créature étrange... | |
Topic visité 295 fois Dernière réponse le 27/08/2008 à 13:58 |
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Depuis plusieurs semaines déjà les géants avaient formé un groupe aux alentours du marais ALWESTEDZAG. En effet, le but de cette expédition était de montrer aux pointus qu’ils ne supportaient plus de se faire attaquer sans cesse par le clan de l’ours.
Notre campagne avait été couronnée de succès. Nous avions fait preuve d’une organisation et d’une force de frappe extraordinaire. L’aide des rebelles n’était pas négligeable dans cet exercice. Pour ma part la mission avait été une réussite. Ma lame avait fait un carnage dans les rangs verdeux. Encore pleine de sang, je me tenais droit et fier de notre action. Notre nation était une nouvelle fois mise en avant pour sa bravoure et notre armée forçait le respect. Une fois notre objectif atteint, notre gardien de l’air Bayo, décida de retourner vers le marais. J’étais l’éclaireur et fut le premier à planter ma tente au marais. Je restais sur mes gardes car des rapports faisaient part de Qatarites dont deux CDA qui rodaient entre notre cité et le marais d’Alwestedzag. J’étais assis près d’un feu de camp que j’avais allumé quand j’entendis des bruissements de feuilles non loin de ma positon. Il y avait un ombre dans les fourrés. En m’approchant je vis une créature que je ne connaissais pas. Elle avait la carrure d’un géant mais sa peau et le cartilage qui recouvre ses cotes est une caractéristique d’un olympien. ![]() Je décidais de ne pas me montrer hostile et d’entamer le dialogue avec la créature. Je m’approchais les mains bien évidence pour ne pas paraître belliqueux. Salut à toi créature d’olympia, quel est ton nom comprends tu seulement mon langage ? que fais tu par ici ? tu es perdu ? tu cherches quelque chose ? Je m’appelle Kolloceus Karnage. Je suis un géant, citoyen de la ville de Zagnadar. Je suis aussi membre des Rocs de Zagnadar. Je n’ai pas dans l’optique de te faire du mal, sauf si tu m’y obliges... Je continuais a m’approcher et je posais mes armes au sol afin de montrer mes bonnes intentions. gentil... gentil... moi pas faire de mal a toi !! Je pointais la créature du doigt puis ma propre personne et enfin levait le pouce afin de me faire comprendre. Je pensais qu’ainsi, la créature comprendrait que je ne voulais pas lui faire de mal. Mes gestes lents et calmes auraient certainement pour finalité de calmer la bête. calme... calme... caaaaalme... J’étais maintenant a moins de trois mètre de la créature. Je lui lancais : tu vois ? moi gentil ... Quand tout à coup, la créature me lanca deux rochers en plein visage. Un filet de sang me coulait le long de la tempe. Quelques gouttes atteignèrent mon œil droit. Ma vision se troubla et devint quelque peu rougeoyante. J’essayais de garder un visage amical malgré la douleur. La créature attaqua ensuite Barrack Treilheim qui répondit a ces assauts par 2 coups d’épée qui blessèrent la créature. En voyant cela je me mis à hurler : Barrack Stop ça !! Ne lève pas la main sur cette créature. Nous ne connaissons pas d’ou elle vient et quel est son but. Essayons d’abords de découvrir tout cela avant d’agir. Nous ne sommes pas aussi stupide que les sauvages. Ne faisons pas une bêtise qui nous amènerait à subir le courroux d’un dieu. Méthos arrivait par le Sud, Daktirak couvrait les possibilités de fuite de la créature par l’ouest. L’idée de capturer la créature, d’essayer de l’étudier et d’apprendre qui elle est et ce qu’elle cherche avait été lancée. Balgor Dargoath Bayo et Azrock arrivaient pour nous prêter main forte… La défiance est mère de sûreté [Géant de FEU]
[membre des ROCS DE ZAGNADAR] Ce n'est pas parceque je suis un ROC que j'ai un coeur de pierre !! |
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Methos arrivait le plus rapidement possible .
