Sur la route du chemin très loin | |
Topic visité 244 fois Dernière réponse le 12/03/2006 à 21:00 |
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Chapitre I : Les temps passés
Replay se mit donc en route. Il avait toujours en tête ses parents, malgré le fait qu’il s’était promit de ne plus y repenser. Pour le moment il se dit qu’il ferait mieux de profiter du paysage, cela lui changerais les idées ; du moins pendant quelque temps. Les nuages s’écartent et laissent la place à une chaleur un peu forte mais qui ne dérange guère notre géant. Le vent qui souffle légèrement fait remuer l’herbe qui paraît douce et fraîche ( Replay se pencherait bien pour la caresser voire même s’allonger mais il préférait marcher dessus…les géants ne connaissent pas trop cette douceur là). - Je marche seul, ma hauteur me permet de voir plus loin que quiconque et à la lisière de la forêt j’aperçois un lapin qui y rentre. Avec prudence je le suis, poussé par la faim et aussi par l’excitation de la chasse de mon premier gibier. Sans faire de bruit je me rapproche de l’animal qui dévorait une feuille. Je l’observais et j’attendais le moment opportun pour abattre mon bâton sur lui quand mon pied écrasa une brindille sèche. Celle-ci fit l’effet d’un tremblement de terre pour le lapin ; Il se redressa net et détala à toutes pompes. *****, encore raté, quel noob… Pour Replay, ses débuts dans la vie n’étaient pas faciles, et se débrouiller seul n’avait pas l’air aussi plaisant que dans les MI (manuscrits imagés). A chaque proies qu’il manquait, il se sentait de plus en plus nul et ridicule. A la fin de la journée, il finit par s’assoire près d’un étant et mangea ses racines de maniocs qu’il avait emportés avant de partir. - L’air se rafraîchit, le vent souffle plus fort, la nuit ne va pas tarder à tomber. Au boulot… A force de jouer dans les bois, Replay se construisait souvent des cabanes au fond de son jardin dans la forêt derrière chez lui, ainsi il reconnu l’utilité d’avoir des parents qui aimaient vivre à la campagne…pensait-il… Le jour se lève, il n’avait rien dormit de la nuit et déjà il voulait sa revanche sur l’insignifiant petit lapin qu’il avait manqué la veille. On peut remarquer ici que le personnage principal dont nous parlons depuis le début du récit paraît un tout petit peu con… mais il évoluera au fur et à mesure de l’histoire. C’est juste que pour le moment il fait ses premiers pas dans l’univers d’Olympia et c’est effectivement quelque peu laborieux. On se passera donc de tout commentaire. Donc Replay, personnage principal pour ceux qui ne l’auraient toujours pas compris, se remit en chemin. Il se trouvait maintenant au milieu d’une forêt à la fois dense et assez ouverte, ce qui laissé continuellement pénétrer une lumière douce et agréable. Une forêt qui n’inspirait pas à la peur, pas comme dans tous les contes pour enfants où les forêts font peurs parce qu’il y traîne de mauvaise bête qui rôde et dévore les petits enfants égarés. Replay n’avait aucun soucis à se faire étant donné que même s’il n’était pas très vieux, il n’avait pas l’allure d’un petit enfant égaré…mais plutôt d’un grand bonnet pommé. Il marchait droit devant lui en sifflotant lorsque tout à coup il trébucha sur quelque chose de dur et manqua de tomber. Il se retourna et aperçut un pied nu…J’ai trébuché sur un pied ?? Se demanda-t-il en se grattant la tête. Le pied se mit à bouger et le buisson à grogner. Replay prit peur et braqua son bâton devant le buisson qui remuait. + C’est qui ? Fit la vois roque. Un homme assis par terre (forcément), appuyé counter un arbre, une barbe grise…non ; plutôt jaunie par on ne sait quoi, lui cachait la moitié du torse. Son crane luisait à la lumière du soleil et ses yeux dénotés le regard d’un homme envahi