Des haches pour Tyrdras | |
Topic visité 536 fois Dernière réponse le 28/05/2006 à 14:38 |
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Le soleil se lève tranquillement sur les plaines d’Olympia, et c’est une nouvelle journée qui commence pour la garde. L’aube s’installe mais le froid rude d’une nuit encore hivernale se fait sentir, et le manteau ample de Durin ne le protége qu’à peine de la morsure du brouillard glacial d’une matinée du temps du réveil.
Levé avant tout les autres, Durin médite, il réfléchit à ce qu’il va faire, et pense également à tout ce qu’il a vécu jusque là. Les dernières batailles dans le désert de Yaacov ont été faciles, bien que les grandes pluies aient été assez éprouvantes pour le moral de tous, de plus les gardes n’ont pas vu leur ville depuis assez longtemps, et une certaine nostalgie de revoir sa fière Kazad se fait sentir. L’ambiance dans le campement est étrangement calme, bien que la tension dans l’air soit palpable. Camper entre Na’helli et l’armée elfique qui se bat à une dizaine de lieues contre les olympiens à quelque chose d’assez inquiétant. Durin se voulait rassurant, les renforts venaient de Kazad, les Lanraaz ainsi que la section de ce brave Gurdil, « Des troupes fraîches » se disait il. De plus le soutien des géants et des rebelles annonçait une coalition des plus puissantes. Mais Durin sentait que quelque chose d’imprévu allait survenir, pourtant il sentait qu’il avait bien dirigé la garde depuis le début, et couper les lignes elfiques pour empêcher les elfes de recevoir des renforts de Na’helli avait été une très bonne initiative, prise dans l’instant. Les gardes étaient impatients, cette attente interminable au milieu des elfes les éprouvait durement, certains avaient même quitté le campement pour aller chasser de l’elfe, ne pouvant rester sur place. « Grimbar, quand apprendras tu à être raisonnable ? » . Il était si jeune et pourtant si fort, Durin s’inquiétait beaucoup pour lui, les dieux semblaient avoir fait de lui une puissance de la nature, et sa barbe magique était un cadeau divin incroyable, Durin n’y avait trouvé aucune explication rationnelle. « Il lui faudra apprendre à se dominer, son plus grand ennemi, c’est lui même. » Il fut interrompu dans ses pensées par un garde qui venait juste de se lever. Durin se concentra et devina qu’il s’agissait de son frère, Thorin. La barbe hirsute mais l’œil vif, son frère se dirigea vers lui. Thorin avait toujours été fort, et c’était un guerrier réfléchi, d’autant plus redoutable. Il avait commandé la garde pour une courte période mais Durin avait pris le flambeau pour diverses raisons. Le changement s’était effectué naturellement, car le vieux nain avait toujours jouit du respect de la part de ses semblables, sauf peut être de sa sœur mais il s’agissait là d’une autre histoire. Quelles sont les nouvelles ? Demanda Thorin en s’étirant, et en jetant autour de lui un regard méfiant. Le sang coule toujours au nord ouest, Grimbar et Thorvald ne sont pas rentrés ? Krunia non plus je suppose. Thorin aquiesça. Quand pourrons nous enfin nous mettre en route ? Tu me pose une question à laquelle moi même je ne peux répondre. Notre bon chef n’est pas si sur de lui qu’il en a l’air ? L’ironie était ouvertement perceptible. Tu ferai mieux de t’occuper de ta section au lieu de venir m’embêter ! Puis peigne toi ou va t’en, les vilaines choses, moins on les voit mieux on se porte. Thorin lâcha un éclat de rire, bref mais franc. Je commençai à m’être habitué à faire sauter plusieurs têtes elfes par jour, ce campement, ça me donne des fourmis dans les jambes. Durin grommela Si tu crois que tu es le seul ? Je sais lire dans les yeux des gardes Thorin. On dit même que tu lis dans les pensées. Les gens pensent beaucoup de choses à tort, tu le sais bien. Il m’est avis que tu me cache encore certaines choses, bon je vais me peigner, je reviendrai dans une heure, je vais manger un morceau également. A tout à l’heure Thorin. Durin se replongea à nouveau dans ses pensées. Durin Sköldrak, vieux Maitre des Runes, en quête de réponses à travers Olympia.