Il sentait la terre tremblée sous ses pieds , en contre bas du marais il vu Kolloceus un genou à terre , c'était si rare ... il pressa alors le pas , inquiet. Lorsqu'il arriva Barak semblait aux prises avec un géant , qui semblait très agile et qui paraît les coups à l'aide d'un énorme rocher. Methos se rua vers la masse en criant . Puis soudain la créature se retourna pour laisser place à un visage parfait tel celui des Olympiens . C'est sur ce n'est pas un géant , des trais beaucoup trop fins pour être un géant et une taille beaucoup trop imposante pour être un Olympien. Methos rangea son arme et tînt ses distances avec la créature.. Il essayait de communiquer avec elle mais celle-ci ne parlait pas. Tout le monde semblait se calmer , même la créature montrait quelques signes d'apaisement. |
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Cela faisait plusieurs jours que je courais vers les marais Alwestdezag, les combats contre les elfes avaient pris fin, faute de combattants elfes, et nous avions amorcé notre retraite vers les marais en ordre dispersé.
Les premiers arrivés sur place avaient fait état de Catwés au marais, ces derniers se sont montrés étonnamment agressifs ces dernières lunes, ayant ouvertement agressé des géants, et annoncé leur intention d'aller porter main forte aux elfes. Leur présence là bas ne laissait rien présager de bon. Les combats ont effectivement commencé, alors que des CDA foulaient de nouveau nos terres, accompagnés des Catwés qui voulaient aider les elfes et que nous avions déjà repoussés. Cette fois, ils semblaient avoir trouvé d'autres appuis, et tentaient de s'imposer contre les premiers rentrés de chez les elfes. Kollo et Dak, comme souvent les premiers sur place, ont essuyé de nombreuses blessures, et on jugé plus sage de rentrer à zag, sachant que le gros de la troupe suivait, et que les Catwés ne représentaient pas une menace immédiate. Balgor continuait de relayer les informations, alors que nous arrivions par petits groupes sur les lieux des combats. J'étais un peu à la traine, puisque j'avais fait un petit détour pour mettre en garde Iliana, et lui conseiller un trajet plus sur, et dépourvu de géants, pour rentrer chez elle. Enfin, lorsque j'arrivais, il ne restait plus beaucoup de Catwés, et ceux qui restaient étaient en mauvaise posture. Les combats furent brefs, et j'eu à peine le temps de lancer quelques malédictions et autres sorts, que bientôt, il ne resta plus qu'un ou deux Catwés isolé, et surement en fuite. C'est alors que je vis la créature dont Kollo nous avait rapporté la présence, au beau milieu du champ de bataille. Jamais de ma vie, je n'avais vu de créature semblable, ni les sirènes d'Héliké, ni les Centaures, ni même ces elfes maudits ne ressemblait vraiment à ce que j'avais sous les yeux. Je ne savais pas si c'était les récents combats, la présence de tous ces géants autour d'elle, ou les deux, mais la créature semblait clairement nerveuse. J'essayais alors de prendre contact avec elle, je m'avançais doucement vers elle, les bras écartés en signe de paix, et lui parlant doucement, afin de ne l'effrayer ni la faire fuir: Bonjour, je suis un géant, je m'appelle Bayo, et je ne te veut aucun mal... Je fit un pas de plus dans sa direction, le plus doucement possible, encore un ou deux pas, et j'aurais pu la toucher en tendant mon bras: Je viens de Zagnadar, la ville en haut des falaise, à l'ouest, je lui indiquais l'ouest pour imager mes propos, Nous ne te ferons aucun mal. Peux tu parler? On t'♥ Boss :)
[Gardien élementaire -=AIR=-] [Roc de Zagnadar - Tête de Pioche] Shaman |
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Alors que je me retournais vers les autres géants, pour leur faire comprendre par geste de ne pas s'approcher des créatures, je vit du coin de l'œil la créature lever un rocher par dessus sa tête. Ensuite, une ombre s'est abattue sur moi et j'ai perdu connaissance.
