Une nuit dans les rues de Kazad a Gorog, un Nain muni d’une cape se déplace furtivement. Son visage est masquer par sa capuche. Ses pas le mènent jusqu’à une taverne miteuse, il entre. Ses yeux font brièvement le tour de la pièce. Puis, il se dirige vers une table où trois gredins s’affairent à des jeux d’argent. Il y a peu il n’aurait jamais traité avec des personnes comme elles. Mais depuis les choses ont changé.

Il s’approche, les brigands le voient arriver. Ils se tiennent prêt à bondir, «toujours se méfier », telle est leur devise…

Il glisse sa main dans sa cape. Les bandits porte leurs mains à leurs dagues.

Le Nain sort sa main de la cape. Les crapules se lèvent.

Une bourse pleine à craquer s’abat sur la table. Les canailles la regardent avidement.

- Demain soir, à la tombée de la nuit, aux pieds des montagnes.

Le mystérieux Nain repart comme il est venu, discrètement, sans un bruit.

Le lendemain soir, torche à la main, les bandits descendent la montagne. En bas, deux silhouettes les attendent.
Les deux groupes se rencontrent.

- Nous vous attendions.

Le silence s’installe

- Pas de temps à perdre en route ! continue le Nain, toujours habillé de sa cape.

- Et mais…tente un des trois scélérat.

- Plus tard !lui rétorque son commanditaire.

Le groupe des cinq avançait dans la nuit, ils se dirigeait plein Nord. Un des brigands rompit le silence.

- Pourquoi sommes-nous là ?

- Pour m’aider…

- Mais encore ?

- Vous êtes sans scrupules dit-on.

- On le dit... firent les voleurs en ricanant.

- Vous êtes donc les hommes qu’il me faut.

Pendant quelques instant le silence revint.

- Garder bien vos torches allumées, elles nous seront utiles.


Les trois compères se regardèrent, interrogateurs. Que voulait t’il dire par là ? Ce Nain était décidément bien étrange.
Le commanditaire et son compagnon quant à eux avançaient avec détermination, s’enfonçant dans les ténèbres de la nuit.

Une heure de marche plus tard, ces deux là s’arrêtèrent. Les trois voleurs firent de même. Le dirigeant de cette excursion nocturne improvisé défit le paquetage qu’il avait amené. Il sortit deux boules rondes qu’il tendit à son compère et en prit deux autres en main.

- Messieurs ça va commencer !

- Qu’est ce qui va commencer ? Et que sont ces étranges boules que vous tenez en main ? fit un voleur qui n’appréciait guère le mystère qui entourait ces deux Nains.

- Vous voyez ce village? fit le commanditaire en pointantdu doigt une maisonnette de chaume et de paille que l’on distinguait à peine.

Les canailles plissèrent les yeux pour apercevoir cette petite chaumière.

- C’est un village d’Hommes Sauvages. La plupart des habitants sont des paysans, il y a peu de véritables guerriers…
Nous allons rendre la monnaie de leurs pièces à ses autochtones.
Je veux que vous brûliez tous, que vous étripiez le moindre de ces villageois.

Ce qu’il disait le répugnait, mais il ne laissait rien paraître. Il fallait paraître fort et sans pitié devant les crapules qu’il avait engagé. Et après tout ces Hommes Sauvages méritaient une leçon. Il avait lui même assisté au massacre d’un village Nain perpétué par ces vils êtres que sont les poilus.

- Ca doit être dans nos cordes… répondit un des voyous.

- Quant à ces «boules », vous allez voir à quoi elles servent. Nous allons ouvrir le bal !

Beregroth, puisqu’il s’agissait de lui fit tomber sa capuche, dévoilant par la même occasion son visage. Les voleurs furent stupéfaits, tous le connaissaient pour être sans pitié avec les canailles dans leurs genres. Mais ceci, c’était lorsqu’il était encore Garde de Pierre. Aujourd’hui il avait besoin de Nain comme eux, sans éthique, prêt à tout pour quelques pièces d’or. Le compagnon de Beregroth lui aussi enleva sa capuche. C’était Gordrix, son fidèle lieutenant qui avait quitté la Garde en même temps que lui pour l’aider dans son périple.

Beregroth et Gordrix se regardèrent puis coururent en direction du village. Chacun lança une des boules qu’ils tenaient en main. Des explosions, des cris de douleurs…Les paillotes étaient en feu, déjà les villageois sortaient de leurs maisons, apeurés. Deux autres projectiles fusèrent. De nouvelles explosions, de nouveaux cris, des pleurs même... Des corps enflammés couraient dans tous les sens. Les deux grenadiers dégainèrent leurs haches. Beregroth se tourna en direction des voleurs restés en retrait.

