"Panem Et Circenses", du Pain et des Jeux, qui avait déjà dit cette phrase? En quel occasion? Je n'aurais sut le dire, elle m'était venu comme cela, toute seul alors que je hurlais des encouragements à mon équipe. Oui, j'étais dans le stade, sur les gradins, admirant les sportifs qui s'affrontait avec une force terrifiante. C'était un évènement amusant ces jeux, je veux dire, durant le tournois d'Hadès, nombreux était ceux a s'être élevé contre ce caprice divin, mais là, aucune protestation. En un sens, ces jeux qui allait être sans le moindre doute cruel et violent rapproché les nations. Il me suffisait de tourner la tête pour voir sur ma droite de fidèle serviteur de Salminar comme je le fut moi même, et de tourner dans l'autre sens pour voir certains elfes qui avaient été les assassins de mes braves frères, eux même assis à côtés de nains aux visages grimés des couleurs de leur nation. D'ailleurs cette idée de couleur me traversa l'esprit, hum, pour les prochaines épreuves je savais quoi faire.
Il n'y avait aucune animosité dans les gradins, tout le monde semblait...Ami? Oui, qui aurait put penser voir un rebelle et un Impérialiste côte à côte? Personne. Ces jeux étaient bon pour tout les Habitants d'Olympia.




Je chassais ces réflexions de mon esprit, la première manche venait de se terminer. Le match avait été intéressant, enfin, la deuxième partie arrivé, J'allais devoir entrer dans l'arène. Je dégluti avec quelques difficulté avant d'aller rejoindre mes compagnons dans les vestiaires, notre scores n'était pas faramineux, loin de là...Enfin, il ne restait plus qu'à faire mieux.
Déjà, de là où nous nous apprêtions, je pouvais entendre la foule qui nous attendais, je me sentait tout tendu, raide, un peu gauche alors que je lacer avec force mes sandales, la même sensation d'excitation et de peur qu'avant une bataille, après tout cette arène était une bataille! Un coup de trompette, il fallait y aller, se placer sur le sable brûlant et au deuxième son, partir à l'assaut, trouver ces fruits, les ramasser et gagner.
Je sortais alors de nos vestiaires, le soleil brûlant faisait luire sur ma peau les perles de sueurs qui y coulaient, j'étais habillé de façon assez légère pour pouvoir me mouvoir rapidement, peut être que j'aurais du prendre une armure, car là, je me sentais...Nu...

Je tournais la tête autour de Moi, scrutant la foule pour voir des visages connus, je me sentais comme un lion en cage, une voie lança alors "Que tout les Participants se tiennent prêt, la deuxième Manche de la chasse aux trésor d'Hadès vas commencer"...Bizarrement, en voyant mes adversaires, je me dit que cela ressemblerait plutôt à une chasse à l'Homme. Enfin, il fallait rester calme, c'était juste un jeu, un jeu Mortel pour l'honneur des Dieux.
Je me saisit d'une poignée de sable pour rendre mes mains plus sèches, l'espace d'un instant je n'étais plus dans l'arène, je n'était plus à Lardanium, j'étais à Sigdil, près du gigantesque désert, attendant la charge de nos ennemis innombrables, ça y est, le combat allait commencer, je le sentais, je sortie doucement, presque de façon surréaliste mon glaive, oui, le combat aller reprendre :

-Veilles sur Mes Frères Athéna, et puisses-tu faire de Sigdil la Championne de ces Jeux...

Alors que mes paroles se perdaient dans le brouhaha de la foule en liesse, elles résonnèrent, les trompettes de la Mort firent rugir leurs son terrible annonçant le début du massacre alors que, instinctivement je me mettais à courir pour la Gloire et l'Honneur...