Le siège de la garde de pierre |
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Le vent souffle…Le soleil est toujours si éblouissant… Des lueurs proviennent de l’ouest…Des guerriers approchent…
TIREZ !!! La veille, un peu plus à l’est… - Hé hé ! Tiens, prend ça saleté ! Grimbar retira le tranchant de sa hache rentrée jusqu’au manche du corps sans vie de l’elfe. - C’est moi qui l’ai eu ! C’est moi qui l’ai eu !! Niéhéhéhé ! C’est moi le plus fort ! Durin regarda Grimbar ricaner et poussa un petit soupir. Grumdi haussa les épaules et continua son chemin vers le nord, comme l’avait ordonné Durin. Durin le précédait et appelait les gardes à se regrouper - Allons, venez, mettez-vous en formation et attendez que les autres arrivent. Effectivement, la section de l’Enclume et la famille Lanraaz étaient déjà sur le chemin pour les rejoindre, et les Sigdilites et les Géants ne tarderaient pas non plus… Ce n’était qu’une question de jours. - Grimbar ! Reviens ici, ne t’éloigne pas trop. - Euuhh… Non non, je vais juste rejoindre Thorvald, je dois lui demander quelque chose… - Bon… Va pour cette fois, mais ne te fais pas attendre… - Moi ? Me faire attendre ? JAMAIS ! Grimbar poursuivit donc son chemin à l’ouest afin de retrouver son ancien maître d’arme, Thorvald, le prêtre de Dionysos. Ce dernier était à la poursuite d’un alchimiste elfe, Grimbar rattrapa rapidement le nain bien plus âgé que lui et le devança. - Grimbar ! Reste en arrière ! - Hé hé ! Nan, c’est le mien ! - Ce n’est pas un jeu tu sais ! La guerre est une chose de très dangereuse ! - Moi je préfère prendre ça comme un jeu… Grimbar esquiva le coup de manche que Thorvald lui fît pour le réprimander et accéléra encore le pas. Alors qu’il approchait de son but, un autre nain apparut sur la droite de Grimbar et attaqua « son » elfe. D’un violent coup de hache, il trancha une oreille à l’elfe et lui enfonça trois pouces de lame dans l’épaule. Grimbar pressa le pas et se rua sur son adversaire en hurlant… Grimbar s’éloigna du corps sans vie de l’elfe, ayant trouvé une nouvelle cible. L’autre nain, nommé Barack Houda l’accompagna dans sa traque, ainsi que Thorvald, épuisé, qui trainait un peu à l’arrière. L’elfe que Grimbar avait aperçut ne les avait pas encore repéré, il était affairé à tirer sur un Géant qui s’approchait dangereusement de lui. Après quelques instants, il se rendît compte de la présence des nains. Seul contre tous, il préféra fuir à travers la forêt. Les compagnons se lancèrent alors à sa poursuite. Armé d’un lance-pierre, Barack Houda blessa la créature aux oreilles pointues à la jambe, la ralentissant dans sa course. Les autres se ruèrent dans la forêt, alors qu’un pigeon voyageur s’approchait de leurs positions. Thorvald tendît le bras sur lequel le pigeon se posa. Il déroula le manuscrit sur lequel il était écrit : Gardes ! Vous devez vous rassembler immédiatement ! L’assaut ne tardera pas à être lancé ! Signé : Durin, Commandant de la Garde de Pierre. Il replia soigneusement la lettre et la fourra dans sa poche avant de crier. - GRIMBAR ! Reviens tout de suite ! Durin nous attend ! - J’arrive, j’arrive… - GRIMBAR ! J’AI DIS TOUT DE SUITE ! - Oui oui, je fini… Thorvald s’enfonça plus profondément dans la forêt en grommelant sur la jeunesse naine qui n’était plus ce qu’elle était. Une fois Grimbar en vision, il lui botta royalement les fesses. Grimbar lâcha un hoquet de surprise alors qu’il faisait un bond en avant. - Mais qu’est-ce que j’ai fait ? - Allez ! Viens ! Grimbar acquiesça, regarda autour de lui et se rendît compte… Il observa la forêt, sombre et touffu… Seul quelques légers rayons de soleils arrivaient à grande peine à traverser la végétation dense. Des cris d’animaux sauvages se faisaient entendre et tous les arbres se ressemblaient… - Euuhh… Tu va rire Thorvald… Je… Je crois qu’on est perdu… [Roi des Nains]
[Jeune nain à barbe vivante] "Ah ! Qu'il est grisant d'emmerder les gens." Grimbar "- Ta geule -" Griky |
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Thorvald, en tant que prêtre, fut très intéressé par cette affaire de première importance pour lui dès qu'il fut mis au courant. Une Cité enfouie par les Dieux ? Il fallait que le prêtre voit cela de ses propres yeux. Mais, il fut très vite confronté à un dilemne : on ne pouvait tolérer laisser des impies souiller le travail des Dieux ou voler les trésors divins mais cette cité pouvait faire la Gloire et la Richesse du peuple Nain.
