Une bonne rancune, est une... | |
Topic visité 150 fois Dernière réponse le 17/07/2007 à 06:51 |
Par personne  le 17/07/2007 à 06:51 |
« Une bonne rancune, est une rancune vengée dans le sang ! »
Cet antique proverbe illustre bien le départ dans la vie prit par ce jeune nain, fils unique d’une famille plus ou moins respectable de riche marchand ; laissez moi vous comptez un fait résumant l’enfance de ce guerrier . Quand il avait 10 ans, EZEK accompagna son père à la capital des rebelles : Sigdil , là ou le commerce est le plus lucratif. Comme à son habitude le père du jeune nain avait un rendez vous secret pour commercez illégalement avec des #sans-barbes# venu de Quatar… Ils s’arrêtèrent un soir dans une auberge proche d’un vaste relief montagneux à quelques semaines de marche de la cité. Alors que son père s’occupait d’obtenir des chambres, EZEK s’aventura dans la bourgade malgré les recommandations paternels, découvrant avec le regard de l’enfance, ce monde qu’il ne connaissait pas. Mais les bruits qui provenaient du coin de la rue le sortirent de sa méditation. S’approchant, il aperçu des jeunes nain richement vêtu qui tourmentaient le fils d’un paysan. Observant silencieusement la scène, EZEK se rapprocha du père du malheureux et lui demanda pourquoi celui-ci n’intervenait pas. Après s’être grattez les fesse, le paysan lui répondit qu’il était interdit de s’interposer. Ces enfants, fils du nain surnommée #Sans barbes#, appartenaient à la délégation Hors-la-Loi chargez de commercez avec des citoyens corrompue de Kazad a Gorog et étaient par conséquent les enfants d’un meurtrier très dangereux : agir à leur encontre reviendrait à signer son arrêt de mort. Dégoûter par ce qu’il venait d’apprendre sur les pratique commerciales de son père, EZEK acquiesça et continua quelques instants encore d’observer la bagarre avant de faire demi-tour. La pluie qui s’abattit le lendemain obligea son père à retarder leur départ et notre jeune nain en profita pour fuir la présence familial et se promener une nouvelle fois dans les environs. Torturer entre les soudaines révélations sur la honte que représentait la traîtrise de son père et le respect qu’il lui devais. Plongez dans ces noirs idées, il se retrouva nez à nez avec les trois jeune nain occupés à frapper un mendiant. La pauvre victime s’était écroulée sous la sauvagerie des coups et était incapable de se défendre. N’apercevant aucun adulte à l’horizon, EZEK s’approcha. D’une voix calme et posée, il leur demanda la raison de leur comportement et quel gloire ils gagnaient à agir ainsi. « Ne mets pas en doute les choix des fils d’un représentant de la toute puissante Quatar…Tu a de la chance d’être le morveux d’une de nos relations sale chien , bâtard de traître de Kazad a Gorod ! » lui lança l’aîné avant de le frapper à la tempe, ce qui fit tomber notre nain aux côté du mendiant. Les enfants lui tournèrent alors le dos et s’acharnèrent de plus belle sur leur victime. Lassés par leur jeu, les trois frères finirent par s’en aller en riant, abandonnant à leur sort EZEK et le pauvre ères. Le vagabond se releva, le visage tuméfié et ensanglanté ; jetant un regard de douleur au nouveau venu, il tourna les talons et reprit la route. EZEK, furieux, le regarda lentement s’éloigner et demeura assis dans la boue. Il prit alors une décision. Le lendemain matin, le ciel était plus clément et le marchand nain décida de reprendre sa route. Alors qu’il descendait prendre son petit-déjeuner, il aperçut son fils blessé et couvert de boue qui rentrait. On pouvais lire sa fatigue sur ces traits, mais en bon nain, il ne se laissa pas aller. EZEK demanda alors à son père s ‘il accepterait de retarder le départ d’une heure. Ce dernier, après avoir observé l’expression sur son visage acquiesça sèchement. EZEK s’inclina et fit la promesse de revenir au plus vite. Il retrouva les trois enfants au bouts de quelques minutes de recherche. A l’approche de l’intrus, leurs conversations cessèrent. S’arrêtant à environ 5 mètres d’eux, le jeune nain laissa éclater sa rage et se mit