de tristesse et à qui l’espoir avait depuis longtemps quitté son cœur. + J’peux avoir des chaussures ?! Grogna-t-il. - Heuu…je suis désolé monsieur mais je n’ais qu’une paire et elle est pour moi. + Ah. Et tu n’aurais pas par hasards un peu de nourriture à me donner ? - Si bien sûr, d’ailleurs j’ai faim, je vous accompagne. Replay s’assit à côté du vieillard qui n’était plus très jeune, étant donné son âge, que pour des raisons que nous ignorons encore, nous ne préférerons pas divulguer. + Et toi alors d’où viens tu comme ça ? - Je suis le fils de Lurpani et j’habitais la ferme de l’autre côté de la forêt. + Le fils de Lurpani ?? - C’est bien ce que j’ai dit. + Et ta mère ne s’appellerait pas Vina ? - Si ! Comment le savez-vous ? Replay s’arrêta de manger et regarda avec des yeux le vagabond qui se trouvait à côté de lui… Vous connaissiez mes parents ? + Oui, je suis un très vieil ami à eux, comment vont-ils ? Au regard du jeune géant le vagabond compris… Je suis désolé, je ne savais pas. Alors ils ont enfin eus leur enfant si désiré. Je suppose que t’es parents ne t’ont jamais raconté qui ils étaient réellement ? Après s’être essuyé la larme qui coulait sur sa joue, le géant écouta avec attention ce que ce vagabond, qui jusque là lui était totalement insignifiant, avait à lui raconter sur le passé de ses parents. Pour lui ils s’étaient rencontrés dans un petit village et avaient décidé de s’installer loin de toutes civilisations pour élever leur enfant. Cette version était la version officielle mais en réalité, Replay s’apprêtait à savoir de qui il était le fils. A suivre... |
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LOL c'est bien marrant. perso jme marrais toute seule devant mon ordi. Pis le truc en plus, c'est qu'on peut s'amuser à chercher les petit clin d'oeil...
Pour ceux qui conaissent, je vous conseil de lire la phrase "J’peux avoir des chaussures ?! " avec un ptit accent arabe et ça passe tout de suite! ![]() Sinon replay, contniue comme ça c'est bien fandard... "La féminité est un art de vivre !"
Elfe des Lunes/Adoptée des Loups/fille de Kowü/soeur de Labyala [Membre des Rôdeurs des Lunes avec Nippalur, Labyala, Khelefkin, Takila et Elwë] |
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+ Ton grand-père, Tââg, était le chef d’un village, situé au loin dans un coin de la planète. Le village « Kcuf ».
Depuis bien des années tout le monde vivait paisiblement dans ce petit village. Ils étaient des cultivateurs nés et des chasseurs invétérés. Un jour de pluie, juste pour embêter tout le monde, Tââg décida de rassembler le village, sur la place du village. Il avait en tête une grosse idée qu’il souhaitait activement faire partager à son peuple. - Ecoutez ! Les temps deviennent difficiles et je ne sais pas encore combien de jours nous pourrons vivre sur nos réserves. Elles diminuent trop rapidement et nous ne pouvons plus cultiver la terre. Il nous faut étendre notre village si nous voulons continuer à vivre ! Le village écoutait avec attention et la foule commençait déjà à se faire à l’idée… A l’autre bout du village qu’on ne voyait pas, debout sur une hauteur plus haute que le reste du petit groupe regroupé devant lui, le frère de Tââg, Marion, échauffé les esprits de ses confrères. Il était beaucoup plus jeune que son frère aîné mais il savait mener les esprits faibles. En revanche, il lui en voulait énormément d’avoir était nommé chef du village. Même si Marion était un jeune homme vif d’esprit est réfléchi la jalousie lui faisait défaut. - Mes chers frères ! Pensez-vous réellement que nous continuerons à survivre avec le peu de réserves qu’il nous reste ? Il faut que sa change, nous devons réagir. Si nous restons ici nous finirons par mourir de faim. Le groupe rassemblé