Finalement, la seconde solution triompha. Le Nain allait beaucoup prier, espérant ainsi voir la colère potentielle des Dieux apaisée. "Pardonnez-moi Ô grand Dyonisos !" Ainsi, il fut ravi d'apprendre que la Garde de Pierre allait aussi participer à cette quête et il fut l'un des premiers à partir vers Sigdil. Après de longs jours de marche, enfin on apercevait Sigdil. La joie montait dans les rangs Nains, de vieux chants traditionnels égayaient la fin du voyage. Durin, le vieux commandant de la Garde de Pierre, décida soudain de s'approcher un peu plus d'Héliké, lieu où les tensions se faisaient de plus en plus grandissantes entre les Olympiens et les Elfes. Sur le chemin, les armées Naines croisèrent de nombreux elfes qui se dirigeaient vers la Cité perdue. Peu d'entre eux réussirent à passer entre les mailles du filet, presque tous avaient été tués. "De tels être blasphèmatoires ne devraient plus exister" pensa le prêtre. "Toutes ces morts vont faire la joie des Olympiens, il y aurait moins de petits verts à abattre ainsi..." Malgré son âge relativement avancé -quoique tout à fait normal pour un Nain- Thorvald fit plusieurs victimes ce qui lui donna un joyeux entrain. Il se laissa emporter par sa gaieté jusqu'aux abords de la forêt des Elfes en poursuivant un alchimiste, quelque peu suicidaire. Soudain, son ancien élève le rejoignit puis un autre Nain. "On ne peut donc pas chasser tranquille par ici ?! grommela Thorvald - Ne crois pas que les elfes sont à toi ! rétorqua malicieusement Grimbar tout en abattant plusieurs coups sur l'elfe." Tout à coup, un pigeon qui portait une bague royale se posa sur l'épaule de Thorvald qui le caressa quelques instants avant de détacher la missive de ces pattes griffues. Le prêtre ouvrit la lettre puis la parcourut d'un regard. Il fallait rejoindre la Garde de Pierre qui était sur le point de bouger vers...Héliké ! "Hum...Il faut y aller Grimbar. - Je veux finir l'Elfe ! répondit Grimbar - Ma patience a des limites, Grimbar. Reviens sur le champ ! - Bon..Bon..D'accord." Grimbar fit quelques pas vers le vieux Nain puis s'arrêta soudainement. "Euuhh… Tu vas rire Thorvald… Je… Je crois qu’on est perdu… - Jeune Nain, ne t'ai-je jamais dit de ne pas t'éloigner ? Tu pourrais être un bon Nain si tu n'étais pas si fougueux et si inconscient. Heureusement que je suis là encore une fois ! - Hé, ho, stop la morale ! C'est par où alors ? - Suis-moi...C'est par ici." Grimbar et son ancien précepteur se dirigèrent d'un pas rapide vers les troupes en stationnement en plus à l'ouest avant de se faire rappeller une nouvelle fois à l'ordre. |
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L’attente semblait vouloir durer encore longtemps. Après les combats contre les elfes, cette inaction pesait sur tous les Gardes, et en particulier sur Thorin. Il avait installé sa tente en bordure du campement, pour pouvoir rapidement intervenir si les elfes venaient à attaquer, mais ceux-ci étaient sûrement trop lâches pour cela.
Plusieurs nains avaient déjà manqué à la discipline, mais comme son frère Durin avait pris les plus turbulants dans sa section, il n’avait pas trop à rappeller à l’ordre des membres de la sienne. Cela valait d’ailleurs mieux pour les nains incriminés, car autant Durin savait être patient et pédagogue, Thorin préférait les corrections promptes marquant durablement l’esprit des fautifs, si ce n’est leur corps. Après avoir été cherché son déjeuner dans la tente du tavernier de la Garde, qui faisait aussi office d’intendant et de cuistot pendant les campagnes, il alla s’installer sur une souche d’arbre, chercher un peu d’ombre sous une toile tendue là, car même si le désert de Yaacov se trouvait juste en-deca de l’horizon, la chaleur était encore élevée pendant les heures où le soleil se trouvait à son zénith. Il mangea sa part de jambon fumé, quelques œufs, un petit pain, qui commencait à rassir, mais qui se trouvait encore mailleur que bien des fois pendant de longues campagnes. Et il fit bien entendu descendre le tout avec une pleine chope de bière, ambrée et forte, mais qui n’était plus tout à fait fraiche. Les combats contre les elfes n’avaient pas été à proprement parler éprouvants, mais à force de trancher le fil de sa hache commencait à être émoussé, et il fallait également qu’il prenne soin de son armure, qui commencait à rouiller. Il l’avait appris àl’École de Guerre, lorsqu’il n’était encore qu’un jeune nain : « un guerrier qui ne prend pas soin de son équipement est un guerrier mort. » Il emporta donc tout son barda et se réinstalla sur la souche. Prenant sa pierre à aiguiser, il se mit à rétablir le tranchant de sa hache. Alors que Thorin était occupé à cette besogne, son frère vint à lui, sortant du dédale de tentes que certains appelait campement. Eh bien Thorin, c’est toi qui fait ce bruit lancinant qui vient pertuber mes méditations ? On entend le frottement de l’acier contre la pierre jusqu’à l’autre bout du camp. Il faut bien fourbir ses armes avant la bataille, sinon celle-ci risque fort de mal tourner. Qui sait ce que nous allons trouver là-bas ? Les elfes, ce sera facile, un simple désagrément. Il sont tellement faibles… Tu as bien le nombre de verdeux qui sont tombés sous mes coups pendant la guerre des Fosses. Les olympiens.. Bah, c’est déjà une peu plus sérieux, les Légions impériales sont puissantes, mais bon.. On fera ce qu’on a à faire, c’est à dire les mettre en déroute, et les décimer si possible. Si ces ennemis te paraissent si insignifiants, que redoute-tu donc ? Ils sont déjà en train de s’entre-déchirer, nous n’aurons plus qu’à finir le travail. Cette cité a été occultée par les Dieux, et si les sortilèges sont tombés, qui sait ce qu’Ils ont pu mettre à l’intérieur pour garder