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Je vais tenir ici, dans ce carnet un journal où tous mes exploits, combats, explorations ansi que toutes les grandes ligne de l'histoire du peuple nain seront relatés
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Je me nome Kaldhan, je suis né le deuxième jour de la Saison des Fruits de l'année 7890. Je suis le benjamin de la famille Mahelmoth, une place difficile car mon frère aîné commence à prendre de l’indépendance se qui à pour conséquence de créer des tension dans la famille; et mon frère cadet, qui est le plus chouchouté et à qui on laisse passer beaucoup de choses. Contrairement à mon aîné, j’ai eus une enfance paisible et peu interrompu par les visites des Gardes de Pierres qui sont chargé de garantir l’ordre et la sécurité dans la citée naine. J’étais très proche de mon frère cadet, nous passions toutes nos journées ainsi que nos nuits ensemble car notre maison était assez petite ce qui nous obligeait à dormir dans le même pièce mais cela nous convenait parfaitement.

Je suis de taille moyenne pour un nain, Je suis trapu et musclé. Dans mes yeux brillent ma volonté, mon courage, ma force, ma détermination et mon grand cœur, très aimant avec mes amis, mais aussi très rancunier envers mes ennemis. J’ai des bras énormes, bardés de muscle. Ma passion est la récolte de ressources rares et la cartographie. Je suis prêt a tout pour servir l’intérêt commun. J’aime la bière comme tout bon nain qui se respect.

Ma mère est morte dévorée par les loups en voulant allé chercher son père ivre mort à la taverne.
Mon père, Veburek a été, pendant trois ans tavernier mais il tenais un établissement un peu spécial, il ne servait que des boissons et surtout des liqueurs de son inventions comme par exemple de la Liqueur de Sang d’Elfe ou encore de la Liqueur de Venin d’abeille. Son commerce ne put perdurer très longtemps peut être trop originale pour des nains qui ne jurent que par la bière. Néanmoins le vieux nain ma appris tout ses cocktail et autre préparations. Son établissement ayant coulé Veburek dut se reconvertir, il choisit de devenir mineur indépendant. Il exploitât, lui et ses trois fils le filon de Mythril qui permis à ma famille de vivre correctement. C’est à partir de cette instant que je sût que plus tard je serait mineur au sein de la grande et somptueuse Guilde des Travailleurs Nains.

Le jour de mes 35 ans j’ai quitté la mine pour allé à l’armurerie de Kazad A Gorog. J’y ai passé la majeur partie de la journée à rêver devant des pioches à manche en nacre, des haches runiques gravées à la main par les anciens. Le soir, la tête pleine de rêves je prit le chemin du retour quand soudain LE Cataclysme se déclancha: le tremblement de terre qui fit vibrer, résonner, trembler, effondrer la montagne tout entière. Je suis repartis de plus belle en dés que les premières secousses se sont mises à déplacer les rocks, jamais je n’ai courus aussi vite pour rejoindre la demeure familiale, isolée en haut d’une crête rocheuse. Je poussas la porte et entra avec précipitation. Je ne vis personne. Je pris la direction de la mine et là, J’aperçus une montagne de gravas : la mine s’était écroulée, en engloutissant mon père et mes deux frères. J’ai essayé de dégager l’entrée pendant plusieurs heures mais en vain…
J’avais perdus toutes ma famille, elle fut ensevelie vivante à l’intérieur de la mine familiale qui représentait la fierté de la famille Mahelmoth depuis tant d’années. Je jour de mon anniversaire, le jour de ma majorité qui plus ai, je reçus la pire des punitions en devenant orphelin je dus me battre pour rester en vie et faire le deuil de ma famille, imaginez je me retrouve sans père sans frères en moins d’une heure, ma famille, mon havre de paix, mon nid d’amour tout comme Kazad à Gorog était réduit a néant, inexistant. Il n’y avait donc plus personne pour m’épauler et me conseiller car j’avais beau avoir l’age de la majorité je n’ai été pas moins un enfant fragile. Heureusement J’avais un peu plus de trente ans, donc j’étais adulte depuis peu.
Je pus me débrouiller seul au milieux des ruines de l’ancienne cité naine qui faisait parler d’elle sur tout l’Olympia connut, de par sa taille ainsi que par son ornement et sa richesse.

