Par Obole le 06/02/2006 à 20:31 Le cauchemard éveillé
Ouvrant difficilement les yeux, Obole crut tout d’abord s’être réveillé au beau milieu du paradie quand il vit le paysage qui s’offrait à lui. L’endroit était si calme…si tranquille …d’une blancheur si aveuglante…Seul le sifflement du vent venaient aux oreilles du jeune homme tel une douce berceuse qu’on lui chantait enfant. Il regardait autour de lui de la façon la plus posée et la plus calme qui soit. Rien ne pouvait lui arriver ici. Il était apaisé, en paix avec lui-même. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait plus ressenti cela qu’il en avait même oublié la sensation … Soudain, un vent glacial vint pénétrer son corps, mais cela ne le fit pas même trembler. Sans nul doute, il était bien mort. Sa peau était devenue bleu marbré. Il ignora quand et comment cela lui était arrivé, mais trouvant cela fort joli et il ne s’en inquiéta guère.
Puis tout bascula, ses yeux s’habituèrent à la pâle blancheur. Il n’était pas aux paradie comme il le pensait, mais sur le flanc d’une montagne dont il ne voyait ni le commencement ni la fin. Cette blancheur…c’était la neige qui tombait et qui s’amassait autour de lui jusqu’à l’étouffement. Ce calme…était dû au fait qu’il était seul…seul dans ces montagnes si immense où l’on ne pouvait voir à plus de deux mètres. Seul, abandonné à un sort peu enviable… Il s’était cru mort ? Il le sera bientôt. Cette pensée glaciale le figea sur place. « Où suis-je ? » « Comment suis-je arrivé ici ? » « Qui suis-je ? » Bien qu’ayant remué son cerveau chaotique, il ne parvînt pas à y répondre.
Sa situation l’angoissait, le calme avait dorénavant laissé place à la crainte et à la torpeur. Seul il était dans ces montagnes sans savoir où aller ni qui il était. La panique s’installa… Il hurla à s’en saigner la gorge en espérant qu’on l’entende, en vain…Ensuite sa voix s’affaiblit, s’épuisa et s’éteignit . Ses forces l’abandonnèrent ; sa tête tourna. Perdant l’équilibre il tomba, s’évanouit enfin, vers une mort certaine…
La suite?plus tard
Ouvrant difficilement les yeux, Obole crut tout d’abord s’être réveillé au beau milieu du paradie quand il vit le paysage qui s’offrait à lui. L’endroit était si calme…si tranquille …d’une blancheur si aveuglante…Seul le sifflement du vent venaient aux oreilles du jeune homme tel une douce berceuse qu’on lui chantait enfant. Il regardait autour de lui de la façon la plus posée et la plus calme qui soit. Rien ne pouvait lui arriver ici. Il était apaisé, en paix avec lui-même. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait plus ressenti cela qu’il en avait même oublié la sensation … Soudain, un vent glacial vint pénétrer son corps, mais cela ne le fit pas même trembler. Sans nul doute, il était bien mort. Sa peau était devenue bleu marbré. Il ignora quand et comment cela lui était arrivé, mais trouvant cela fort joli et il ne s’en inquiéta guère.
Puis tout bascula, ses yeux s’habituèrent à la pâle blancheur. Il n’était pas aux paradie comme il le pensait, mais sur le flanc d’une montagne dont il ne voyait ni le commencement ni la fin. Cette blancheur…c’était la neige qui tombait et qui s’amassait autour de lui jusqu’à l’étouffement. Ce calme…était dû au fait qu’il était seul…seul dans ces montagnes si immense où l’on ne pouvait voir à plus de deux mètres. Seul, abandonné à un sort peu enviable… Il s’était cru mort ? Il le sera bientôt. Cette pensée glaciale le figea sur place. « Où suis-je ? » « Comment suis-je arrivé ici ? » « Qui suis-je ? » Bien qu’ayant remué son cerveau chaotique, il ne parvînt pas à y répondre.
Sa situation l’angoissait, le calme avait dorénavant laissé place à la crainte et à la torpeur. Seul il était dans ces montagnes sans savoir où aller ni qui il était. La panique s’installa… Il hurla à s’en saigner la gorge en espérant qu’on l’entende, en vain…Ensuite sa voix s’affaiblit, s’épuisa et s’éteignit . Ses forces l’abandonnèrent ; sa tête tourna. Perdant l’équilibre il tomba, s’évanouit enfin, vers une mort certaine…
La suite?plus tard