Galaad descendait donc vers Quatar le plus rapidement possible, non sans s'arrêter de nombreuses fois entre deux buissons dans le but « d'essayer » de se satisfaire, fécalement parlant. L'expression avoir mal au ventre prenait une nouvelle dimension dans l'esprit de Galaad. Il parvenait à peter _et d'ailleurs cela ne le même genait même plus de le faire en compagnie d'autres personnes _ mais aucune matière fécale (ou autre d'ailleurs...) ne dégnait sortir pour explorer notre vaste monde d'Olympia, ou plutôt pour finir dans un tas de feuilles mortes, et dans le cas ou cela arrivait, l'opération n'avait strictement aucun effet sur le mal qui affectait Galaad. Et l'odeur qui émanait de ses étrons, et de Galaad lui même, était telle qu'il ne trouvais même plus de gibier pour se nourrir, ceux ci ayant fuis à l'apparition nauséabonde des éfluves grotesques dégagées par Galaad, et qui parvenait aux nez, museaux, et tout autre appendice olfactif bien avant l'arrivé de celui-çi. Un géant qui passait près de la forêt au niveau du lac ce jour là fut le spectateur d'un étrange phénomène. Des cerfs, des loups, en fait à peu près toutes les espèces vivants dans cette forêt semblaient la fuir, la peur au ventre. Il ne s'en soucia guère, jusqu'au moment où il sentit lui même cette odeur, et crut un moment que c'était la mort qui venait le chercher. Il courru comme jamais il n'avais courru, rattrapant de temps en temps un animal qui fuyait dans la même direction.
La forêt semblait comme vide, morte. On aurait dit que Galaad avait manger un cimetière, et d'ailleurs la forêt vide pouvait être comparé à ce genre d'endroit. Au cours d'un de ces très longs jours de traversée de la forêt, un putois, qui sentais il faut le dire moins fort que Galaad, se mit à le suivre, et accompagna Galaad à quelques pas derrière lui, semblant se délécter de l'odeur dégagée par le nain. La traversée de la forêt, vous pouvez le comprendre, fût en conséquence bien longue. Se nourrissant exclusivement de racines, et les partageant à l'occasion avec le putois (qui bien que carnivore, ne trouvais pas plus de gibier que Galaad), il arriva aux portes de la cité d'Obsidienne au bout de ce qui lui avait semblé être un interminable voyage.
Il déboula dans la cité (le putois toujours ses traces), et decouvrit une ville ravagée par un siège aboninable. De nombreux bâtiments avait été détruits, éventrés. Un doute affreux lui vint à l'esprit. Decidant d'éclaircir ce doute, il courru (comme il put, il tituba rapidement serait plus proche de la réalité) dans la ville à travers les rues jonchés de débris et de gravats, et arriva devant une réalité qui provoqua chez lui spasmes et nausées (Et une nouvelle série de pets qui firent dégager les charognards qui s'acharnaient sur les derniers cadavres présents en ville). Les... les... les toilettes, les olympiens les avait ravagé. Certaine étaient bouchées, d'autres simplement détruites, sur une même un cadavre, qui semblait avoir été tué lors de son dernier effort pour parvenir à expulser quelque chose qui semblait avoir été exessivement gros, de sorte que son visage semblait être partagé entre soulagement et concentration intense. Son âme avait dû sortir de son corps au moment même où un dernier étron venait clore une vie sans doute déjà merdique...
Galaad Lanraaz, nain à taille variable: minuscule pour les géants, petits pour les Olympiens, Elfes et Hommes Sauvages, et... Grand pour les lutins. Faites vous votre propre idée.
Une hache? CQFDTC (Ce Qu'il faut dans ton ...) |
Par Galaad Lanraaz le 03/12/2007 à 18:36
Par 
Par Aelia le 04/12/2007 à 22:03
... En fait, je dois respirer par la bouche, c'est ça l'explication 
!