Par Cormag le 01/10/2007 à 18:38 Une douce brise, un soleil radieux. Des gardes affolés de partout, un assassin en fuite, ancien citoyen de l'empire, condamné à la peine de mort pour meurtre au sein de sa ville natale, un meurtre à mettre sur le compte d'une vengeance en accomplissement. Un loup qui vengeait un loup.
Découvert, des coups de toutes parts, une foule opportuniste, un géant passe par là, le plaque violemment... Même les invités sont plus chez eux chez le Chevalier Noir que le Chevalier Noir lui même. Une désinvolture apparente au commencement de la prise en chasse de la part de ses frères assassins qui n'en auraient fait qu'une bouchée.
Il se relève, en haut du temple, les soldats n'hésitent pas une seconde à lui lancer leurs javelots, javelots dont la maîtrise leur a d'ailleurs il y a peu été transmise par l'actuel gibier. Blessé superficiellement en plusieurs parties, un élan de courage, il saute au coeur de la foule, se fait arracher la partie droite du flan par l'épée batarde d'un champion au sol, et plonge, tel un harpon lancé au coeur de l'océan, dans la foule, son sabre reste etrangement rengainé, sa course effrenée le dirige vers les portes.
Les flêches fusent, il ne les pare même pas, se les prends toutes de plein fouet comptant sur un eventuel facteur chance. La grille se ferme à toute vitesse, mais trop tard, voilà le fugitif dehors...
Tentatives vaines de la part des soldats de le perforer davantage.
Cent, puis deux cents lieux, Cormag se retourne finalement pour s'éffondrer sur un rocher à la lisière de la forêt... Sa ville natale en paysage, une ville dans laquelle il ne pourrait plus guère aller. Ses ennemis seront contents, ses amis, il n'y pense pas réellement. Il revoit sans cesse le regard de sa soeur...
Ce jour, il etait sur la grand-place, une demande, un accès au rang de Chevalier Noir.
Ce jour sa vie d'Olympien de l'empire commençait.
Ce jour, il n'y repenserait plus.
" Adieu, Slash. Chevalier Noir... C'etait un beau rêve. Je m'en vais chez des gens qui portent mon principal trait de caractère comme appelation. "
Quelques pas dans la forêt, titubant... Il se retourne une dernière fois.
" Aurevoir... Ordenum. Nous nous reverrons. "
Découvert, des coups de toutes parts, une foule opportuniste, un géant passe par là, le plaque violemment... Même les invités sont plus chez eux chez le Chevalier Noir que le Chevalier Noir lui même. Une désinvolture apparente au commencement de la prise en chasse de la part de ses frères assassins qui n'en auraient fait qu'une bouchée.
Il se relève, en haut du temple, les soldats n'hésitent pas une seconde à lui lancer leurs javelots, javelots dont la maîtrise leur a d'ailleurs il y a peu été transmise par l'actuel gibier. Blessé superficiellement en plusieurs parties, un élan de courage, il saute au coeur de la foule, se fait arracher la partie droite du flan par l'épée batarde d'un champion au sol, et plonge, tel un harpon lancé au coeur de l'océan, dans la foule, son sabre reste etrangement rengainé, sa course effrenée le dirige vers les portes.
Les flêches fusent, il ne les pare même pas, se les prends toutes de plein fouet comptant sur un eventuel facteur chance. La grille se ferme à toute vitesse, mais trop tard, voilà le fugitif dehors...
Tentatives vaines de la part des soldats de le perforer davantage.
Cent, puis deux cents lieux, Cormag se retourne finalement pour s'éffondrer sur un rocher à la lisière de la forêt... Sa ville natale en paysage, une ville dans laquelle il ne pourrait plus guère aller. Ses ennemis seront contents, ses amis, il n'y pense pas réellement. Il revoit sans cesse le regard de sa soeur...
Ce jour, il etait sur la grand-place, une demande, un accès au rang de Chevalier Noir.
Ce jour sa vie d'Olympien de l'empire commençait.
Ce jour, il n'y repenserait plus.
" Adieu, Slash. Chevalier Noir... C'etait un beau rêve. Je m'en vais chez des gens qui portent mon principal trait de caractère comme appelation. "
Quelques pas dans la forêt, titubant... Il se retourne une dernière fois.
" Aurevoir... Ordenum. Nous nous reverrons. "
en tout cas).
Par 
Par 
. Et comme je l'ai déjà dit, z'avez le droit d'être aimable entre vous 
? Oui pourquoi? Ok...je sors..." 
Par