la cité. Je ne crains aucun adversaire de chair et d’os, mais je ne peut rien face à des esprits méphitiques ou autres diableries divines. Nous manquons cruellement de mages, capable de lutter face à cela. Je ne remet pas en donc ton savoir, mais seul ou presque, que pourra-tu. Espérons que Dionysos entende les prières de Thorvald, sinon je ne sais ce qui arrivera. Et si jamais les portes se refermaient, et que nous devenions les nouveaux gardiens de Tyrdras ? Mon frère, je ne guiderait pas la Garde dans cette expédition s’il n’y avait aucune chance de réussite. Et imagine ce qui se peut se trouver à l’intérieur. Des trésors, des objets de pouvoir, des armes magiques. Tu ne voudrais pas d’une nouvelle hache divine ? Ma foi… Thorin leva devant la hache qu’il était en train d’affuter, et la fit tourner dans ses mains. Il est vrai que celle-ci commence à s’abîmer, et puis… elle est bien simple… Enfin, ce n’est pas en restant dans ce campement que nous nous approcherons de tout cela. Je le sais bien, mais qu’y pouvons-nous ? Nous devons attendre nos alliés… Je sais que tu préfèrerais le faire à l’ancienne, et envoyer la Garde foncer dans les lignes ennemies, mais ce n’est pas possible. Bon, et bien j’attendrais. D’ailleurs je n’ai pas le choix non ? C’est toi le Commandant. Alors que Durin s’éloignait, Thorin passa un dernier coup de pierre sur le fil de sa hache, la déposa de côté, et se munissant d’huile et d’une brosse, il se mit à entretenir son armure, faire disparaître les taches de rouilles, et vérifier tous les éléments. |
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La plaine ou Tyger et ses compagnons de la Garde attendait l'ordre du commandant était vaste elle s'étendait de l'Ouest de la fôret de Na'Helli aux grandes fosses hormis de l'herbe aucune végétation ne poussait ici,il faut dire que le désert de Yacoov se trouvant au sud des grandes fosses laissai remonter quelque peu la chaleur .Tyger était dans les premièrres lignes .Depuis la fin de la bataille contre les elfes ,il ne cessait jamais de penser à la guerre ,ça l'avait remotivé ,il était d'attaque pour frapper un grand coup dès que l'assaut serait lancé mais .En attendant il aiguisait soigneusement les lames de sa hache pour mieux pouvoir trancher ses adversaires.
Durin donna l'ordre de l'assaut.Tyger était positionner à ses cotés.Il n'hésita pas une seconde il vit trois elfes au sud ouest de sa position .Il les chargea tous les trois en même temps grâce à la technique apprise à l'école de guerre que les anciens utilisait lors des affrontement à savoir "le déluge de haches" .Il l'effectua a deux reprise sur ces trois elfes .Un seul des trois reussit à parer les deux attaques porter par Tyger, il avait sauter par dessus le coup de hache porter hortizontalement et une fois retomber sur le sol, une magnifique roulade sur la gauche lui fit éviter de justesse le puissant coup de hache ,en revanche les deux autres ,trop lent, se sont fait surprendre , le premier coup de hache les ayants projettés violemment sur par terre ,il ne trouvèrent les forces necessaire pour tenter une esquive au deuxieme coup .Le temps qu'ils se remettent en position pour contrer Tyger, il avait déjà disparus.Il était allé se replacer non loin de son commandant qui écoutait le Gardien qui lisait la missive du Roi Gorbad. -Apparement il faudrai laisser partir les Elfes? ,fis-je -Oui ,me répondit Durin, il faut les laisser s'en aller en revanche ils nous restent les Sauvages et les Olympiens qu'il va nous falloir abattre. -Très bien alors étant donnés que les Olympiens sont les plus proche je sens que ma prochaine cible va en etre un .....Oh celui la là bas hehehe voyon voir se qu'il a dans le ventre. Tyger commença a se diriger vers l'Olympien qui se trouvait au nord de l'endroit ou il était.L'olympien était dos à lui mais il se retourna et dit à Tyger -Si tu crois que je ne t'avais pas entendu arriver tu peux te mettre un doigt dans l'oeil ! -Si tu crois m'impressionner parce que tu est plus grand que moi tu te trompe mon gaillard sache qu'un nain n'a jamais peuret qu'il ne refuse jamais un combat et surtout pas moi. -Très bien fais moi voir de quoi tu es capable ,pauvre nain !!! Tyger chargea avec sa hache, l'Olympien reussit à esquiver le coup formidablement bien -C'est tout ce dont tu est capable ,fit-il en ricanant.Je pensais que les nains savaient au moins viser! Tu va voir si je ne sais pas visé moi ! Tyger se releva et porta un deuxième coup de hache en plein sur les cotes de l'Olympien qui du s'agenouiller pour reprendre sont souffle.Il n'en revenait pas de la rapidité avec lequel Tyger avait porter son coup. -Co..co..comment as-tu fait ? c'est impossible, tu ne pouvait pas me toucher personne ne peu me toucher !!!! -Tu te trompe , la preuve est belle et bien la ,ça n'est pas moi ki suit a genou par terre pour récuperer.Je reconnai bien la le défaut des Olympiens a toujours se croire supérieur aux autres races alors qu'en fait vous n'etes que de vulgaires pantins diriger par une imperatrice. C'est tout ce que vous êtes!!!!Des PANTINS!!! -Espèce de nabot on n'insulte pas la race la plus civilisé de se monde sans recevoir un châtiment! -Et bien,qu'attend tu? Je t'attend, relève toi et vien te battre. Les deux hommes se regardaient fixement dans les yeux, l'Olympien était pret à bondir et le Nain reprenais sa hache bien en main pour être pret à lui redonner un coup .Il savait qu'il avait un net avantage étant donné que son opposant était bléssé aux côtes.Le combat allait être fort rude pour les deux adversaires. Tyger Naonak
Commandant de la Garde de Pierre Cousin de Tagazog Gramm |
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Moooouuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh...
