Une recrue pour Luminae | |
Topic visité 199 fois Dernière réponse le 12/12/2007 à 06:53 |
![]() |
Je vivais à Luminaë autrefois, dans ce temps le peuple sauvage était ...différent...
Nous n’avions aucun souci à part se ressourcer, prier Gaïa et subvenir à nos petits besoins. Mais le temps change tout, des mœurs jusqu’à la personnalité même des êtres. C’est peut-être pour ça que je suis parti, les autres devenaient à l’image des autres… Le peuple sauvage commençait à devenir à l’image des préférés des dieux secondaires : les Olympiens. Avec plus de poils, bien sûr et beaucoup plus frêle. Il ressemblait aussi à ces nouveaux venus des étoiles, les humains, j’ai entendu des comptes de fée sur eux, mais je ne préfère pas m’y fier ...pour l’instant. Moi, je m’appelle Lucar, ce nom me viens de mes ancêtres et est porté par le premier mâle de chaque génération... hors je suis le seul de ma génération dans ma ligné…et je n’ai pas l’intention de me marier... Je suis né comme je suis, à part bien sûr mes mesures qui ont «grandit». Je mesure quatre pieds et pèse 119 livres, non je ne suis pas plus grand qu’un nain, mais là où je vis ça n’a pas d’importance. Je me suis exclu de Luminaë parce que la mode changeait et que moi je n’étais… à la mode. Je vis à l’ouest de la forêt des Ombres, là où en Hermite, je vivais ma simple vie. Jadis, Chronos, un dieu secondaire, eût le plaisir de nous transformé et nous faire fusionner avec des animaux, nous rendant ainsi faible et mortel. Mon alter ego à moi fût le renard, je suis né sous cette forme et j’espère mourir définitivement sur cette forme. Mon pelage recouvre entièrement mon corps et est majoritairement de couleur bleu, couleur très voyante le jour, mais la nuit elle permet de me fondre dans la nature comme un rien. Mon visage est celui du renard, j’ai un museau, des canines me servant à broyer les fruits ayant une armure plus coriace, deux longues oreilles et un masque noir de raton laveur qui à une forme de bandana qui recouvre une partie de ma tête, mes yeux et mon museau. Mes épaules sont elle aussi maculé d’un pelage noir et mon ventre est beige. Si j’avais des vêtements sous mon poitrail beige se trouverait une ceinture noire, hors les poils me recouvrant sont si long qu’il ne m’est inutile de porter des vêtements. Hors je suis plus porche de l’animal, de la nature que les pseudo Olympiens que sont mes patriotes. Mes quatre pattes sont noires et même s’il s’agit de pattes, je puis me déplacer en humanoïde. C’est ce que je fais, la plupart du temps, car à deux pattes c’est plus lent et je ne suis pas une personne pressée. Pour finir ma description, j’ai trois dards osseux d’une dizaine de centimètre : deux sur chaque dessus de poignet, me permettant d’utiliser de manière innée le sort dard et le dernier…sur mon poitrail, j’ignore son utilité, peut-être protège-t-il mon cœur, je l’ignore. Mes cordes vocales sont ceux du renard, je ne puis donc pas parler comme tout le monde, je grogne, je hurle, je soupir, se sont mes seuls moyens de communiquer verbalement. Je peux par contre parler en faisant des mimes et… en transmettant mes pensées aux autres. Je ne suis pas exceptionnel comme homme sauvage, j’ai les mêmes caractéristiques de base que les autres… à part mon apparence. Pourtant avant c’était la mode... Ma vie est simple, je l’ai consacré à prier Gaia, à manger, comprendre la vie, à sentir l’Aura de toutes choses existantes et à dormir. Un matin, j’entendis beaucoup de bruit à l’ouest, j’ignorais qu’est-ce que c’était, mais cela empêchait ma méditation. J’allai donc voir par curiosité, je fermai les yeux, me guidant que par mon ouïe et par l’Aura des choses. Je montai dans un arbre et me déplaçai de branche