Un jour dans les Halles je croisas Vassili Vodj Stakhanov un vieux nains, tenant une pioche à la main, sage, fort, avec une barbe blanche très longue, bien coiffée et démêlée: le fondateur de la fameuse Guilde des Travailleurs Nains, une organisation célèbre et respecté par le passé. Je pus me vouer à mon rêve de devenir mineur permanant de la GTN et puis je me suis dis que c’était une bonne période pour postuler, ils ont besoin de bras pour remettre à neuf la citée, je m’approchas et engageas la conversation, j’avais décidé d’aller droit au but sans faire de détours, j’ai horreur de cela...

je m'inclinas en signe de respect.
-"Bonjour je sais qui vous êtes et je vous respecte énormément, je vais allé droit au but je voudrais entrer dans la guilde pour aider à la reconstruction de Kazad et pour lui rendre le statut qu'elle avait avant le Cataclysme. L'oisiveté, à mon sens est un très mauvais défaut, c’est la deuxième raisons pour laquelle je suis en face de vous pour déposer ma candidature."

Vassili réfléchit quelques instants: un nains en pleine force de l’age, volontaire, qui ne demande qu’a aider activement la citée naine.
-"Les jeunes comme toi sa m’plait tope la !"
Vassili tendit une grosse main chaleureuse et pleine de vie, je la saisie et la serra, dans cette franche poignée de main on ressentait un lien, pas seulement un lien fraternel, un lien beaucoup plus fort que cela.
-"Va voir ma secrétaire elle te donnera ton équipement et les quelques papiers à remplir."

Je remercias Vassili, et je pris mes jambes à mon coup, une fois de plus, pour rattraper la secrétaire qui était vraiment très belle, je me dis que se devait être un plaisir de travailler avec elle.
Je lui demandas un formulaire qu'elle me tendit ma phrase à peine achevée on aurait dit qu'elle savait pourquoi j’étais venu, était-elle télépathe ou magicienne?
En tout cas je le remplis avec le plus grand soin puis je repartis en adressant un large sourire charmeur à la secrétaire.
Je suis à présent membre de la GTN cette idée me réchauffa le cœur, je passas le reste de la journée à ramasser, déplacer, entasser des tas de gravas. Après cette dure journée de labeur, comme tous nains qui se respectent je passas la soirée ainsi que la nuit dans la taverne à parler de chose et d’autre mais surtout à boire comme à mon habitude et à celle de mes frères. Je m’endormit heureux sur une table en chêne massif, à coté comptoir du bar entouré de tonelles.

Quelques temps plus tard Vassili annonce à tous ses hommes qu’ils doivent se rendre à la lisière de la Forêt Des Ombres mais il déclare aussi avoir besoin de deux volontaires pour se rendre à l’Oasis, du Désert pour vérifier et confirmer la présence de bois. Je me propose tout de suite ainsi que Tagazog. Au fil des jours dans le désert Tagazog et moi noud nous sommes liés d’amitié l’un l’autre.
Puis, un matin après une nuit particulièrement fraîche nous rencontrâmes un lutin.
Je demande à Tagazog ce que nous devons faire et penser de cet être au combien étrange et si peut rencontré.
Pratiquement au même instant nous recevions une lettre de SoumSoum nous informant qu’une guerre avait éclatée entre notre peuple et les hommes sauvages à propos du bois à la lisière de la forêt de Luminae.

Tagazog me répondit que notre exploration est la priorité, ce lutin ne semble pas hostile,puis nous devons peut être porter mains fortes à nos frères dans la forêt sauvage.
Soudain le petit être s'agite et s'adresse aux nains :

"Salut salut,
les nains poilus !
Vous avez la gorge sèche et la peau rêche ?
Vous êtes assoiffés ? Roh ! Par ma barbe et mon nez!
Je suis imberbe ? Pfu ! Quel humour acerbe ...
Je peux jurer, même si barbe point je n'ai,
Allons, cessez d'opprimer, et vive la liberté !
HIiiiiiiihihihihi, hihihi, "

Le petit Lutin se met à courir autour de moi, agitant son sceptre comme un dément.
Soudain, il s'arrête J’avais les mains sur mon arme prêt à lui pourfendre le crâne mais par un regard Tagazaog m’en empêcha.
Puis la créature reprit

"Mais dites moi, nain, pourquoi ?
Pourquoi êtes vous ici, en ce lieu sec et sans vie ?
Que cherchez vous, si loin de vos trous ?
Peut-être puis-je vous aider, si vous le permettez ..."

Il acheva sa phrase en se frottant les mains, un sourire espiègle sur le visage. Visiblement, il attends une réponse

«Mais il nous cherche ma parole!!? » dis-je avec colère, « En plus il me tourne autour comme un vautour ! Il peut pas arrêté de gesticulé comme ça!»
Ne t'inquiète pas me murmura Tagazog puis à l'attention du lutin :
«-Hola toi qui donc es-tu ? Je m'appelle Tagazog et voici mon compagnon mineur : Kaldhan.
Nous venons en ce lieu pacifiquement en quête d'un peu de bois...et recherchons quelques renseignements sur cette région désertique. Et toi que fais-tu donc là ??