Lorsque je me réveillais, tout le monde courrait dans tous les sens, d'autres créatures étaient apparues dans les marais, et attaquaient tous les géants qu'elles voyaient. Les rochers pleuvaient sur nous, et nous n'étions pas prêts à faire face à autant d'adversaires d'une telle puissance. Je saignais abondamment, et j'étais entouré de créatures, je voyais les derniers géants en train de se replier, en tentant de s'organiser vers Zagnadar à l'est. Je me suis trainé, tant bien que mal, vers la guilde des rocs, dans laquelle j'ai pu trouver refuge. Là, je passais les plus longues heures de ma vie, à attendre que les herbes médicinales que j'y avait trouvé fassent cesser les saignement de mes blessures, et d'avoir récupéré suffisamment de forces pour rejoindre Zagnadar. Je mis à profit mon immobilité forcée pour me réapprovisionner dans les réserves de la guildes, et me débarrasser de mon équipement inutile, et communiquer par pigeon avec les autres géants, tout en gardant un oeil sur les créatures qui rodaient autour de la guilde. Je ne savais trop si la guilde était un abri suffisant contre les créatures, ni si elles m'avaient vu rentrer dans la guilde, ou si le va et vient des pigeons allaient ou avaient attiré leur attention. A la nuit tombée, je fut ravi ne pas avoir à connaitre la réponse à ces questions, et je me décidais à tenter ma chance, je lançais un rapide regard à l'extérieur de la guilde pour m'assurer qu'aucune créature ne trainait trop près, et je m'élançais, je courut d'une traite jusqu'à un bosquet, à mis chemin de Zagnadar. De là, je voyais les falaises de Zagnadar, et les défenses qui se formaient. Dans le bosquet, à l'endroit convenu avec Balgor, je trouvais également des potions qu'il avait laissé à mon intention, et dont je me délectais immédiatement. Ainsi ragaillardi, je me lançais a nouveau dans une course folle, cette fois toutefois, les créatures étaient loin à l'ouest, et je ne mis pas longtemps avant de parcourir les rangs des géants, aux pieds des falaises. Là convergeaient ceux qui comme moi, avait du reculer et se replier devant les créatures, et ceux qui sortaient de la ville pour nous aider à repousser ces démons. Les jours qui suivirent ne furent qu'une succession de combats épiques, contre ces créatures dantesques. Il fallait bien plus de géants pour terrasser une seule de ces créatures qu'il n'en fallait pour tuer 3 elfes! Petit à petit, pourtant, leur nombre diminua, grâce aux efforts conjugués de tous les géants. Après quelques jours, les créatures se retirèrent, et nous avons laissé éclater notre joie d'avoir été victorieux. Par prudence, nous décidâmes toutefois que nous suivrions les créatures de loin afin de savoir ou elles iraient, et ce qu'elles feraient. On t'♥ Boss :)
[Gardien élementaire -=AIR=-] [Roc de Zagnadar - Tête de Pioche] Shaman |
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Les lestrygons avaient donc étaient repoussés au large de nos murailles.