Courir, sauter, esquiver, chercher, marcher, courir, esquiver, nager, souffrir en silence.
Tant d'action, tant de lutte...
Vraiment, cette chasse au trésor d'Hadès s'était transformer pour la plus part des camps en une véritable boucherie. Heureusement, là où les Hommes sauvages et les olympiens avaient subit de plein fouet la fureur des autres équipes, les rebelles eux avaient toujours sut garder leur distance, et ce même sur le "champ de bataille", car cette arène n'était rien de plus qu'un immense champ de bataille.
Ainsi, notre rebelle chercher, esquivant les pièges, découvrant des leurres, les fruits de la Mort, ces choses si futiles. ce fruit, ce n'était autre qu'une grenade, fruit de l'arbre planté dans les Enfers. Quiconque en mange est condamné à errer parmi les Morts.
Du moins, c'est ce que raconter les érudits.
Enfin, il fallait tout faire pour gagner les jeux, pour la gloire de Sigdil.

-Par les Dieux, Par Où maintenait?

Le rebelle cherchait des yeux un nouvel endroit où cherchait, dans l'équipe, il était certainement l'un de ceux qui avait ramasser le moins de fruits malgré la distance qu'il avait couvert.Le manque de chance...Certes, mais bon, avoir un fruit de plus lui ferait bien plaisir, histoire de montrer à ses frères qu'il était pas un incapable, un ivrogne. Certes, il savait que aucun de ses frères ne doutait de lui, mais, il était plus considéré comme un ivrogne, un être incapable qu'un meneur d'homme comme Légan, Dolf ou Bahel'. et cela, même si il ne le montrait pas, il en souffrait, il se sentait souvent un peu...Rabaissé...Ses idées n'étaient que rarement prise en compte, son opinion même n'avait pas la même valeur que Légan. Oui, il était un peu jaloux de Légan ces derniers temps.Il y avait autre chose que le fait que lui soit plus reconnu que lui, il avait une soeur et des frères, en sommes un famille, et...
Oui, lui n'en avait plus, il ne lui restait plus que Sigdil et ses citoyens, il sentait comme le fils qui a l'impression d'être le moins bon des fils. Il était jaloux et il le savait.

Le rebelle cessa soudainement sa marche, de l'eau, il voyait un nain entrain de barboter, cherchant seul les fruits dans la vaste étendu. Le rebelle fixa la "marre", là-bas, il semblait y avoir quelques chose! Oui, c'était..;Hum, il fallait tenter! déjà, les trompettes sonnaient une première fois, il ne restait plus très longtemps!
Sans même prendre le temps d'enlever la moindre de ses affaires, l'olympien plongea, nagea le plus vite qu'il put, et, une fraction de seconde avant la fin de l'épreuve, il remonta à la surface triomphant, un fruit des Mort fermement tenu dans son poing vengeur tendu vers le ciel...
Il en avait récupéré un de plus...
Il ne restait plus qu'a attendre les résultats et l'épreuve suivante.

Aaah trop bien

Le tournois d'Arès, c'était certainement ce que préféré la foule dans les gradins, la vue du sang, le combat à mort, voila quelques choses dignes de dieux. Dieux mille fois maudit pour leur soif de sang et de combats éternels. Peut être est-ce par-ce-qu'ils étaient immortels que les Dieux se plaisaient à voir des Mortels mourir au combat...
Valten venait de voir nombre de ses camarades réussir avec succès leur combat, hormis Nygaël, et encore, de justesse, tous avaient réussit leur combat, tous étaient sortie vainqueur.
Cela ajoutait un peu à la pression et à l'angoisse que ressentait le rebelle, il avait peur de décevoir encore, encore une fois.
A vrai dire, s'il perdait, il était sûr que les autres ne lui en voudrait pas, mais une fois de plus l'image de perdant, d'alcoolique, d'homme sans aucune ambitions, sans la moindre chance apparaîtra. Une fois de plus.

La course de Poséidon avait commencé, il avait commencé à regarder le début, Légan et Shana se débrouillait bien, toute l'équipe les encouragé et huer leur adversaire. Valten soupira, il n'avait pas le coeur à cela, son adversaire était hors course, il allait devoir se battre contre lui. Il aperçut à côté de l'équipe une jeune femme, elle ressemblait un peu à Légan, d'ailleurs, cela devait être sa soeur, ou une cousine, un truc dans le genre. Il s'approcha un peu d'elle avant de lancer d'un air détendu, totalement faux par ailleurs, la tension accablant chacun de ses muscles. Il lâcha à la jeune femme comme pour la rassurer:

-Je serais vous, je ne m'en ferrais pas pour Légan, c'est un grand garçon, il va remporter l'épreuve, j'en suis sûr!