Grimbar s'étira largement en baillant alors qu'il sortait la tête de sa tente. L'ennui lui pesait profondément et il sentait que cette journée allait encore être à en mourir. Il poussa un léger soupir en regardant les tentes des autres nains pulluler. Il sortît de sa tente et se promena tranquillement dans le campement. Il n'y avait aucun bruit... Etrange... Il regarda au loin, et quelle ne fut pas sa stupeur de voir tous ses camarades partir en courant au combat... HEY !! Mais... MAIS... ATTENDEZ MOI !!! Après un rapide Sprint, Grimbar put rejoindre l'arrière des rangs, composé de nains mais aussi de nombreux Géants. Après s'être étonné de leur grande taille, il se décida à lacher son lance-pierre pas plus efficace qu'une épée elfique et se rua au contact avec sa hache. Durin avait donné l'ordre de ne plus attaquer les elfes, et c'est donc le coeur en paine que Grimbar vît toutes ces oreilles pointues s'éloigner... Cependant, il y avait largement assez d'Olympiens pour s'amuser ! Grimbar se fraya un chemin entre ses frères et les Géants et entama le corps à corps. Plusieurs coups de hachevolèrent, mais la plupart des Olympiens reculaient devant la puissance de la charge nano-géante, ou alors tentaient héroïquement de tenir tête à la masse... tenter, seulement... Grimbar accéléra le pas et prît le devant sur ses amis et fonça tête baissée au milieu de nombreux Olympiens. Il se retrouva alors presque seul, face à des ennemis supérieurs en nombre. Oups... J'avais raison... Cette journée va peut-être être à en mourir... [Roi des Nains]
[Jeune nain à barbe vivante] "Ah ! Qu'il est grisant d'emmerder les gens." Grimbar "- Ta geule -" Griky |
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HRP : lol ! Sympa cette chronique ! Je trouve ca très marrant de lire le récit d'une bataille vue par les yeux de plusieurs protagonistes ! |
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Le combat faisait rage. De toutes parts les forces coalisées naines et géantes se heurtaient aux légions olympiennes. Thorin, menant la charge au nord, venait d’abattre un olympien déjà fort blessé, et après avoir asséné un autre coup de hache sur un soldat désormais isolé, il reprenait son souffle avant de continuer.
Il nettoya sa hache sur le sol, et pesta contre ces terres détrempées qui ralentissaient leurs mouvements, sans compter qu’un tel environnement allait faire rouiller son armure. La boue s’accrochait sous les semelles des lourdes chaussures de guerre, et si les géants ne s’y enfonçaient que jusqu’à la cheville, les olympiens à mi-mollet, parfois la glaise montait jusqu’au genou des nains. Il reprit pied sur la terre ferme au nord de la zone inondée, et c’est alors qu’il se trouvait en vue d’un détachement impérial que le messager vint le trouver. C’était un jeune nain, prêt à se battre, mais chargé de la mission tout aussi importante, si ce n’est plus, de transmettre les ordres et les messages. Il attira l’attention de Thorin, n’osant s’approcher trop avant de s’être fait connaître. Et alors que Thorin attendait son message, celui-ci hésitait, oscillant entre la crainte et un autre sentiment, que Thorin n’arrivait pas à déterminer. Eh bien parle ! rugit finalement le guerrier, impatient de retourner en découdre. Si tu n’as pas remarqué, c’est la guerre, et là-bas, c’est des olympiens ! déclara-t-il en désignant ceux-ci de sa hache, finissant d’intimider le jeune messager. C’est que… votre frère… je veux dire le Commandant… Oui, et bien quoi ? Qu’est-ce qu’il me veut encore ? Faut encore que je joue au garde d’enfant ? Non... mais… euh… il y a eu un combat… Oui ca en effet, il y a des combats, il est fort observateur ! Mais… je veux dire… il a été tué… par l’hum… NOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!! Le cri de Thorin fit se retourner un olympien, qui n’eu que le temps de lever son épée pour tenter de parer le coup de hache fulgurant que lui assénait Thorin, arrivant en courant et hurlant. L’épée se brisa net sous la force du coup, et la hache alla frapper le torse sur le côté droit, creusant une profonde entaille dans les chairs, malgré l’armure légère portée par le soldat. Maudits soyez-vous ! Tous ! Vous avez tué mon frère ! Rien ne vous sauvera ! Et alors que l’olympien essayait de se reprendre, Thorin mit toute sa force dans un coup tournant qui atteignit son adversaire sur le bras gauche qu’il levait pour se protéger, et Thorin sentit, à travers la chair lacérée, l’os se briser. Cela arracha un bref cri de