda la nouvelle conseillère. Cependant son pouvoir était encore trop jeune et les Hommes sauvage trop content que Salphaer ai été tué, même quand le verdict fut annoncer.
« _Je te condamne à l’exile Anmor héritier des Sparrow. Ton nom sera a jamais effacé de nos mémoires et de nos cœur. Pourvu que Gaïa ai pitié de toi…
_Qu’elle garde sa pitié pour elle. Elle nous a abandonné…Nous sommes plus près de Chronos que de Gaïa sous cette forme. Alors plutôt que de vivre dans le passé nous devrions nous tourner vers l’avenir et un dieu qui nous reconnaîtra qu’elle que soit notre forme…
_ Il suffit ,ordonna la juge, qu’on l’emmène. »
Il fut amener aux limites du territoire de Luminae sans ménagement avec ordre de ne plus jamais revenir. Avant de partir il revit cependant Sérësa, elle lui fit transmettre un parchemin au travers des barreaux de sa prison. Pas de reproches, juste la page qu’elle avait déchiré du livre pour qu’il ne parte pas pour trouver la ville que cette page permettait de trouver et une question...
"Anmor pourquoi?"
Alors seul et sans rien d’autre qu’un bâton et ses habits il commença son voyage vers cette ville et alors qu'il s'éloignait il dit tout haut
"C'était mon destin…".