à les insulter, les abreuvant de tous les jurons qu’il lui était possible d’imaginer. Outragés, les enfants refusèrent de croire un instant que quelqu’un pouvait avoir le culot de leur parler ainsi. Puis, comme une seul entité, ils se ruèrent à l’assaut. Prenant ces jambes à son cou, EZEK donna le signal de la poursuite. N’écoutant que leur colère, les trois autres le prirent en chasse tout en le traitant de lâche, ils quittèrent la protection du village et se laissèrent entraîner dans les vallées encaisser. Aveuglés par leur désir de vengeance, ils n’aperçurent que trop tard le piège. La fosse, profonde et recouverte de branchages, presque indécelable, pour un travail d’enfant, ce piège démontrait l’habileté naine dans les savoirs faire manuels. Au dernier moment, EZEK fit un crochet, laissant ainsi ses poursuivants se précipiter dans la fosse… De là ou il se trouvait, il pouvait entendre les trois enfants dégringoler et se rompre les os quand ils heurtèrent le sol. Leur hurlements de colère se firent alors cris de douleur et le jeune nain se rapprocha du trou afin de porter longuement son regard d’acier sur chacun d’eux, puis recouvrit la surface du piège de branchage et d’une couverture imbiber de terres boueuse avant de s’en retourner. Lors du voyage de retour, EZEK et son père marquèrent une halte à la même auberge, le soir venu, le jeune nain retourna dans les sombres vallées ; curieux de voir ce qu’il était advenu de son piège. Les corps en putréfactions de trois jeunes nains s’y trouvaient toujours. Ils n’avaient jamais été retrouvés. Impassible, EZEK observa longuement les cadavres et les lèvres de l’enfant ne prononcèrent qu’une seul phrase : « Voilà ce qu’il en coûte de provoquer un Citoyen , du Royaume de Kazad a Gorog. » L’année d’après les relations entre EZEK et son père s’étais dégrader et personne ne comprenais l’obstination du jeune nain à contredire toute chose faite par son père… Du coup celui ci laissa son fils à la capital et partit pour son voyage annuel. Mort de honte, EZEK ne pouvais confier son secret sans discréditer toute sa famille et devenir un Paria… alors mit au pieds du mur et risquant de se faire lui même bannir pour son comportement il se résout à aller quérir le conseil des autorité en la présence de Kardrim Gromthi Tête d'Acier, Gardien des Anciens. Déclenchant une énième bagarre, il fut amené devant la plus haute autorité après le Roi et put ainsi demander a s’expliquer en privée devant le chef de la Garde de pierre. Celui ci n’avais que peut de temps à perdre mais il fut étonner par la requête du jeune nain qui en une année étais devenue une honte pour sa famille et allais être bannit, alors mu par la curiosité il accepta. Et quel ne fut pas sa surprise quand il entendit le récit d’EZEK et la cause de son insubordination. Le Gardien des Anciens ne pouvais actuellement s’occuper lui même de cet affaires très grave mais il nota tout les détails et dit au nain qu’il n’avais plus à s’inquiéter, personne n’entendrais plus parler de son père et de ces affaires à condition que lui même réintègre les rangs et fasse tous pour rattraper la trahison commise par son géniteur ; alors et seulement alors se secret resterait entre eux. Le jeune nain, enfin soulagé de ne plus être seul à connaître la vérité; promit de devenir irréprochable si la situation pouvais être régler sans que le discrédit retombe sur son clan. Depuis ce jour, EZEK a grandi et est devenu un guerrier redoutable au grand dame de sa famille qui aurais bien voulu que le jeune nain reprenne la place laisser vacante par la disparition de son père. Voulant devenir un Maître de guerre reconnut de ses Pairs, des Anciens et des Dieux ; EZEK n’a de cesse de montrer son génie tactique et son amour de la guerre. Quiconque a déjà combattu à ses côtés peut témoigner de la rage qui l’anime et de la manière qu’il a de la dompter : la retenant comme un chien en laisse, il la laisse éclater au moment opportun. Les effets dévastateurs de cette combinaison de colère et de mesure feront de lui un guerrier respectés. |