en branche vers le bruit, juste qu’à la fin de la forêt des Ombres. J’ouvris les yeux et examina de la branche l’entourage : des nains se trouvaient là et fouillaient le sols à la recherche de je ne sais quoi. Je me retournai, juste des nains… je m’étais déplacé pour rien. En fait à part quelques radotages d’hommes et de femmes sauvage, je ne connaissais très peu la politique extérieur. Je sais juste qu’il y a eu beaucoup de guerre, de conflits... d’une certaine manière je me sens lâche, car je n’ai participé à aucun combat pour protéger la nature que je chéris tant, je n’ai que fais que prier Gaia. Depuis quelques temps déjà, les nains creusent. Je me sens agressé dans ma méditation par ce bruit. Et pourtant ce bruit me permit de faire beaucoup de réflexion sur ma vie et mes buts. Dans les deux cas, j’en avais pas... ni vie ni buts. Il serait temps pour moi que je me socialise, que je quitte l’Hermitage et je fasse enfin quelque chose pour moi, la nature et mes frères et sœurs de races. Je levai mon campement un jour comme les autres et partit. Je n’avais pas grand-chose à emporter à part, mon arc, mes flèches et un bâton que je pourrai revendre. J’allai donc vers l’est, là où se trouvait Luminaë… la cité qui m’a vu naître… Comment pouvons-nous décrire cette sensation, j’étais nostalgique, mon chez moi j’y tenait et cet ancien monde qui fût le miens me semblait bien étranger. Pattes devant l’autre, j’avançais vers ce qui semblait être mon destin. Gaïa me guidait et je devais faire ce que je devais faire. Une odeur étrange exhuma en moi un souvenir, autrefois Luminaë n’était qu’un marrais, mais pourtant mon flair ne me trahissait pas, je sentais quelque chose et je creusai par terre pour vérifier. J’y découvrit avec stupéfaction des graines de violettes, je les gardai...dans le pire des cas ce sera un bon casse croûte. J’arrivai enfin à destination après quelques temps, Luminaë était devant moi et certaines personnes du peuple sauvage me regardaient étrangement. Je les ignorai, me moquant éperdument de leur pensée. L’intérieur de la cité n’avait pas beaucoup changé... à part qu’il y avait maintenant beaucoup plus de boutiques qu’autrefois. Je décidai donc de me recueillir au Cœur de la cité. Là où tout a commencé, là où Luminaë pu naître pour la nature par ces fidèles. ~Gaïa, toi la mère des mères Je te remercie de nous avoir créé Nous, tes propres chimères J’espère tu sauras comment nous pardonner~ ~Si par malheur nous tombons dans le péché Tu es pour moi, mille fois gratifier Pour cette nouvelle vie que tu m’offres Pour cette...nouvelle vie ...que tu m’offres...~ Je soupirai, mon petit coin de paradis me manquait déjà... Je respirai profondément, il me fallait trouver un but. Ma vie, ma foi, ma passion ne sera que pour celle qui nous a créé...Gaia |
![]() |
Jolie chronique ^^ (¯`·. Dévot de la Liberté
"Celui qui n'ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile." [Sigdil] |
![]() |
(Tiens, une Mirie ![]() Welcome home ^^) Gorbad Kaskanferr
Bras Droit de la GTN Conseiller Royal du peuple nain Concepteur de la grenade mana Un Nain gras est un nain heureux |
![]() |
(Haannn c'Mirie ? :] Oui, Rebienvenuuuue alors :P Très jolie chronique en effet sinon ! ^^) [Roi des Nains]
[Jeune nain à barbe vivante] "Ah ! Qu'il est grisant d'emmerder les gens." Grimbar "- Ta geule -" Griky |
![]() |
Je pensais pas vous vous souveniez encore de moi ^^ merci pour l'accueil