devant lui souriait et ricanait ; quelque chose se préparait... Effectivement, Marion n’écoutez que trop peu son frère mais il était persuader que ce qu’il faisait était légitime. Etre à la tête d’une rébellion, voilà le métier qu’il voulait faire depuis tout petit. Finalement le village partis en quête de nouvelles terres. Tous les guerriers, hommes ou femmes, partirent à la conquête de vivres. A la tête du groupe de combat, Tââg, avançait plus loin, toujours plus loin, repoussant à chaque fois les limites de l’on ne sait quoi. Il avait dans l’idée qu’un jour son village s’agrandirait suffisamment pour que tout le monde puisse vivre sans jamais se préoccuper de leur réserve. A force d’avancer, de cultiver les terres, de chasser du gibier, cueillir des fruits, le village s’étendait plus que rapidement. Les couples se formaient et de nouvelles familles se construisaient. Les maisons de bois se transformaient en maison de pierre. Les habitants avaient développé une technique qui leur permettait de construire des maisons plus solides que la simple pierre ; des maisons en pierre pactet. C’était une matière fine, pas très dures à réaliser, qu’il fallait étendre entre chaque pierres. Elle évitait un double travail, en somme une façon plus rapide et moins fatigante de construire une maison solide. On passa d’un petit village à une Cité en quelques années. La volonté avait fais la force du développement et maintenant la Cité de Kcuf disposait d’assez de poulets et autres nourritures pour vivre encore pendant de long siècle. La fierté de Marion en pris un coup. Son frère lui avait volé son idée. Après un bref […] adieux à Tââg, il décida de partir de la Cité accompagné de son groupe de rebelle. Un jour de pluie, Tââg se promenait dans sa Cité, fier de ce qu’il avait bâtit. De grosses goûtes tombaient du ciel et donnaient l’impression d’un épais brouillard. Tââg se concentrait sur la route, tête baissé, il esquivait les flaques. Mais, au coin de la rue, il tomba la tête la première sur une femme. S’il y eut des témoins il y a de forte chance qu’ils aient qualifiés le « tomba la tête la première » pour un « coup de boule involontaire » . Après avoir repris ses esprits qui s’étaient éparpillés un peu partout sur les pavés, la femme se releva et notre cher chef s’excusa le plus possible, j'suis désolé. Pour se faire pardonner il pensa à une technique ; l’inviter à boire un coup à la taverne. La jeune femme accepta. Depuis ce jour, bon nombre d’hommes utilisent cette stratégie pour faire plus ample connaissance avec une personne (surtout celui du sexe opposé). Ils parlèrent pendant de longues heures ; Leïna vivait seule depuis son enfance, elle travaillait dure pour gagner sa vie et habitait dans une petite chambre dont les taxes devenaient exorbitantes et lui rendaient la vie difficile. A ses mots Tââg compris qu’il avait une ouverture[…] Il décida de la revoir et chaque fois plus longtemps. Au début ils se retrouvaient à la même taverne, puis chez elle et enfin elle avait pris l’habitude d’aller visiter la demeure du chef de la Cité. Leïna était connue de tout le service de cette demeure. C’était une femme qui sympathisait aisément avec les gens qu’elle rencontrait. De plus, et il ne faut pas l’oublier, elle était convoitée par le chef de la maison donc personne ne se devait de lui faire une réflexion déplacée. Et comme vous l’avez certainement déjà deviné, de fils en coton, le chef de la Cité se fit baptiser Roi et par la même occasion, car un Roi à toujours une Reine, Leïna devint Reine. Ils eurent un enfant, surtout elle, qu’ils nommèrent Lurpani. Tout allé bien, jusqu’au jour où Marion revint dans la Cité. Tââg prit des mesures de sécurités car il avait perdu confiance en son frère et lança la mise en place d’une