Et bien que nous ayons subit quelques pertes cela avait été une victoire trop facile à mon goût. A peine avions nous fait tomber deux des leurs que les créatures avaient fait retraite vers le Nord-Ouest. D'abord craignant pour les occupants du marais nous les avions suivis pour les bouter hors de nos terres, mais même dans cette poursuite ils n'avaient pas l'air de vraiment combattre protégeant juste sommairement leurs arrières pour qu'un plus grand nombre puisse atteindre leur objectif. Mais quel était-il ? Nous les suivions donc tout d'abord à distance raisonnable, évitant ainsi les combats d'envergures et les limitant à quelques rixes. Mais un soir, alors que je passais la rivière qui délimitait la frontière avec Quatar, j'eus la surprise de me retrouver, après quelques pas seulement sur l'autre berge, en plein milieu d'une douzaine de ces lestrygons. Surpris, je revêtais le manteau de roche noire qui m'avait était déjà si souvent utile au cours des 10 dernières années. Chose qui fut bien plus utile que je ne le croyais. Je pensais simplement montrer des intentions non belliqueuses, mais le rocher qui vint littéralement s'exploser contre mon armure de granit me rappela à l'utilité première de ce pouvoir terrestre. A partir de là, il me restait deux solutions: *Rebrousser chemin en retraversant la rivière et me faire couler comme un pigeon par les tirs de ses créatures, si la solidité du roc ne s'en chargeait pas pour eux. *Traverser leur ligne afin de trouver un endroit calme ou reprendre des forces pour ensuite trouver un autre chemin de retour -plus long- vers Zagnadar. Devant l'effet qu'avait eu leur rocher sur moi, j'optai pour la seconde solution. Après tout, j'avais également des chances de trouver ce qu'ils cherchaient en atteignant leur avant garde s'ils étaient arrivé où ils le souhaitaient. Et le fait que nous les ayons rattrapés ne pouvait signifier qu'une chose: Ils étaient arrivés. J'entrais donc dans les lignes ennemis, faisant fi des rochers qui pleuvaient sur ou à proximité de moi. Bayo, Balgor, Methos et Kolloceus m'avaient suivit mais restaient plus à l'écart. Quand soudain un violent coup de rocher dans la mâchoire me fit tituber puis tomber au sol. Un éclat de ma solidité avait transpercé ma joue et le goût du sang commençait à emplir ma bouche. La blessure était superficielle mais me rappela que je devais avancer vite. Me relevant, je regardais où se trouvaient mes compagnons: Bayo venait de mourir. Les créatures avaient fait volte face et s'étaient rué sur des cibles qu'elles pouvaient blesser plus grièvement que moi. Je reprenais donc ma course folle, les créatures étaient de plus en plus nombreuses et apparaissaient maintenant une tourelle d'observation lardanienne, deux poste avancé de Quatar et... Deux catwés. C'était bien ma veine. Avec les relations actuelles entre nos cités c'était très mauvais pour moi. Ils pouvaient y en avoir d'autres quelques lieues à l'arrière. Et même s'il semblait aux prises avec une créature, je pouvais clairement voir gollum dont je savais qu'il possédait les capacités lié à -=Terre=-, et que son piétinement aurait tôt fait de réduire en miette ma protection. ![]() Il ne me restait donc plus qu'à rebrousser chemin, en espérant que les créatures soient assez éloignées du gué pour que je puisse le traverser en sécurité. Je me repliais donc en approchant de la forêt. C'est alors que j'aperçût 4 hautes tourelles noires se découper au dessus de la canopée. Quatar! Nous en étions si proches? Il était vrai que la course effrénée et la mort de Bayo avaient quelques peu chamboulé mes sens. Puis la nouvelle de la destruction d'Ordenum par ces créatures, apportées quelques jours plus tôt me revint à l'esprit. Alors c'était ça leur but : Quatar. Dans ce cas il ne faisait aucun doute qu'ils reviendraient à Zagnadar une fois leur labeur achevé dans la citadelle d'obsidienne. N'étant qu'à quelques encablures des portes de la ville je me décidais à y jeter un œil. Le spectacle était grandiose. Les derniers défenseurs de la cité des hors la loi se massaient aux abords de la citadelle alors de les envahisseurs semaient le chaos et la destruction dans les bas