Bien que ne semblant que peu convaincu, la jeune femme hocha la tête, et continua de fixer la course avec une attention hors du commun. Ouais, elle devait tenir à Légan elle. Le rebelle jeta un coup d'oeil une nouvelle fois dans l'arène, Shana et Légan...Shana, hum, Bahel' avait le béguin pour elle, c'est vrai, elle était sublime, des yeux magnifique, une chevelure splendide. Bon, si Valten continuait comme cela, c'est lui qui tomberais amoureux!

Le "Bandit de Grand Chemin" comme s'était plut de l'appeler Dakon sortie des gradins pour aller se préparer au combat.

Le calme avant la tempête, nul personne ne venait déranger les guerriers lorsqu'ils se préparaient avant le combat pour Arès. Pourtant, Valten aurait voulu un présence, quelqu'un pour l'aider à diminuer son anxiété, il fallait qu'il donne tout ce qu'il avait. Lentement, doucement, il mit ses vêtements approprié à l'épreuve, il fallait qu'il qu'il fasse prévaloir sa vitesse d'action, ainsi, il laissa sa lourd armure au placard pour ne se vêtir que légèrement. Il resserra les bandages autour des poignées et enfila son casque puis attrapa son bouclier. Il regarda au sol. Damnation, ses sandales n'étaient pas assez serré. S'apprêtant à s'ôter de son attirail pour refaire ses lacets, une voie l'interpella et fit détourner la tête à notre valeureux rebel:


Face à lui, une belle jeune femme, ses longs cheveux noirs tressés reposaient sur sa toge d'un blanc éclatant, dans ses mains, une jarre. Elle fixa Valten, s'approcha de lui et lui retira doucement son casque. Le rebelle ne savait pourquoi, mais il n'arrivait pas à esquisser le moindre geste, il n'arrivait pas à faire la moindre chose, comme si il avait face à lui un être l'extraordinaire. La jeune femme commença à refaire le lacet défait avant de souffler d'une voie calme, douce et à la fois assez forte pour couvrir les hurlements des gradins:

-Puis-je vous enduire le corps d'huile pour que vous soyez plus à l'aise au combat.

Le rebelle hocha la tête, et, d'un mouvement fluide et gracieux, la délicieuse jeune femme commença sa besogne, parcourant les muscles du guerriers avec une facilité déconcertante, ses doigts courant d'un endroit à l'autre avec rapidité et force, déjà, dans la salle, une sublime odeur d'olivier s'éleva, cela apaisa légèrement notre soldat.
La jeune femme continua alors de parler tout en enduisant le corps du rebelle.

-Tu as peur Valten? Peur de ne pas être assez bon?
-Je...Je...Oui...
-Il ne faut pas...Tu as toutes les capacités pour réussir, tu te bas pour Sigdil, la Ville des Sable, ma Ville et écoute mon conseil héros, ne sous-estime pas tes forces, fait le vide et voit quel faiblesse de ton adversaire tu peux utiliser. Après tout, les mages de la cité Libre non t'ont pas laissé ignorant...

La jeune femme arrêta de masser les muscles de Valten qui étaient à présent totalement détendu. elle le regarda, souri et sortie du champ de vision du jeune homme. Qu'entendait-elle par MA ville? Et Comment savez elle son nom? D'où venait-elle? et comment savait-elle qu'il avait quelques notions en maîtrise des arcanes? Le vaillant défenseur de la liberté se retourna pour interpellé sa conseillère, mais il resta bouche ouverte, cette dernière n'étant plus là, ayant disparut comme par magie divine. Le soldat se prépara à aller chercher la jeune femme, quand on l'interpella, c'était à son tours d'y aller.
Le rebelle prit une profonde inspiration et marcha vers la sortie, la lumière envahissant son visage alors que les hurlements de la foule commencèrent à lui faire bourdonner ses oreilles.


Quand faut y aller...

Je vois que tu commences ce RP ... J'aime beaucoup!

