Perdu, engouffré dispersé… Je en suis plus, ou alors je ne suis plus que néant.
Un organisme vivant qui viens de céder face à la mort. Et pourtant il me semble encore fuir pour me sauvé. Puis-je encore être sauvé ? Épargné de ma folie…
Il me faut savoir si ma folie peut être guérit ou non. La mort de ma raison est-elle définitif ?
Les conséquences sont déjà énorme. Est-ce que guérit j’aurai vraiment regagner ce que cette tare m’a fait perdre ? Non bien trop de perte… mais que faire ? Peut être que si, ma cause n’es peut être pas irrécupérable.
Aujourd’hui chasser par mon peuple je recherche les miens.
Mon aveuglement m’a cacher le noir qui se profilai devant moi. Mais qu’elle différence ? Maintenant je sais mais je ne peux faire plus. Je suis fou, et je dois assumer ce que je n’ai pas fait parce que mon corps l’a fait.
Ne pas réussir à me contrôler me met en rage, cela me fait céder encore plus à la folie. Certain de mes actes sont indépendant de ma volonté, en suis-je responsable ou non ?
Ces actes ne sont pas désirer mais je les ai fait, la folie serai donc similaire à l’inconscience. Cette Contradiction entre désire, acte et finalité… et cette contradiction me fait désirer l’absurdité de ma condition.
Mais comment en suis-je arrivé à ce point ? Je ne suis pas sûr de me souvenir. Ma mémoire ma déjà beaucoup fait défaut, mes moments de folie me font croire des illusions, ou les illusions prenne une forme de réalité sous ma folie. Mais il me semble que mon souvenir est correcte.


Une transe, pas pour trouver Luwo. Pour trouver Fingolfin, mais non il est à côté de moi à ce moment.
Ma folie qui avait commencé ? Mes souvenir déjà perturbé ? Non son corps est là, mais qu’une partie de son âme.
Et là il y a eu un imprévu, je suis sortit de transe soudainement , c’est là que ma folie a débuter.
Non pas encore, elle est venu peut après, j’ai d’abord vu ce jeune elfe ce faire agressé, puis tout le monde attaquer son agresseur, un autre elfe.
Mais pourquoi je l’ai attaqué ? Je crois bien que j’étais surpris, j’ai suivis le mouvement de meute. Tous on attaqué cet elfe et moi j’ai suivis. Mais moi je l’ai tué.
Et la suite ? Je ne sais plus. Juste des sentiments, colère, rébellion, désespoir, abandon… tant de sentiments sans images.
Et finalement ils ont voulu me tuer, j’ai été décider comme un ennemie. Puni pour la protection d’un jeune. Mais c’est partit de travers et maintenant je suis fugitif.


Maintenant j’ai besoin de savoir. Ou plutôt je sais et j’ai besoin de comprendre.
Désormais plus maître de moi-même je tente de rejoindre un point d’accroche, Fingolfin. Here’al est avec lui, il me faut son aide. Kowu avait pu atténuer ma folie avec des herbes shamanique. Here’al devrai avoir les connaissances pour.
Mon unique chance est par là-bas je le sens. Il me faut les atteindre et quérir leur aide… et je leur apporterai la mienne.

La lune et pleine cette nuit, cela me rappel des souvenirs.
J’en profite pour me remémorer ce qui met arrivé ces derniers temps.
Je me souviens être arrivé vers le groupe de Fingolfin en suivant Titania, j’ai demandé pour rester dans la groupe et ils ont accepté. Je me souviens qu’on a pas pu partir à cause de géants et des nains qui nous ont attaqué. J’ai voulu défendre la forêt et pendant que je faisais face aux géants je recevais des sorts d’un elfe de Na’helli, mais leurs bêtises ne m’importai pas et je suis resté à me prendre des sorts dans le dos et à rester face aux géants. Bien sûr je suis mort.

Gros noirs, le voyage chez Hadès habituel, j’ai de plus en plus peur qu’il se lasse de mes morts et chaque morts sonne comme une dernière. Mais j’ai pu ressortir, il m’a laissez une nouvelle chance.
Il fut bien miséricordieux avec moi en me plaçant juste à côté du clan de l’ours qui rentrai, je suis rentré avec eux et maintenant je les quittes pour finir le voyage seul.
Je lève la tête et regarde de nouveau la lune. Les raids de lumière qu’elle projette éclair mon chemin mais me rend trop visible, ce qui est dérangeant quand on est recherché et que le risque n’en est qu’accru.
Mon instinct me pousse à me cacher là où le danger me menace le plus : la forêt des Cendres, terre de mes ancêtres, terre que certain noble veulent à tous prix me faire quitter.

Aujourd’hui j’ai des questions qui sont permanentes, je me demande comment va Kiba, et la situation de ma forge. J’avais eu un réel plaisir à pouvoir accrocher cette enseigne : « Bienvenu chez Hemelt le forgerons », mes apprentis l’on t’il laissée comme je leur en avais fait la requête ou à mon départ elle à été changé ?
Désormais en cavale je n’aurai peut être jamais l’occasion de le savoir, mais je persiste à vouloir protéger la société qui veux ma mort. Je vais commencer par aider Fingolfin à regagner son statue et son apparence d’elfe. Ensuite je verrais bien.
J’arrive enfin à notre tanière, la tanière des loups qui aujourd’hui ressemble plus à un repaire de bandit qu’au lieu animé qu’elle fut autrefois. Toute les figures importante du clan étaient morte, ou presque. Le clan avait perdu son unité, ce qu’il avait eu tant de mal à reconstruire a disparu encore plus vite et la situation en est presque pire.
Mais je ne laisserai pas le travail de Kowu inachevé, désormais je sais d’où ma folie proviens, je sais comment récupérer mes souvenirs corrompu et comment retrouver un esprit intact des dommages qu’il connaît aujourd’hui.
Enfin je suis prêt à accepté ce qui m’a valu ma condition.

Une voix, un membre du clan rentre surpris de me voir, il est blessé et m’annonce une attaque olympienne. Je sors et je revois Cormag, je sors mon Espadon et le frappe, il est déjà blessé et quelque coup suffirons à l’envoyer dans le noir de la mort.
Je vois le groupe de Paladin qu’on avais laissé tranquille avec le clan de l’ours, je lance deux sorts sur Acrkon qui ne lui font pas de blessure apparente et qui on pour seul avantage de l’empoisonner.
De plus une rumeurs sur des golems qui protégerai une grotte à cristaux de mana.
Il semblerai que j’ai fort à faire avant de pouvoir me guérir de ma folie, beaucoup d’action m’attend, rien que je en puisse retarder, j’espère ainsi prouver mon attachement pour ma ville et je pris pour ne pas rechuter durant la période qui m’attend. L’avenir me le dira…