mesure quasi exceptionnelle ; le Plan Vigipirate. La Cité de Kcuf se mit à grouiller de gardes qui circulaient, vérifiaient tous les coins de rues. Malgré ces mesures de précautions, le groupe de rebelles réussi à s’infiltrer dans la Cité. Une nuit, où la lune illuminait le ciel noir, des ombres se déplaçaient dans l’obscurité obscure…quelque chose se préparait… Tââg et sa femme « dormaient » paisiblement dans leur chambre lorsque tout à coup la garde rapprochée, mais pas trop, de Tââg, sonna l’alerte de loin. D’un bon le roi se leva, et de prendre ses armes, la force il trouva. Un à un les gardes tombaient. L’ennemi venait de l’intérieur comme de l’extérieure. Quand tous les hurlements et crient de derniers espoirs s'atténuèrent, la demeure paraissait vide. Le roi qui sentait sa fin proche confia son enfant, Lurpani, à son meilleur coursier. Il lui ordonna de le cacher le plus possible et de le faire oublier de tous. Il lui ouvrit le passage secret qui le mènerait à l’extérieur du domaine. Enveloppé dans un drap et réveillé tôt dans la nuit, l’enfant ne compris guère ce qui était en train de lui arriver. Il se laissa juste bercer par les pas d’un homme pressé. Tââg revint en courant à sa chambre et trouva Leïna sur le lit, là où il l’avait laissé en partant, à un petit détail près. Il n’avait nul besoin de vérifier si elle était morte, il percevait très bien que son corps divin restait froid, que sa couleur de peau était maintenant devenue plus blanche que la neige. Il était là debout, devant elle. L’épée serrée dans sa main, il jura de se venger. Il sentit comme une présence derrière lui, ce retournant d’un geste, il pointa son épée en direction de son frère. Celui-ci pouffait de rire et bientôt d’autres hommes apparurent dans la chambre. Tââg se battit jusqu’à l’épuisement. Il réussissait à esquiver les attaques de ses ennemis et les uns après les autres ils tombaient sous la lame du guerrier. Malgré son agilité, Tââg était devenu trop faible pour continuer à soulever le bout de son épée. D’un pas lent son frère s’approcha. Il avait le regard d’un homme qui savourait sa victoire. Les deux genoux au sol, blessé et sans aucune force, Tââg regarda une dernière fois sa femme, je viens mon amour. Marion leva sa dague au-dessus de la tête de son frère et de toutes ses forces abaissa son bras lui infligeant le coups de grâce. Toutes ces années…J’ai toujours su que j’étais meilleur que toi… Enfin je serais Roi à ta place. Marion avait les yeux injectés de sang et sa bouche aurait pu se déformait tellement il souriait malicieusement. Son plan était maintenant presque terminé, il ne lui manquait plus qu’à informer la population de la maladie que leur roi et leur reine avaient attrapé. A l’autre bout du domaine, derrière un roché, une petite trappe s’ouvrit. Un homme en sortit. Il courait rapidement mais discrètement. Il atteignit la lisière d’une forêt et y disparut. Il avait reçut des instructions très précises sur l’enfant qu’il tenait dans les bras mais il était loin de s’imaginer que celui-ci deviendrait l’avenir de toute une Cité. Les jours passèrent et la population s’inquiétait de la santé de son roi et de sa reine. Marion rassembla la population et, attendant le silence, annonça solennellement la triste nouvelle. La maladie les a emportés. Etant le successeur légitime, dans une cérémonie de tous les Dieux, Marion fut sacré nouveau Roi de Kcuf. Prochainement...Chapitre II : Une nouvelle vie |
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Hrp:/ Une Nouvelle vie ? le meme titre que ma Chro ^^... |
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ah...désolé mais il n'y à pas de copie. par contre je vais aller lire ta chronique du coup! |
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Chapitre II : Une nouvelle vie