_____________________________________________________________________ Du cœur de la cité, j’examinai les personnes m’entourant. Je ne vis aucun que je reconnu…à part une. Un dame que j’avais déjà vue autrefois, mais elle fût alors beaucoup plus jeune. Je ne réalisai pas tout de suite qui cela était. Je fermai les yeux et je commençai à sentir son corps puis je sentis son Aura. Je la reconnu tout de suite, elle et son compagnon de route : Fighîn. Je l’avais quelque fois croisé dans la forêt et ce faucon avait une personnalité en or! Je détournai mes yeux clos vers le coeur car celle que j’observai était la grande conseillère Élisenda. Oui, même de mon refuge j’ai entendu parler d’elle et de pleins d’autres aussi… Je crois qu’elle a ressentie que je l’observais, car je la vis tressaillir tout en cherchant l’origine de son malaise. Cette fille, cette femme est malgré tout très forte. Fighîn quand à lui me salua d’un crie. Je lui envoya à lui seul mes pensées. ~Bonjour ami, au plaisir de te revoir~ Je partis alors un peu plus loin, vers la forge. J’avais encore un peu d’argent sur moi et peut-être là bas pourrais-je vendre mon bâton. Je fus déçus d’apprendre que cela n’était pas le cas… je devais donc… Aller à l’autre bout de la ville pour aller les vendre à la Foire…De toute manière il n’y avait pas grand-chose qui m’intéressait à part peut-être une boule de mana, mais je n’avais pas encore assez d’argent. Je passai alors devant école pratique, je passai devant et je me rappelai, autrefois, quand j’étais gamin. -Lucar, fait attention à ce que tu fais! Tu ne dois jamais quitter cette flèche de ton arc. Le tir des ombres se fait tout seul. ~Compris professeur. ~ J’avais cinq ans la première fois où mon père m’obligea de suivre un cours sur mes compétences innée. Lui, mon père qu’il avait tant de foi en Gaia qu’à ma naissance il espérait une fille, je le déçu donc le premier jour de mon existence. Par la suite il espérait que je fus un fils de Gaia, comme lui et ma mère, je le déçu encore car le professeur lui apprit que j’étais un Illusionniste. Malgré tout il me fit continuer à suivre les cours, mais ce fût le professeur qui m’inspirait à continuer. Je l’adorais et je compris rapidement le maniement de cette technique, tout comme celle du dard. Ma mère fût fière de moi quand le professeur lui apprit que j’avais réussi en un rien de temps de contrôler mes compétences, mon père lui observait le professeur. Le maudissant intérieurement d’avoir annoncé l’inévitable. J’étais une sorte de guerrier… Je soupirai en regardant la bâtisse et je pris une graine de violette. Je la lançai et mon museau l’attrapa au vol. ~Pas mauvais comme goût! ~ J’étais rouillé maintenant, mais j’imagina qu’avec un peu de pratique je serai de nouveau habile. J’allai donc à la seule vraie place que je connaissais par cœur et qui n’avait sûrement pas changé… la place publique. Là bas, il y avait beaucoup de parlotte, surtout à propos d’une seconde malédiction causé par Poséidon parce que un Homme sauvage avait tué son fils. Je fronçai ce qui me remplace de sourcils, mais je n’essayai pas vraiment de comprendre. Mon opinion sur les Dieux est simple il y a les primaires : Chaos, Erèbe, Nyx, Gaia et Ouranos et toutes leurs cliques et le reste se sont de Dieux secondaires. Les primaires ont aidé à la création de se monde et les secondaires comme des parasites puisent la vie qu’on venait tout juste de lui donner. Gaia avait des favoris, nous ses créations et l’un de ses fils : Chronos était jaloux. Il décida donc de nous maudire et de nous mélanger avec toutes formes d’espèces vivante et ça donna des mélanges affreux comme le miens. Puis les dieux secondaires prirent le pouvoir des choses et conçurent leur créature : les Olympiens. Comme Gaia avec nous, ils les choyèrent et les surprotégèrent, mais à la différence de nous… ils n’ont pas été puni parce qu’il aimait leurs Dieux. Ma foi à moi, n’est que pour Gaia… son Aura est partout…mais pourtant je ne réussi pas à la