douleur, et Thorin ne put s’empecher de remarquer le courage de l’autre. Ta bravoure ne te sauvera pas, chien de Salminar ! Regarde derrière toi ! Et derrière lui se tenait un autre nain, que Thorin connaissait de vue bien qu’il n’appartienne pas à la Garde, un dénommé Tarek, qui les suivait dans cette campagne. Celui-ci asséna un coup dans les jambes de l’olympien qui tomba à genoux, puis le décapita prestement, alors qu’il n’avait plus à frapper haut pour atteindre le cou. C’est bien mon frère, aucun ne doit survivre ! L’autre nain lui fit un signe, un sourire, puis reparti affronter les olympiens. C’est alors que Thorin remarqua que le messager était toujours là, apparemment en train d’attendre il ne savait quoi. Tu es encore là toi ? T’as rien de mieux à faire ? C’est que… avec la mort du Commandant, c’est vous qui prenez sa place comme Commandant jusqu’à son retour. Oui c’est juste… ou jusqu’à ma mort… Bon attend là, je vais transmettre mes ordres. Thorin prit de quoi écrire dans son barda, griffona quelques mots, et le tendit au messager. Tiens, fais passer ca aux Gardes, surtout à Gurdil Bugman, le commandant de l’Enclume. Rien de bien nouveau, mais autant répéter les anciennes consignes, certains les oublient. L’estafette salua, puis partit remplir sa mission. Thorin délaissa là le cadavre de l’olympien tué, et reparti assouvir sa vengeance plus avant, sur le front des troupes. Il n’avait pas fini de tuer. |
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Beregroth était arrivé en retard au rendez vous fixé par Gurdil Bugman, le commandant de l’enclume. Toujours accompagné de Karta, ils avaient du régler quelques affaires en ville, et un incident sans grande importance les avait retenus. Une fois leur argent déposé en lieu sur et leurs paquetages prêts, ils se dirigèrent vers la sortie de Kazad à Gorog. Le chroniqueur de la Garde de Pierre n’était pas mécontent de sortir enfin de la cité, les événements récents avaient vidé celle ci de touts ces guerriers, et la ville était en proie au désordre.
Une fois en dehors de la cité, ils descendirent les montagnes de Radar Beck par des petits chemins sinueux dont seuls les nains connaissent l’existence. Bien camouflés dans les pitons rocheux de la montagne, ces routes sont presque invisibles aux yeux des étrangers. La descente fut rapide et arrivés au bas de cet immense amas de pierre, ils ne se trouvaient plus très loin du point de ralliement qui n’était plus qu’à quelques lieues de là, un peu plus loin dans la plaine. Beregroth sut qu’ils étaient enfin arrivés lorsqu'il reconnut la voix de son capitaine, visiblement énervé par le manque de ponctualité de sa section, il criait : -Allez, on se dépêche ! que tout le monde se prépare à partir. Il n'y a plus de temps à perdre, ils ont besoin de nous là bas ! L’expédition avait accumulé de nombreux jours de retard et se devait de le rattraper, tout le monde se mit donc en route sur-le-champ… La rigidité des sols escarpés des montagnes avait été troquée pour la déplaisance des sols meubles des grandes étendues d’herbe, mais malgré cela, le petit groupe avançait avec une allure pouvant sembler rapide pour des êtres de si petites tailles. Arrivé à proximité d’un bois, puis d’un marais, les membres de l’Enclume purent observer la faune de ces lieux qui s’affairait. Les Longues pluies avaient agrandi la taille des multiples bassins dont regorgeait ces marais, pour la plus grande satisfaction des insectes et autres batraciens peuplant cet endroit. Les jours de marche s’enchaînaient, la cadence de marche élevée se faisait maintenant sentir dans les pieds, les jambes se faisaient lourdes, et les courtes nuits de sommeil n’arrangeaient pas les choses. Mais, maintenant que la guerre avait éclaté aux alentours des ruines de Tyrdras, la présence de l’Enclume devenait indispensable et les Gardes le savaient. Afin qu'ils ne perdent pas de vue leur objectif, le commandant encourageait ses hommes en leurs rappelant pourquoi ils étaient là : -Hâtons-nous, la Garde de Pierre a besoin de nous sur le front… Malgré l’état physique dans lequel se trouvait chacun des nains de cette expédition, ils continuèrent leur longue marche et finirent enfin par rencontrer un rassemblement d’hommes sauvages. Pour les membres de l’Enclume, la bataille allait enfin commencer… Le sang ne tarderait pas à couler... Oeil pour oeil, dent pour dent. |
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Ils avaient eu Durin, et ça, Grimbar ne pouvait pas leur pardonner !