// merci d'être dans mon fan club ^^ //

L'Arène, se retrouver une nouvelle fois à l'intérieur ne réjouissait pas tellement Valten, de plus, cette fois si, nul soutient, juste se retrouvez seul, huer ou acclamé par la foule. Bref, être le spectacle, être le jouet des dieux et des fortes puissantes. Cela rappelé à Valten sa prime jeunesse dans les rues de Lardanium, combattant dans des arènes illégales pour satisfaire quelques riches bourgeois et gagner un peu d'argent pour se nourrir correctement, de mauvais souvenirs qui en entrainé d'autre, il repensait à son frère perdu. Qu'aurait il dit à Valten s'il avait était là? Certainement un truc comme Dakon, du genre

"Ce qui compte ce n'est pas comment tu vas te battre, mes pourquoi. Tu vas te battre pour montrer à tout ceux qui se sont moqué de toi ce que tu es capable, tu vas montré que le Valten que je connais n'est pas un lâche, mais un héros..."

Ouais, il aurait certainement dit cela en posant sa main sur son épaule, le fixant de ses yeux gris, un léger sourire sur les lèvres. En un sens, Ulrich lui rappelait Dakon, fort, ferme, prêt à sacrifier sa vie pour celle de ses camarades. Valten aurait tellement voulu ressembler à Dakon, mais il était faible, incapable de résister à son passé qui le torturé depuis si longtemps.
Sans même s'en rendre compte, Valten était face à son adversaire, il avait devant lui un quatarite, un nain de ses nains qui s'était voué à ce Dieu impie de la cité des Hors-la-Loi. Archéos Prime...
Le nain en question, comment s'appelait il déjà? Ah oui, Hrothgar, ce nain devait mesurer quoi? 1m20? Un peu moins? Bah, de toute façon, Valte n'avait jamais sut estimer un âge ou une distance. Donc, ce Hrothgar n'avait pas vraiment une carrure exceptionnelle, la majorité des guerriers nains étaient plus impressionnant que lui. Mais ce catwë gardait sur l'épaule une impressionnante pioche, le genre d'outil qui perfore aussi bien la pierre que les crânes.
Le rebelle déglutit avec difficulté, ça allait commencer. D'un geste lent il pris du sable au sol, au début, quand il le faisait dans les arènes illégales, c'était juste pour faire genre, pour imiter le champion, mais un vieil homme lui avait appris le pourquoi de la chose, toucher le sable vous donner des informations sur la nature de ce denier, s'il était stable, doux, si l'on pouvait chuter dessus, si l'on pouvait y prendre ses appuis. D'infimes informations qui pouvait assurer la victoire.

Le rebelle se releva et fixa le dit nain à travers les encoches prévus pour dans son casque. Le sable n'avait rien a voir avec celui de Sigdil, mais cette préoccupation masqué l'anxiété du soldat, quel était la faiblesse du Nain? Hum, il fallait étudier son adversaire, comme le régent lui avait appris. Hum, les filets dans le dos, une pioche, un quatarite...Habitué à se battre contre des olympiens loyalistes. Donc, fort au corps à corps pour contrer les Salminarites. Les filets, hum, emprisonne ses victimes pour ensuite les achever avec son armes lourdes. Simples mes efficaces. Il fallait a tout prix éviter ses filets.
Sa faiblesse maintenant...La magie...La Magie? Valten se raidit un peu plus, il avait des bonnes notions de Magie, mais cela suffirait il contre un Nain? Ces êtres dont l'esprit était une forteresse? Le rebelle inspira avec difficulté, il fallait tenter le tout pour le tout. Il lâcha alors à son adversaire cette phrase d'une voie forte et puissante:

-Bonne chance...
-héhé, ce n'est pas mon genre, je vais tout de même essayer de te donner un beau combat...Lui répondit le nain en souriant
-Nul combat n'est beau...

Soudain, il y eut le souffle des trompettes, sans la moindre hésitation, le rebelle attaqua. Faire le vide dans son esprit, se concentrer, lever la main et...
Soudainement, l'infortuné Nain tomba au sol sous l'effet de la douleur. Le maintenant a distance, Valten écraser par la seul force Arcanes le quatarite, Douleur, voila ne nom simple du sol, un nom plein de haine contre ceux qui s'opposaient à la Cité des Sables. L'olympien devait gagner ce duel, et ce par n'importe qu'elle moyen. Il souffla:

-Abandonne, et tes souffrances s'arrêteront.

le quatarite lâcha un clin d'œil avant de répondre, le souffle cours:
-Je préfère continuer en peu...