capter, elle…sommeille. Je crois aussi en Chaos, car il fut le premier et pourtant il n’était rien. S’il nous voyait maintenant, je suis sûr qu’il aurait préféré ne rien créer. Le dieu Poséidon nous avait donc punis aussi, pour meurtre. Je ne comprends pas la logique des seconds dieux, pourquoi donc toutes les créatures du peuple sauvage y sont affectées. J’y songe, moi-même le suis-je? En quoi cette nouvelle maladie nous atteint ? Je ne sais pas…je devrais peut-être posé des questions. Et si nous allions voir ces chères Disciples de Gaia? Ma vie, ma foi, ma passion ne sera que pour celle qui nous a créé...Gaia |
![]() |
Je ne raconterai pas ce qui c’est passé au lieu de recrutement des Disciple Gaïa, mais je dirai juste que l’attente était trop grande. Je décidai donc de partir, pour méditer. Pendant plusieurs jours je longeai l’étendue d’eau ramassant des graines de violette et les plantaient par la suite. Je respirai l’air en regardant l’horizon, le monde avait tellement changé… notre peuple n’est plus comme autrefois. Avant nous vivons de la nature, nous étions en symbiose avec et maintenant, nous l’utilisons pour ce que l’on croit juste. On l’utilise pour se défendre, mais pourtant on ne change jamais nos habitudes malsaines. Pour donner l’exemple aux autres, ne faut-il pas se comporter comme nous voulons qu’ils se comportent. On raconte que les nains veulent attaquer, pourtant c’est eux qu’ils ont tout commencés, autrefois. Pas ceux du présent, mais ceux du passé…ceux qui pour leur cité décidèrent de s’approcher pacifiquement de la forêt des Ombres et en faisant des coupes à blanc. Sidérés, nos pères agirent avec autant de barbarisme que les nains et la première des guerres de ce conflit commença. Depuis, les fils de nos pères et de nos mères voulurent à tout prix connaître le monde qui l’entourait. La curiosité est un si vilain défaut, on changea et nos corps se transforma pour devenir pour certain presque pareil à celui des chouchous des Dieux.
Nous avons été influencé par le monde extérieur et cela causa la perte des Hommes Sauvages. Nous communiquions de par la nature, maintenant on envoie des bouts de papier ramassé à terre et on écrit. Pourquoi apprendre à lire et à écrire, la paranoïa nous a-t-elle envahit au point de ne plus avoir de parole? La réponse est oui, même moi je commence de me méfiez des autres, mais surtout d’eux… pourtant je m’engage à combattre auprès d’eux, je m’engage à payer le prix de leur erreurs. J’aimerais tellement que cette cité soit détruite dans un séisme... Gaïa je te l’implore, fais-le! Cela ne voudrais rien dire si les autres peuples le fait ou si les Dieux secondaires, seules la puissance pourra leur faire comprendre qu’ils sont dans l’erreur. Les Sygaïles se retrouverait sans refuge, sans abris, comme avant et peut-être comme avant, apprendra-t-il à ne pas dépendre des éléments matériels. Au lieu de n’être que des magiciens de la forêt qui modèle un arbre pour en former un nichoir, nous serions à nouveau en communions avec notre essence même. Nous étions sédentaire avant, nous recherchions la tranquillité d’esprit et nous simplifions tout, maintenant tout est compliqué car on interagit avec les autres. Je fronçai le front, je sentis mon museau se plisser. Je deviens compliqué à cause de mes frères, pour eux je suis un arriéré et il essaie de me comprendre, mais leur impulsion leur empêche de suivre un chemin si droit. Ils ont de bonnes intentions, mais leurs méthodes sont mauvaises. Malheureusement, on ne juge pas quelqu’un sur ses intentions, mais sur ses actes. Mais à qui le sort d’un vieil Hermite homme-renard intéresserait? Que ses pensées soient intéressantes passes, mais sa voix se perdrait dans le chahut de