- Mettez tous à feu et à sang ! ! !

Les pillards s’exécutèrent. Ils arrivaient torches en main, une petite dague accroché à la ceinture. A leur passage la paille prenait feu, le sang s’écoulait du ventre de leurs victimes.
Beregroth et Gordrix achevaient les malheureux paysans qui passaient non loin d’eux, sans distinction, homme comme femme, vieillards comme enfants.
Ce pauvre village était touché par un fléau jamais vu auparavant, une barbarie sans nom habitait leurs assaillants.

Il n’y avait eu jusqu’à maintenant aucune résistance. Les villageois était abattus machinalement, les uns après les autres.
Soudain un sort partit en direction de Gordrix. Le Nain réussit à annihiler l’effet de la magie avec difficulté. Il était moins une.
Un Homme Sauvages se tenait là, faisant face au Nain. Apparemment il savait se battre et en regardant de plus près on pouvait même apercevoir l’écusson des Disciples de Gaïa. Trois autre sorts furent lancés. cette fois ci ils touchèrent Gordrix qui tomba au sol.
Le Nains se releva en fixant son adversaire. Les deux combattants étaient tendus, ils s’épiaient, prêts à anticiper le moindre mouvement de l'ennemi. Le duel allait débuter mais avant même qu’un seul des adversaires aient put bouger, les jambes de l’homme sauvage furent sectionnées.
Beregroth était passé derrière le poilu et lui avait coupé les membres postérieurs d’un coup de hache. Le corps de l’Homme Sauvage tomba au sol, à coté de ses jambes. L’infirme vivait encore et se tordait de douleur. Beregroth se pencha sur son corps, l’attrapa par le cou et le souleva au dessus du sol. C’était bien la première fois qu’un Homme Sauvage était plus petit qu’un Nain. De sa hache il lui ouvrit le ventre. Il jeta son arme à terre et plongea sa main dans les entrailles du pauvre Sauvage. Il la ressortit et avec elle, un long tube blanc visqueux, son intestin, qu’il écrasait fermement de sa poigne de fer. Le tronc de sa victime fut prit de convulsions et de sa bouche sortait un liquide blanc.
La carcasse tomba par terre, toujours prit de spasmes.

- Je suis désolé. Tu as payé pour tes semblables…

Beregroth leva la tête et regarda autour de lui. Gordrix le regardait avec des yeux réprobateurs qui lui firent regretter ce qu’il venait de faire. Les trois gredins quant à eux égorgeaient les derniers survivants et pillaient les chaumières.
Beregroth était las.

- C’est assez ! On rentre ! ordonna t’il.

Tous s’exécutèrent. Ils prirent le chemin du retour. Beregroth resta seul quelques instants. Il tomba à genoux.

- J’espère vous avoir satisfait Hadès … fit-il dans un soupir.

Plusieurs minutes plus tard, il rejoignit les autres.
Les trois pillards marchaient à l’avant du groupe, chantant et se félicitant. Fier d’avoir ramené un si bon butin.
Gordrix et Beregroth eux, marchaient derrière, silencieux, la tête baissée…

Un HS seul se dirigeait vers un point précis, celà se voyai à son allure.
Une inquiètude dont il devait avoir le coeur net.
Il savait qu'on ne lui avait pas mentit mais il devait voir l'acte que les nains avaientt fait de ses propres yeux.
Il faisait désormai jour et un temps gris planait au dessus de la forêt, comme une anonce lugubre.
Le conseillé était partit précipitament et commençai à fatigué mais il ne s'arrèterai pas avant d'être arrivé sur place.
Il se demandai encore comment ses nains avait pu oser une chose pareil, est-ce qu'ils cherchaient à créer un nouveau conflit ?

La soif commençai à se faire sentir, Neidhr s'arrèta au prêt de la rivière afin de boire et mangé un peu, ce qu'il n'avait pu faire avant de partir.
Il se posa là et envoya une missive à Luminae :

Lettre du conseillé Neidhr

J'ai fais une grande partie du chemin et je devrai arrivé sous peu.
Une fois sur place j'enverai une description des plus complètes possible.
Il faut réagir vite face à cette acte, j'en suis consciens. Je fais de mon mieux et pense arrivé sous peu.
Informer les citoyens que leurs aides poura être requise, on devra sans doute avoir un beau nettoyage à faire.

Salutation au peuple HS

Neïdhr Kentaro, conseillé


Après cette pause, désormait reposé, Neïdhr repris sa route.
Ce fût un peu plus tard dans la journée qu'il trouva le première trace d'un passage et visiblement c'était un passage de nains.
Il semblai être venu bien plus prêt que le conseillé le pensait.
Quel besoin de s'enfoncer autant dans la forêt...
Il vaudrait mieux pour l'homme sauvage d'être prudent, peut être les intrus étaient t'il encore présent.