quartiers. Nous étions de nuit et les feux brillaient sur la citadelle. Visiblement les liens vers les murailles externes étaient déjà coupé et de ce que j'avais vu voir en me faufilant à la lisière de la forêt à la tombé de la nuit, les Lestrygons préparaient une seconde vagues que les catwés allaient avoir du mal à contenir. Aller au donjon ne serait que pur folie. Je savais pertinemment que même si ils avaient d'autres chats à fouetter -et des plus gros que moi- je n'étais pas le bienvenue et j'étais entré ici sans autorisation juste après la rupture du traité. Je me décidais donc à parcourir la basse ville, à la recherche de quelque chose à rapporter à Zagnadar. Ultime pied de nez à ceux qui venaient de nous trahir ou tentative de conserver quelques reliques d'une civilisation qui allait peut être bientôt sombrer. Plusieurs créatures rôdaient dans les quartiers abandonnés, mais bien qu'elles semblent plutôt intelligentes, aucune ne me repéra lors de mes fouilles. C'est alors qu'au détour d’une ruelle je tombais nez à nez avec un bâtiment aux formes tarabiscotées avec une grandes enseigne: Ecole de Magie. Vérifiant que personne ne se trouvait en vue du parvis, je me faufilai parmi les ombres et entrai dans le bâtiment. De nombreux livre se trouvaient encore là, mais visiblement les maîtres n'y étaient plus. Qu'ils aient été tués ou qu'ils aient trouvé refuge à la citadelle, ils avaient laissé leur savoir à la portée de tous. Mais ça ne me serait d'aucune utilité. C'est alors que parcourant du regard les étagères comportant des ouvrages très hétéroclites, deux épais livres noirs, côte à côte attirèrent mon regard. Sur la tranche, il était écrit dans une langue que je ne connaissais pas mais que j'arrivais cependant à lire sans difficulté « Le contrôle des flux » et « Flux d'Olympia, des Limbes et des Enfers ». La lecture des flux terrestres était quelque chose que je maitrisais depuis longtemps mais leur contrôle c'était autre chose. Mais plus que les titres, c'était le fait de pouvoir lire ces écritures sans les connaître qui me fit me saisir des deux ouvrages. Et c'est en regardant la couverture du second que je compris : un relief en argent dessinait sur le vieux cuir une représentation très détaillée du Nekromantheion. Impossible de s'y tromper pour qui l'aurait déjà vu. Je parcourais rapidement l'ouvrage. Les explications sur la manière de contrôler l'énergie étaient ponctuées d'anecdotes de la secte noire comme pour illustrer leur propos, révélant ainsi une partie de leur us et coutumes. Tout y était. Tout comme Gorbad l'avait dit. La similitude entre la technique utilisé pour contrôler les flux par les priants d'Hadès et celle pour lire les flux utilisé par les géant de -=Terre=- conforta mon idée que si un dieu devait être mon élément ça ne pouvait être qu'Hadès. Je venais de trouver dans les murs de cette civilisation au bord du gouffre, les cendres d'une beaucoup plus vieilles. J'allais me mettre en quête d'un ouvrage pouvant m'éclairer sur les envahisseurs, quand un craquement sonore me fit faire volte face. Juste a temps pour parer un coup de rocher avec l'avant bras et éviter de me faire broyer la tête. Visiblement, la lumière de la chandelle avait attiré du monde. Rangeant les deux livres dans ma besace, j'en sortais un petit objet brillant. -Désolé Remus... Murmurais-je. Je brisais le sceaux. Je sentis mon énergie passer à travers lui. Je poussais un cri de rage et de douleur. Tout devint lumière autour de moi. Puis noir complet. Les ténèbres se dissipèrent m'offrant la vue de la forteresse des rocs en contreplongée je fis quelques pas vers l'entrée et m'effondrais juste devant l'entrée entendant les gardes quérir de l'aide s'inquiétant de mon état de fatigue avancé. Je passais quelques jours alité avec une bonne lecture trouvé dans la bibliothèque de Quatar et quelques jours plus tard, un nouveau pouvoir s'offrait à moi. Le pouvoir de l'antique secte noire d'Hadès : le drain de vie. [on t'♥ Boss]
Nous ne devons jamais verser de larmes. Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur. Elles constituent la preuve que garder un coeur ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir. |