A ces mots, d'un mouvement brusque, il envoya une paire de filet sur Valten, heureusement pour le sigdilite, il esquiva l'attaque et para avec brio le coup de pioche, il avait relâcher son emprise sur le nain, il fallait qu'il se reconcentre! Le rebelle tenta de réitérer son sort, en vain, le nain s'était préparer, mais il fut gagnant d'une belle estafilade. Puis il y eut la huer, quel chose horrible, malgré le fait que le casque lui couvre les oreilles, il entendait les moqueries, les injures, tout ces choses vrai pour Valten, alcoolique, incapable, chien...
Ces mots si horribles et si dure pour le pauvre rebelle, ces mots qui couvrait même les encouragements de son équipe. Quel chose terrible. Soudain, il senti ma morsure des filets et tomba au sol, un moment d'inattention. Déjà, il sentait les bruits de pas du nain satisfait qui venait fracasser son crâne avec sa lourde pioche. Il avait échoué, il avait une nouvelle fois montré qu'il était incapable, indigne de confiance, il allait une fois de plus être la honte de sa nouvelle famille, le clan rebelle.
Le visage au sol, doucement, les grains de sables commencèrent à balayer les joues du "condamné", soudain, le bruit ambiant se fit de plus en plus calme, la vision de Valten s'arrêta dans les tribunes, elle était là, le fixant de ses yeux envoutants, sa toge illuminant toute l'arène, il avait l'impression qu'elle lui soufflait quelques chose, oui, elle lui donnait l'espoir, il fallait garder cet espoir, il ne fallait jamais abandonné. Il fallait se relevé et battre le quatarite, il le fallait. Elle n'avait pas bouger une seul seconde ses lèvres mais voilà ce qu'elle lui disait. Doucement, les bruits du colisée se firent plus intense, il avait l'impression de revenir sur le sable, il sentait ses muscles frais, il entendait ses camarades scander son nom, il n'était pas perdu! Il allait gagner cette épreuve! Il allait montrer au monde qui il était vraiment!
D'un mouvement puissant, presque mythique, il se releva, déchirant au passage les filets qui le tenait au sol et para d'une seul main, juste avec le tranchant de son glaive, la lourde pioche qui s'abattait sur lui. Il donna un puissant coup de bouclier qui fit reculer l'infortuné Nain et hurla en déchainant la magie qu'il avait appris:

-POUR SIGDIL!!!!

Le malheureux nains tomba au sol, se contractant dans des spasmes horribles ses yeux révulsés par la douleur. Toute la haine, tout la rancœur, de Valten envers Lardanium, envers Bahel' qu'il avait dut accepter bien malgré lui, contre Légan qu'il détestait car il était son inverse, contre naolith qui avait osé malmené Dlog, contre son frère qui avait osé le laisser seul, contre lui même qui ne lui donné que du dégout. Oui, toute cette haine latente qui le dévoré, il là lâcha sur le haine dans un sort d'une puissance incommensurable. c'était horrible...
Soudain, les spasmes du nains cessèrent, il venait de rejoindre Hadès. L'olympien fixa le cadavre inerte avant de souffler, d'une voie brise:

-Hrothgar n'est plus...

A ses mots, il sorti de l'arène, son cœur bien moins lourd, libéré, il était devenu plus serein. Il fallait qu'il aille voir Bahel', Légan et Naoltih pour s'excuser de ne pas avoir été toujours très sympa avec eux.

De l'amour à la haine il n'y a qu'un pas, j'suis sûr que Valten en faite il est fou de Bahel' Allez j'viens rejoindre le fan club, superbe chro !

Allez, viens faire un 'ros calin
(dommage qu'il y ait quelques fautes cependant^^)

Faut lire vite, comme ça on garde le meilleur.

Belles chroniques en tout cas ! (rho et, pour une fois que je fais un commentaire)
J'attends la suite, ça me fait ma détente du soir.

Posédion, incapable...
Deux mots, une épreuve, une erreur, une honte.