leur silence. C’est comme mettre quelqu’un au pouvoir parce qu’il parle bien, la seule raison pour laquelle qu’il est là c’est simplement parce que une minorité le trouve bien et les autres soit ne l’écoute pas, ne le comprend pas ou font semblant de le trouver intéressant, car de toute manière les autres sont pas plus compétents. Un homme seul ne change rien, mais les valeurs eux subsistent, mais elles oublient et se regagne que très difficilement. Je soupirai, que ce monde est pathétique... Un craquement vient de retentir derrière-moi, je l’ai senti fluide et précis, il y avait quelqu’un qui m’observait. Je fis une rotation à mes deux oreilles pour mieux percevoir ce bruit et je vis son aura. Un canidé se trouvait à quelques mètres de moi, couché pour que je ne l’aperçoive pas. Pourtant il savait que je savais que sa présence ne m’était pas inconnu. La créature était tailladée par la faim, dos à lui je sentis ses mouvements : doucement je sentis sa salive monté lorsque ses jambes ultérieur se mirent à le propulser vers moi. Les miens fit de même et sautèrent quelques pas en avant. J’atterris à proximité de l’eau, tandis que mon attaquant grognait sa défaite. Sachant d’avance que des graines de violette ne lui suffirait pas je pria mentalement durant quelques secondes. Je projetai alors un dard sur un poisson qui fût transpercer je partis à courir vers lui avant que son sang ne détruise trop la beauté du liquide incolore. La touffe de poils rousse commença à me gronder après, offensé que j’aille atteint un but qu’elle ne réussissait guerre. Je lui lançai le pauvre poisson et la renarde ne se fit pas prier, elle s’enfuit avec. J’étais intrigué par contre, cet animal n’attaque jamais les animaux plus gros que lui. Je décidai donc de la suivre et je ne me cachai pas. Je savais qu’elle savait que je la suivais et cela ne semblait pas la déranger. Un cadeau pour mon cadeau. Elle s’arrêta jusqu’à une petite grotte, je voyais le fond et elle avait prit soin de mettre du foin douillet pour son compagnon malade. Un renard bleu. Non un bleu clairvoyant comme mon pelage, un renard bleu est en fait un renard polaire. La couleur de son pelage varie, gris en temps chaud et blanc en temps froid. Ils mangèrent ensemble le poisson et à deuxième vue je remarquai qu’il n’était pas malade, mais simplement très jeune. Malgré son jeune âge, il sentait la testostérone alors sans vérifier j’imaginai que c’était un mâle. Il devait avoir été trop curieux et a descendu un peu trop bas et c’est perdu. La rousse a dû le trouver entrain de mourir de faim et l’a emmener ici dans son refuge. J’étais fasciné, malgré la distinction physique des deux animaux chacun semblait de bien s’entendre avec l’autre. Un crissement d’aile nous sortîmes de notre intimité et un pigeon atterrit juste en face de moi. Les deux renards se mirent à gronder et le bleu s’approcha avec hésitation. Avec autant d’hésitation l’oiseau les observaient puis déposèrent à terres les lettres. Seul moment d’inattention et pourtant en s’envolant quatre pattes lui tombèrent dessus. Le jeune venait de lui couper sa seul voie de sortit, les airs. Je regardai les feuilles un moment puis les installa dans en boule dans la grotte. Cela ne me sert pas de les lires, vue que je ne sais pas ...lire, et ses entités s’inspirait à un autres utilité Quoi qui en soit, quelqu’un voulait me rencontrer ou quelque chose se passait et mon aide pourrait être utile. Quoi qu’il en soit ce n’est pas ici qu’on m’attend. Je me tournai des renards qui venaient de se séparer la proie et je marchai vers Luminaë. Au moins quelque s’un de leurs esclaves furent libérés... Ma vie, ma foi, ma passion ne sera que pour celle qui nous a créé...Gaia |