Lurpani fut laissé à une famille. Celle-ci était loin du domaine de son père. La femme était presque tous les jours au foyer (normal^^) . Le coursier de Tââg ne connaissait aucune autres familles en qui il aurait pût avoir confiance. Il y avait donc, la mère et sa fille. Le père était mort lors d’un combat mais sa femme ne connaissait pas précisément de quelle lutte il s’agissait et pour quelles raisons son mari se battait. Il ne souhaitait pas mêler sa famille à ses histoires, disait-il, pour ne pas leur apporter d’ennuis. Replay fut vite accepté par la famille. La jeune fille, Vina, et lui-même avait beaucoup d’affection. Ils ne se considéraient pas comme frère et sœur mais ils se disaient tout et étaient très proches. Lorsque Vina eut l’âge, elle fut envoyée dans l’école de Magie des Charklaûs. Mais elle n’y resta pas longtemps ; préférant passer son temps avec Lurpani. Sa mère en eut assez de lui payer des études pour qu’elle n’en mette pas une. Ils grandirent ensemble et Lurpani était devenu en quelque sorte « l’homme » de la maison. A la mort de sa mère, qui avait la pneumonie, ils se séparèrent pour faire leur vie. Lurpani n’avait oublié la trahison de son oncle Marion et s’était juré de n’en parler à personne, mais l’idée commencée déjà à faire son chemin… Il était un homme fort et habile, il décida de s’installer dans un petit village. Là, il fit la connaissance de quelqu’un qui l’aida à bâtir sa maison ( en pierre pactet ) et à s’intégrer dans le village. L’ami de Lurpani, Arroneïl, lui enseigna l’art du combat. Ensemble, ils partaient chasser, pêcher[…] Bref tout aller bien mais un jour l’idée de Lurpani prit le dessus. Il s’était juré de n’en parler à personne mais maintenant il fallait agir et il avait suffisamment confiance en son ami pour tout lui raconter… ce qu’il fit lors d’une journée de pluie. Quelque temps plus tard, après avoir fais connaissance avec les habitants, Lurpani les réunit et prononça son discours de recrutement : - Il faut arrêter le roi Marion. Y’en a assez de ce droit de cuissage, de ses gardes qui violent nos femmes et emportent nos enfants. Suivez-moi, faites-moi confiance !! Evidement les premiers discours de Lurpani n’était pas très profond. Mais de villages en villages il s’améliorait. Petit à petit on écoutait cet homme qu’on ne connaissait pas mais qui soulevait déjà des villages entiers contre le Roi. Depuis son château, Marion avait eu vent de cette petite rébellion, qui portait maintenant le nom de « Letbous » . + Je veux que l’on m’amène la tête de ce brigand sur un plateau d’argent, en or massif plaqué bronze. La garde Marion se mit donc en quête. Elle recruta les meilleurs chasseurs de tête de la contré. Mais Lurpani était habile et avec son ami, connaissaient mieux les forêts et les alentours que quiconque. Avec l’aide de tous les villageois et autres guerriers, Lurpani and Cie avait de quoi affronter la garde de Marion. Pendant des mois, de longs combats se déroulaient mais petit à petit les villageois prenaient le dessus. Chacun d’entre eux avait la rage et la volonté de dix réunis. A bien il menèrent leur victoire jusqu’au château du Roi. Surpassé par les événements et sentant la colère de son neuveux le roi Marion aurait préféré se suicider plutôt que de l’affronter. Trop vieux pour se battre, il le supplia de le laisser s’exiler. Mais Lurpani n’en fis rien et sans un mot, vengea son père. Quelques jours plus tard, Lurpani fut nommé Roi des Letbous. La Cité repris une vie normale grâce à son nouveau roi. Plus de violences, plus d’injustices; « dorénavant règnerait la paix », avait-il annoncé. Son plus fidèle serviteur mais aussi son ami de toujours, Arroneïl, devint son bras droit. Bientôt… Chapitre III : Le Pacte |