- «Ce que je fais la, moi ? Ca ne te regarde pas !
Mais saches déjà, que je suis loin de chez moi!
Toutefois, je connais ces lieux mieux que toi,
On m'appel Läm, non, je ne suis pas une femme,
mauvais jeu de mot me direz vous, c'est vrai, il ne vaut pas un sous ...
Je peux vous guider, à travers vents et marées,
Mais que faire, car tout travail mérite salaire,
et vos bourses m'ont l'air bien vides, pour des nains si avides !
Vous cherchez du bois ? Mais de l'or ne vous contenterait-il pas ?
Si c'est cela, passez votre chemin, car ici, or il n'y as point !
Enfin, si tels ne sont pas vos desseins,
Peut-être qu'un petit Lutin pourrait étayer votre journée de ses verbes mal placés,
et vos pas guider, vers de meilleurs sentiers...
Héhéhéhé ... »

Läm fit un large sourire à Tagazog
Le nain regarda son compagnon puis se retournant vers leur étrange "invité" :

«Enchanté de te connaître divertissant Lutin, effectivement nous sommes bien pauvres en ces terribles jours, et seul un peu de bois nous permettra d'aider les nôtres dans le besoin.
Connaîtrais-tu par hasard l'emplacement d'autres oasis dans ce terrible désert ?

- D'autres oasis ? Pour cela, le désert est un endroit peux propice...
Le lutin malin,
pourtant pas bien grand,
sait toutefois ou l'on peut trouver cela ...
Si se cotisent nains, je leur tendrais la main,
et les guiderais jusqu'a une forêt,
Aucun nain n'y est encore allé, c'est un endroit jalousement gardé.
Cinquante pièces d'or et nous serons d'accord,
Tel est mon prix, pour des amis ...

- Ton offre semble intéressante bien qu'un peu floue,
aussi vais-je te dire que pour l'instant nous allons nous concentrer sur ce qui est sûr.
Mais je ne dis pas que lors de notre retour nous ne pourrons pas négocier quelque chose avec toi, si toutefois tu es toujours intéressé. En attendant si tu le souhaites tu peux rester avec un peu avec nous ...?
Tiens voici l'un de nos pigeons voyageur, relâche le d'ici 10 jours il nous retrouvera et nous te contacterons.
Salutations voyageurs ! »

Le lutin fit une mine déçue lorsque le nain déclina son offre avec un tact expert, puis fît une drôle de mine lorsqu'il reçu le pigeon voyageur quelques jours plu tard, il le prit fermement dans une main et se mit à le tourner dans tous les sens. Il le renifla, puis resta un instant à regarder fixement l'oiseau avant de croquer dans son cou pour goûter à sa chaire, décapitant le pauvre animal sans défense. Il recracha violemment la tête en faisant une mine de dégoût

« Pouah ! Qu'est ce que c'est que ça ?
Ca ne se mange pas ?
Peut-être auriez vous voulu que je ne sois plus ?!
Tenter de m'empoisonner ? Oui, c'est ce que vous faisiez !
Avouez, nain mal léché !!!
Vous vouliez, M'EM-POI-SON-NER !!! »

Läm fit un bond en arrière, brandit sa dague et son sceptre d'un air menaçant, se tenant à la manière d'un animal sauvage, peut-être même un gobelin grognant à moitié, pestiférant, crachant.
Les deux nains avaient repris leur route laissant seul le Lutin Malfaisant qui portait bien son nom.

Quelques centaines de kilomètre plus tard nous avons découverts l'oasis à cocotiers. Tagazog a installé le campement puis nous nous sommes mis au travail, l’oasis était une véritable fournaise, l’abatage sous ce soleil et cette chaleur est pratiquement impossible. Heureusement pour nous SoumSoum nous avait donné, juste avant notre départ, deux chapeaux de paille qui nous protéges de l’insolation. Le soir, après avoir ranger nos haches et tout notre matériel Tagazog essaie d’apprivoiser un jeune perroquet qui très vite devint son nouvel ami. Il le nomma Sicoco. Un perroquet dans le désert?! Etrange non?! Un ami de Läm ? En tout cas ces deux là sont désormais inséparables. Après plusieurs semaines à travailler comme des forcenés nous avons finis par remplir nos sac de 90 tronc chacun. Une fois le bivouac rangé, les outils nettoyés et les sac refermés, nous avons décidés de continuer notre exploration.