Ils doivent sans doute être là pour surveiller les environs que personne ne viennent déranger la construction de la tour de la garde de pierre.
Tour qui se construisait en ce moment même à l'oré de la forêt, tour qui était le motif de son voyage.
Neïdhr suivit donc les traces de ses nains, visiblement ils étaits aux minimum 3, peut être plus. 3 nains en éclaireur au même endroit ?
En plus ils vont dans la même direction. Il y a autre chose aui motive leur présences.
Les nains ne sont pas idiot au point d'envoyer autant de nain surveiller les environs, une grande main d'oeuvre devait être requise pour la construction de la tour.
Il devait y avoir une autre motivation. Les nains cherchaient t'il à relancer un attaque surprise sur Luminae ? La tour leur servant comme avant post pour cette attaque.
Aucune idée, et Neïdhr devait découvrir ce qui se tramait dans les environs.
Il suivit les traces des nains juqu'à trouvé le lieu qui lui permit de comprendre.

Oh Gaia ! Quel horreur ...

Alors qu'il trouvait la construction d'une tour de la garde de pierre contre la forêt révolant ce qu'il vit ici failli le tuer.
Un village en cendre, le conseillé s'avançais dans ses décombres, découvrant de bien trop nombreux cadavre, homme, femme, enfant, viellard, même des nouveaux né.
Il continua sont chemin et tomba sur un DG, présent dans le village à ce moment. Sans doute le seul survivant... agonisant.

Aaaa, 5 nains, tout tués... Aaaa !

Il poussait des mugissement d'agonie.
Ses trippes lui avait été sortit du corps et écrasé.
Visiblement il avait eu le réflexe de se soigné mais son cas était désespéré, ce fut un miracle qu'il est pu survire aussi longtemps.
Mais celà n'eu pas servit, même Neïdhr ne pouvait plus rien faire pour lui.

-C'ét..c'était... Aaaaa !
-Repos mon ami, tu as bien assez soufert comme ca.

Neïdhr prit la lourde désition, et pourtant la plus sage, d'achever les souffrances de cette hommes sauvage. Celà n'était pas facile de tuer quelqu'un dans ses conditions mais un aiguillon apparu et tuea net le DG qui avait vaillament fait son travail.
Dans un dernier soupir il lacha tout de même le nom du coupable comme si savoir la fin de ses souffrances proches lui avait redonné assez d'énergie pour cette tache.

Be...bere..g.groth, Beregroth.

Le conseillé se releva, le visage sans plus aucun sentiment, comme si lui aussi était mort. Sans bruit il se releva pour écrire un deuxième message à Luminae, un autre nettoyage devait avoir lieu, la plume glissait si silencieusement on aurai dit que tout autours de Neïdhr semblai se taire par peur de brisé le silence qu'il semblai imposer.

Mais il avait une autre mission, la lettre envoyer ses traits se déformèrent sous la rage, il semblai qu'il venait seulement de comprendre ce qu'il c'était passé.
Et il partit plus vite que jamais démolir la tour et tout nain qui serai présent.
Et s'il avait la chance de trouver Beregorht il avait pris la désition de lui arracher les trippes et d'ensuite le soigner du mieux qu'il en serait capable afin que le nain meurt d'une très, très, très longue agonie tout en sachant que rien ne pourrai le sauver.


hrp/
Bon j'espère que cette suite dérange pas.
Le "FIN" à failli m'en disuader mais cette suite me trotant dans la tête j'ai pas pu m'empècher de la mettre.
Donc Beregorth si tu espérais que ta fin reste comme t'elle je m'en excuse par avance.
Et HRP j'aime bien

HRP/ Le "FIN" indiquait surtout que j'avais finit d'écrire dessus mais si tu relance peut être que j'écrirais une suite.
Je vais enlevé ce "FIN" d'ailleurs.

Par contre y a eu amalgame entre mon acte et celui de la Garde. Le siège de Guilde n'a rien à voir avec ma "pseudo-attaque" (je voyais déja certains HS crier au loup ). Enfin si c'est comme ça que ça a été vécu du coté des Hommes Sauvages, c'est aussi bien que tu l'écrive.
Si d'autres veulent continuer d'ailleurs, ils peuvent./HRP

hrp/Mon personnage est partit s'occuper de la tour et tombe un peu par hasard sur ton lieu de massacre, ca veux pas dire qu'il associe les deux évènnements ni que ce soit le cas du peuple HS (du moins pas pour l'instant).

Et puis de toute manière faut pas croire que tu peux massacrer un village sans répercution et même si c'est juste une "pseudo-attaque".