C'était peut-être un vieux grincheux, mais il faut avouer que Grimbar appréciait beaucoup le commandant de la Garde de Pierre. Il prît le manche de sa hache plus fermement après avoir vu de ses yeux Durin mourir foudroyé. La magie... La magie était la raison de sa mort. Grimbar ! Viens vite, il faut charger les Sauvages ! Hein, quoi ? Les Sauvages ? Grimbar ne comprenait plus trop ce qu'il se passait, il était assez déboussolé. Il vît plusieurs membres de la garde de Pierre se diriger vers l'ouest et il les suivît. - Pfiou ! C'est vraiment le bordel ici ! - J'te le fait pas dire... Grimbar accéléra le pas. Enfin, il put apercevoir au loin les Hommes Sauvages, tassés ensemble et qui commençaient à jetter leurs sort sur les nains qui avancaient avec difficulté. Grimbar regarda encore les Sauvages... Leur magie... Ce sont des éclairs qu'il pensait voir jaillir de leurs mains pour se déverser avec rage sur les nains. La colère monta et Grimbar accéléra... Il charga... seul... - NON !! GRIMBAR NON ! - La rage coulait dans ses veines tandis que les sorts des Sauvages ne semblaient pas l'affecter. Il se rua sur l'un d'entre eux et le découpa littéralement à la hache. Seulement... La rage ne rend pas un homme invincible... ni un nain... Grimbar commençait à sentir une douleur. Il regardait tous les Sauvages incanter, il tenta d'avancer mais fut percuté de plein fouet par un dard magique qui vînt se planter dans son torse. Il grimaça et fît un nouveau pas en avant avant de recevoir un dard dans la jambe droite... Il tomba a genoux. Du sang coulait de sa bouche alors que sa vue commençait à se troubler. - Grimbar !! Je t'en supplie !! Recule tout de suite !! - Grimbar tenta d'avancer à nouveau, mais ses jambes ne voulaient plus lui obéir. Je... Je ne peut pas faillir... je ne DOIS pas faillir... Son corps commença à osciller, puis il tomba sur le dos. La douleur, elle est... Je ne dois pas mourir ! Je ne peux pas... Ses yeux se refermèrent alors qu'il expirait un dernier soupir. [Roi des Nains]
[Jeune nain à barbe vivante] "Ah ! Qu'il est grisant d'emmerder les gens." Grimbar "- Ta geule -" Griky |
Par Google   |
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Alors que Ghöthor essayait de se frayer un chemin vers la première ligne à travers les lignes naines et géantes pour enfin tester son déluge de haches, il aperçut Durin se faire foudroyer par un éclair en provenance de l'humaine combattant aux côtés des Olympiens.
Poussant alors ceux qui se mettaient sur son passage sans ménagement il arriva enfin devant l'humaine. Se campant en face d'elle il leva sa hache et avec une envie de meurtre il l'envoya valser d'un coup de hache dans les côtes puis alors qu'elle se relevait et préparait ses sorts la lame de sa hache tira de sa jambe un joli craquement. Tournant la tête derrière lui il aperçut plusieurs nains combattant les Olympiens, il prit son souffle et s'écria: Nains de la Garde de Pierre, venez venger votre commandant! Abbatez l'humaine! Se retournant en face d'elle, il n'eut que le temps de voir que celle ci avait préparé un sort pendant qu'il avait le dos tourné, l'éclair partit dans sa directon et de tout son être il se concentra pour résister au sort...réussi! Malheureusement l'éclair qui suivit fut des plus dévastateurs, peut-être que les cours de Durin auraient été des plus efficaces. Tyger réagit peu après son injonction et l'humaine fut au bord de la mort, l'explosion d'un projectile de Kyp l'atteint la laissant dans un état lamentable. Mais celle ci put prendre la fuite à travers les lignes Olympiennes et éviter la mort... A cet instant un groupe d'Olympiens parut prendre le nain qui se détachait un peu du front pour cible, et déjà blessé j'échouait à éviter des attaques qui m'auraient semblés simples en temps normal. La septième personne se ruant à l'attaque du nain sans qu'il n'ait rien put faire l'acheva de deux faibles coups d'épée. Croisant son commandant chez Hadès, il lui annonça que sa meurtière avait échapée à la vengeance naine, mais comme tout le monde le sait les nains sont patients et rancuniers! |
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Le combat qui avait lieu dans la plaine était d'une rare violence, les nains se jetaient dans les rangs des sauvages, hurlant des chants guerriers et brandissant leurs haches. Gurdil se tenait au milieu de ce chambarat, sa hache et son armure était couverte du sang de ses ennemis, cela faisait longtemps qu'il se battait. Aprés avoir prit un peu de recul, Gurdil tenta de repérer les membres de sa section pour pouvoir organiser une contre-charge efficace. Il vit Beregroth, mais les autres avaient disparus, pas moyen de les localiser. Gurdil commençait à se faire du soucis pour son frère Gotrek. Il hurla.
- GOTREK !!! GOTREK !!! OU ES TU ? Puis le regard de Gurdil s'arrêta sur le corps sans vie de son frère, le corps percer de toutes parts par de multiples projectiles magiques lancés par les sauvages. La haine emplie son coeur et les larmes atteignirent ses yeux malgré lui. Gurdil se lança dans la mélée, maudissant les sauvages. Arrivé au coeur de la bataille, Gurdil utilisa la technique de combat ancestrale des guerriers nains, le "déluge de haches". Son coup tournant blessa plusieurs sauvages, les forçant à reculer, puis il recommença sur d'autres qui reculérent à leur tour. A ce moment, Gurdil remarqua que les sauvages l'observaient avec un petit sourire narquois, ils commençaient àtourner autour de lui. Gurdil se retourna et il découvrit avec horreur que la plupart des gardes avaient reculer, Gurdil se retrouvait seul face à la horde d'ennemis. La situation était critique. - Qu'est ce qui te fait marrer le poilu ? dit Gurdil à un sauvage tout en lui assenant un coup de hache en travers de la poitrine. De nombreux sauvages lui lancérent immédiatement de nombreux ards magiques qui se fichérent dans sa peau. Ses blessures saiignaient abondemment. Gurdil préféra rejoindre le reste de la Garde et assouvir sa vengeance ultérieurement. |
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Durin s’était hâté du mieux qu’il pouvait pour retourner au marais depuis sa mort, mais les nouvelles n’étaient pas très brillantes, les olympiens avaient chargé et prenaient Héliké petit à petit. Durin arrêta sa course et se mit a genoux. Ghötor, de sa section, l’accompagnait depuis Khazad.