Pourquoi? Pourquoi avait il porté la flasque à ses lèvres? La volonté de courir plus vite? C'est vrai, il avait remarqué que sous l'emprise de l'alcool, ses mouvement était plus vif, plus rapide. Bien entendu son esprit était un peu plus embrouillé. Mais cela n'était pas un problème pour Valten.
Mais cette fois là, pourquoi avait il but? Pour se détendre, non...Pour augmenter ses capacités? Non...Par peur, il avait terriblement peur, peur de décevoir, peur de la foule, peur du jugement des autres, de leur regard peur de ne pas être à la hauteur.
Il avait peur de ne pas être à la hauteur de ce que l'équipe de Sigdil attendait de lui. Car là, vraiment, pour la première fois, il allait être sous les yeux de tous, de son équipe, ce n'était pas uniquement sa victoire, mais la victoire d'une nation qui était en jeu.

Voilà, il était sur le débat de la course, il venait d'enlever ses lourdes protection pour mettre à profit son agilité naturelle. Le sifflement, oui, le départ était donné, allez, il fallait courir, encore, toujours, comme si sa propre vie en dépendait.
Soudain, a droite, une elfe, oui, allez, un petit coup sur la gueule histoire de lui apprendre les bonne manière.
Voilà, il vient de porter sa première estoc, un coup net, précis. S'il la tuer, il était sûr de remporter l'épreuve et là, le geste de trop, un coup qu'il n'aurait pas dût porter. Le sifflement de l'arbitre, le hurlement de la foule, la honte, ce drap qui vous couvre soudainement, le cachant des yeux du monde pour l'enfermer dans sa propre torpeur, ce drap cousu de haine, de peur, de honte et d'infamie.
encore une fois, oui, une fois de plus, une nouvelle fois il avait commis l'irréparable et avait trahis nation, ses compagnons.

Une fois de plus il n'avait pas été à la hauteur...

Musique d'ambiance

Tellement triste, tellement fatigué. Valten ne ressentait plus rien. Il avait l'impression d'être qu'une coquille vide, complètement noyé par l'alcool, oui, l'alcool, il continuait d'en prendre, il se savait complètement ivre, on aurait put le prendre pour une simple marionnette inanimé si ses paupières ne se fermait pas toute seul au rythme naturelle qu'exigeait son corps pour les maintenir humides.
Il se sentait tellement vide, tellement insignifiant.

Oui, Hô oui, Sigdil avait gagné, mais lui, il avait perdu, il avait échoué une nouvelle fois, encore une fois il avait trébuché pour montrer quel incapable il était, sans force, sans courage, sans volonté. Tout juste un ivrogne.
Soudain, on l'appela, c'était une nouvelle fois son tour d'entrer dans l'arène, son adversaire...
Naolith...
Hum, le destin semblait bien cruel, il devait affronter celui qu'il avait trahis, celui qui avait dut porter sa charge car il avait failli. Cruel destinée quel odieux sort prépares-tu encore à Valten?

Le Guerrier s'approcha alors, engoncé dans une armure légèrement plus solide que celle utilisé lors de la course, il fixa a travers sa visière Naolith, il connaissait les capacités de ce dernier dans ses lancés de bolas et la mortelle précision qu'il possédait. Il arrivait à lire les yeux emplis de haine que lui lançait le rebelle, il cernait cette rage latente qui lui faisait face, il entendait le doux sifflement des bolas qui a chaque tours prenait un peu plus de vitesse.


Pourtant lui restait immobile, il comprenait toute cette rage, toute cette haine, soudain, le départ, déjà? Il fallait se battre? Soudainement, le goût du sang, la mâchoire qui souffre, le genou qui se tords. Quel force, Naolith, oui, quel force dans ces bras emplie de haine, il n'arrivait presque plus à bouger, combien d'os brisé? Il ne le savait pas, et, juste avant de ne pouvoir s'avouer vaincu, il se servit de la douleur pour l'infliger à Naolith de terrible souffrance. Sadisme? Haine? Colère? non, rien de cela, juste pour montrer que même au sol il pouvait continuer à se battre.

Les ténèbres se firent et on l'emmena...