Nous avons donc continué notre marche dans le désert, motivés par notre récent exploit. Plus nous nous enfonçons dans le désert, plus la chaleur augmentait, il devenait de plus en plus difficile de se déplacer. Au bout de plusieurs jours de marche, de montage et de démontage de bivouac nous avons découvert la Rivière de Vapeur. J’ai immédiatement réalisé que toute les légendes sur cette rivière n’étaient que pure réalité, mais heureusement nous sommes très résistants et courageux ce qui nous permis de ne pas céder à la folie provoquée par la chaleur mais nous ne pouvions rien faire contre les étourdissements. Je n’ai jamais eut aussi soif que pendant ces deux jours de traversée, je pries Dyonisos pour qu’il fasse pleuvoir de la bière pour nous rafraîchir mais en vain il resta sourd à mes appelle peut être est il amusé par les deux petits nains seuls au beau milieu de nul part. Nous avons quand même réussis à rejoindre la rive et nous reprenons notre exploration mais malheureusement celle-ci se solda par un échec. Complètement desséchés et démotivés, à contre cœur nous avons fait demi-tour. Je me voyais déjà au beau milieu de la Rivier de Vapeur endurant le même calvaire mais miraculeusement nous avons moins soufferts lors de cette traversée. Est-ce un cadeau des Dieux ? ou une Acclimatation soudaine ? Nous ne le seront probablement jamais. Le chemin du retour se déroula sans Läm et surtout sans problèmes. Les trois explorateurs (n’oubliez pas Siroco) repartirent vers la belle citée naines, le sac chargé de bois et le cœur rempli de joie.

Mais à seulement une semaine ou deux de Kazad nous apprenons la terrible nouvelle via un pigeon de la guilde : Le roi est mort Nous nous sommes arrêtés net à la lecture de cette missive et avons monté le bivouac et avons décidés de passer une soirée silencieuse en l’honneur de notre définit roi. Le reste du voyage était partagé entre joie procurée par la réussite de lors mission et tristesse provoqué par décès du roi.
De retour à Kazad tout les nains sont surpris par le perroquet sur l’épaule de Tagazog. Une fois nos sacs vidés nous fêtèrent cette réussite autour de tonneaux, choppes et barrique de bière dans le bar de la guilde. Cette soirée nous à permis à tous d’oublié la triste nouvelle.

hé hé que de souvenirs ...

La guilde connaît une forte expansion et ses mineurs gagnent petit à petit de l’expérience et un savoir faire qui fait de cette guilde une maison si particulière et réputée.
Plusieurs expédition de récolte sont organisées, surtout de pierre car les Monts Radar-Beck regorge de belles pierres idéales pour la construction de bâtiments. Un groupe de plusieurs nains de la GTN sont envoyés à la carrière mais une fois là-bas surprise plus de carrière, toutes les belles pierres avaient été taillées. Très vite un groupes de trois personnes part explorer les monts Radar Beck. Ces trois personnes sont Kaldhan Tagazog Thraïn, ces deux dernier sont les chefs de mission. Après quelques jours de marche et d’entraînements intensif dans ces belle montagne le groupe fini par découvrir une carrière, plus éloigné de Kazad que la première mais une carrière quand même. Nos trois compères font le pleins de beaux blocs pour la reconstruction de Kazad et rentre à la maison.
La vie au sein de la guilde continue, les expéditions, les récoltes, les ordres, les tournées et les tonneaux de bière se succèdent et s’enchaînent très rapidement (surtout les tournées) comme on l’a toujours vu chez ce peuple festif, accueillant et bon vivant.

La reconstruction suivait son cour, bientôt ont vit les premières habitations et les premiers magasins et échoppes se construire et se multiplier. La ville commença à manquer de pierre, Kaldhan se proposa pour partir à la carrière ressemant découverte. Pensant plusieurs jours il taille des blocs quant il s’aperçu que ce filon s’épuisait lui aussi. Il rentre à Kazad déçu avec un sac vide à moitié. Une fois de retour dans la guilde il décide de ne pas se laisser aller et il repartit explorer les monts avec Aragor, un nouveau venu en période d’essai..
Après des jours en même des semaines de recherche, de marche et d’escalade le groupe finit par revenir les mains vide à Kazad. Kaldhan passa la nuit assit à une table une choppe à la main à ce demander pourquoi ils n’ont rien trouvé et pourquoi les filon s’épuisaient si vite.

Le peuple nain était-il maudit ?