Commandant vous allez bien ? Nous n’aurions peut être pas dû forcer l’allure ainsi. Non ça n’est pas ça Ghötor. Durin marqua un long silence, Ghötor était mal à l’aise de voir son commandant ainsi. Il est trop tard pour Héliké, nous avons failli, que dis-je, j’ai failli. J’ai mal mené cette bataille depuis le départ, nous aurions du entrer dans Héliké avec les géants, j’ai été présomptueux en pensant que nous aurions pu tenir sur deux fronts. Vous avez été un des premiers à tomber, et l’alliance entre les sauvages et les olympiens n’était pas prévisible, nous n’avons rien à nous reprocher. Au moins ma seule satisfaction est que les richesses d’Héliké ont été prise par les géants, j’espère que les olympiens n’auront que des miettes. Ghötor, aide moi à rédiger des messages pour les gardes. Nous devons nous rassembler, loin des combats. Maintenant ? Ils restent encore de nos frères à Héliké. Durin marqua un silence lourd de sens. Nous ne pouvons plus rien pour eux, leur seule chance est de sortir au plus vite et de fuir vers le désert de Yaacov et les fosses au sud. Aller au marais maintenant nous conduirait à une mort certaine. Vous pensez vraiment qu’ils ont une chance ? Oui, je le pense, Kardrim est avec eux, il saura quoi faire. Nous allons les attendre au sud, et préparer le campement pour eux, car ils reviendront. Nous allons demander aux gardes qui sont sortis des enfers de nous rejoindre également. La forge et l’université est construite ! Je vais leur demander de bien s’équiper avant de venir. Oui Commandant, mais qu’allons nous faire ? Je n’en sais rien, nous ne pouvons rien pour Héliké, nous allons attendre que la situation se tasse, et on avisera par la suite, il me faut un campement calme, je dois m’entretenir avec le roi, les géants, les rebelles, beaucoup de monde, c’est pénible mais nécessaire. Durin n’avait pas réalisé qu’ils étaient extrêmement près du théâtre des combats et vit un nain tomber sous les coups et les sorts, de nature humaine. Ghötor leva sa hache et demanda. Qui sont ils ? On ne dirait pas des olympiens. C’est exact.Dit Durin en se relevant. Ce sont des humains. Qu’est ce que c’est ? J’ai bien peur ne pas en savoir plus que toi, et je crains aussi que nous ayons de nouveaux ennemis. Durin entendit l’humaine se délecter de la mort du nain, elle sentit qu’on l’observait et se tourna vers Durin, au loin. "On ne s'est pas déjà croisé quelque part, Messire ?" Ghötor grogna. C’est elle qui vous a abattu. Laissez moi… Non. L’interrompit-il.Nous avons assez perdu de nains comme ça, allons nous en. Oui Commandant… Durin Sköldrak, vieux Maitre des Runes, en quête de réponses à travers Olympia.
Le siège de la garde de pierre |
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Gurdil courait dans le désert. Il était seul depuis quelques jours, tous ses compagnons de batailles avaient périt au combat face aux olympiens tandis que les géants avaient fuient les combats massivement. Gurdil avait failli lui même y passer, de nouvelles cicatrices prendraient place sur son corps d'ici peu de temps.
A la sortie du marais, il était seul. Lorsqu'il arriva prêt des montagnes, il reconnu les falaises du désert de Yacoov. Il les contourna par l'est, ayant aperçu plusieurs personnes de taille supérieur à la sienne non loin vers l'ouest,probablement des olympiens. Il passa ainsi plusieurs jours dans les montagnes, marchant sans relache vers le sud. Au bout de quelques jours, il aperçut une étrange silouhette au bas des roches, la créature était de stature quasi-identique à celle d'un olympien. cependant, il était équiper d'une étrange façon, une veste en fourrure et il était armer d'une arme étrange. Elle était telle une épée, mais d'étranges fils sortaient du manche pour rejoindre la lame, c'était la premiére fois qu'il voyait ce genre de chose. Puis il repensa à ce qu'il avait vu durant la bataille. Cette créature était en fait un humain. Certains disent qu'ils sont de faibles créatures et d'autres qu'ils sont redoutables. Gurdil préféra esquiver le combat, car il était toujours blesser et au milieu du désert personne ne viendrit l'aider. Le lendemain, il repartit de trés bonne heure, avant même que le soleil ne se couche. Il espérait ardemment retrouver Kazad et ses compagnons. *Pourvu que ceux qui sont entrer dans Héliké ont survécuent !!* se disait-il sans cesse. Au bout de quelques jours, Gurdil aperçut un nain en bas des falaise. Enfin, un compagnon pour retourner à la cité. |
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HRP:
Magnifique !!! Y'a que ca à dire ! Meme si des elfes se font trancher la tête et tout, c'est une super idée d'avoir fais ca ! C'est un régale à lire ! Encore bravo ! Vu que je suis maintenant à Héliké, je pense que je pourrais vous pouvoir chroniquer avec vous ![]() |